Halo galactique, un enchevêtrement de BECs
On
observe un halo autour de la galaxie d'Andromède dont le rayon est
d'environ 200
000 années-lumière. Il est 4 fois supérieur au rayon de la
galaxie qui est d'environ 50 000 années-lumière. Le modèle
OSCAR montre que chaque étoile est logée au centre d'un BEC
dont le rayon est contraint
d'avoir une taille d'environ 150 000
années-lumière. Mais comme chaque galaxie contient des
milliards d'étoiles, le rayon global du halo représenté par des
milliards de BECs enchevêtrés ne peut faire que 150 000 + 50 0000 =
200 000 années-lumière.
On
comprend de suite que l'écart maximum des centres des BECs
enchevêtrés est égal au rayon de la galaxie. Le halo de notre
Galaxie qui apparaît plus grand devrait contenir plus de matière
noire. Le modèle standard considère ces halos de galaxie comme des
halos de matière noire. Ce n'est pas tout à fait exact. Ces halos
sont des BECS très enchevêtrés qui tranchent avec les BECs
intergalactiques peu enchevêtrés et étirés par l'expansion. Selon
le modèle OSCAR, le centre des galaxies se comporte (à moindre
intensité) comme le BEC originel en séparant des monopôles dans le
cadre d'une réduction de localité. Les monopôles obtenus sont des
paires électrons ou positrons éjectées à vitesse c ! Ils
sont donc relativistes (voir
les rayons cosmiques). Une partie de ces paires arrive sur Terre
et une autre partie, entre en collision. Selon l'angle incident des
origines des collisions, ils subissent donc une réduction
partielle de localité. Cela crée des gravats
d'électron-positrons incapables de construire des atomes !
C'est la matière noire.
Comme le taux d'interaction matière noire-BEC est assez faible, ces
débris (matière noire) ont tendance à migrer rapidement vers
l'extérieur. Puis à la frontière du halo, ils trouvent des BECs
encore moins enchevêtrés et donc avec un taux d'interaction encore
plus faible. Cela créé un delta de densité
du flux migrant à la frontière et c'est exactement cela qui est
mesuré !
Le
paquet de BECs formant halo, se comporte quasiment comme un BEC. Tous
ses points sont liés par le centre commun, avec la constante de
temps élémentaire : te
= 1,28 × 10–21
s. Le spin est physiquement propre aux dipôles du BEC.
Comme chaque élément de matière est en interaction avec un dipôle
subquantique, alors on peut considérer le BEC comme un immense
computer qui relie tous les éléments de matière, par le spin. La
fameuse dualité onde/corpuscule trahit la dualité quantique /
subquantique et donc la dualité des vitesses, marqué par le ratio
ξ3.
La fameuse réduction du paquet d'ondes de Schrödinger correspond au
rapatriement des ondes éparpillées dans tout le BEC. Mais
contrairement à la conclusion naïve du modèle standard, cette
réduction de localité n'est pas instantanée ! La vitesse
infinie est une chimère !
Le modèle OSCAR prévoit que certaines galaxies naines sont en fait de taille normale mais remplies de matière noire. Comme vu plus avant, le taux d'interaction BEC-matière noire est plus faible ! Donc cela réduit le taux d'enchevêtrement. Il vient donc que ces galaxies doivent avoir des halos bien plus étendus ! C'est bien ce qui est observé ! Cela est cohérent avec ce que l'on observe également dans le cadre de l'expansion. L'expansion ne concerne pas les galaxies mais les zones intergalactiques qui paraissent vides... En fait ces grands trous sont des BECs de matière noire qui se déchevêtrent au gré de l'expansion.
Notre
Galaxie (la Voie Lactée) possède environ 5 fois plus de masse noire
que de masse visible. Sa masse visible est d'environ 300 milliards
d'étoiles et donc sa masse totale est équivalente à ξ
= 1,5×1011 étoiles comme le prévoit le modèle
OSCAR. Le rayon visible est d'environ 50 000 années-lumière. En
revanche son halo est plus grand que celui d'Andromède, car il est
d'environ : 300 000 années-lumière. Cela s'explique car la
masse noire possède un taux d'interaction avec les dipôles du BEC,
plus faible que la masse visible. Cela les rend plus lâche et leur
permet de s'étendre. Ainsi en milliers d'années-lumières, on a :
- 25
% masse visible (Andromède) : halo = 150 + 50 = 200 ; H /
RG = 4
-
20 % masse visible (Voie Lactée) : halo = 150 + 50 + f(DM)
= 300 ; H / RG = 6
-
1 % masse visible (NGC
529 IN) : halo = = 150 + 40 + f(DM) = 400 ; H /
RG = 10
On
sait que le facteur : rayon halo / rayon visible (H / RG)
évolue
avec le taux de DM. Pour Andromède on a 4 → 4 ; pour la
Voie Lactée on a : 5 → 6 et la galaxie naine citée :
100 → 10. Cela laisse entendre que les halos des galaxies naines
(issues de collisions) s'étendent en participant ainsi, à
l'expansion. A terme, toutes les galaxies deviennent noires.
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