La réduction de localité par ML = Cte
Le
modèle standard parle de réduction du paquet d'ondes,
décrite par l'équation
de Schrödinger. Il s'agit bien d'une description et non
d'une explication car la
notion de localité est totalement éludée par une partie des
tenants du modèle standard. Certains parlent de réduction
instantanée sans se soucier de l'implication d'une vitesse
infinie. On se contente de dire « qu'il ne faut pas chercher
à comprendre la théorie quantique ». Selon le modèle
OSCAR et dans tous les cas,
la réduction de localité
concerne la réduction de la vaste amplitude L des dipôles de
l'espace-temps subquantique, à la petite taille quantique d'une
particule.
La
matière (stable et instable) est toujours issue du tissu des dipôles
de l'espace-temps
Cette
réduction de L est symétriquement compensée par l'augmentation de
la masse M. Nous allons nous intéresser au seul cas de la création
de paires électron-positron. Nous allons comprendre pourquoi les
tenants du modèle standard ont rejeté l'idée d'un proton composé
de paires électron-positrons. Ils ont éludé le très puissant
critère de dualité de
localité.
Le
principe de dualité de localité distingue deux types de réduction
:
-
1) localité restreinte et instabilité. C'est le
terrain expérimental du laboratoire. En fournissant l'énergie
nécessaire, on extrait du niveau subquantique, une paire
d'électron-positron ou une paire proton-antiproton. Que se
passe-t-il au niveau subquantique ? Il y a séparation
d'un dipôle en deux monopôles.
Cette séparation réduit l'immense localité L d'un dipôle qui est
compensé par l'augmentation de la masse M de la paire. Dans le
détail, cette énergie [M L² / T²] s'exprime comme une impulsion
[M L / T] (voir
Dirac dans ce billet). Comme la période T est la même pour
l'électron et le dipôle, En posant : ML = m
ℒ,
il ne reste donc que le principe :
m
ℒ
= Cte
Mais
l'extraction au même endroit des deux pôles opposés au niveau
quantique, ruine le principe de séparation ! En effet, les
monopôles de la paire électron-positron, se rapprochent et
s'annihilent !
Toute
paire créée en laboratoire (localité restreinte) est instable
Ainsi,
les expérimentateurs en ont déduit que cette paire (appelée
fermion) ne peut être le composant des particules telles que le
proton stable. Par ailleurs ces fermions ne condensent pas comme
d'autres particules appelées bosons. Pour compliquer le problème,
on a localement la
possibilité d'injecter plus d'énergie pour créer une paire
proton-antiproton. Il suffit de mobiliser 1841 dipôles. Comme les
unités électron-positrons sont croisées, l'annihilation ne peut se
faire qu'en rapprochant la paire proton-antiproton. En les tenant
séparés artificiellement, on peut empêcher leur annihilation. Le
raisonnement réductionniste étend sans prudence l'expérience
locale à la localité étendue initiale. Pourtant on ne peut que
constater que les paires (proton ou électron) créées localement
sont instables alors que les créations dans la localité étendue
primordiale sont stables ! Cette dichotomie essentielle a été
totalement éludée par les tenants les plus radicaux du modèle
standard.
-
2) localité étendue et stabilité.
Ce type de localité est principalement (1)
celle en vigueur au début de l'expansion de l'univers. Il y a eu
séparation des dipôles
par saturation et superposition des dipôles sur la première couche
du BEC (voir
le billet hologramme). Mais dans ce cas, les deux pôles du même
dipôles sont disposés à l'opposé sur
le BEC. Ainsi les voisins (distribués alternativement
+ / –) sont tous issus de dipôles différents. Ainsi, la réduction
de localité n'entraîne pas l'annulation de la séparation !
Les paires voisines se comportent comme des bosons et se condensent
très vite, en protons. La condition d'annihilation est la rencontre
future entre monopôles issus du même dipôle. Le modèle OSCAR
démontre que le moment d'inertie oscillant 1D (m
ℒ)
de l'électron est hérité de celui d'un dipôle (mo
ℒo)
selon : mo
ℒo
= m ℒ
= Cte ! Cela veut dire que les seules
créations possibles sont les paires électron-positrons. Bien sûr
elles forment rapidement les protons, selon le mode décrit et
expliqué par OSCAR.
Conclusion :
la dichotomie essentielle se situe dans la dualité : stable
/ instable. Il coule sous le sens qu'elle est liée à
la dualité de localité.
Mais comme ce mot de « localité » sème
le trouble parmi les plus radicaux des tenants du modèle
standard, on peut s'attendre qu'un jour prochain, les plus modérés
auront le courage d'affronter la localité en face.
(1)
on la retrouve également à plus faible
intensité, au cœur des galaxies par l'émission des rayons
cosmiques.
De la création initiale dans la localité étendue, découle le principe d'annihilation analogique (non binaire). Ainsi les collisions de galaxies brise en partie l'intégrité des paires électron-positrons ce qui brise les briques élémentaires de la matière, en "gravats" inconstructibles ! C'est la matière noire. Or les observations montrent clairement que toutes les collisions de galaxies sont corrélées avec la présence de matière noire.
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