L'électron roi
La
paire électron-positron est la seule et
unique héritière de la genèse
de l'univers. Sa version initiale sous forme d'oscillateur
dipolaire à localité étendue, reste la plus courante ! C'est
elle qui structure l'espace-temps sous forme de BECs
enchevêtrés. C'est à partir de la paire électron-positron,
que toute la physique a été construite. Mais la plupart des
physiciens ont totalement oublié la démarche épistémologique !
On a su mesurer la masse M, la période
T et le longueur L
de l'électron et de là on en a déduit très logiquement la charge
élémentaire et universelle, Q. On a
écrit judicieusement : Q = f(k M L). Bien
sûr k était là pour justifier la transformation de
dimension « mécanique » en dimension « électrique ».
Puis, on s'est aperçu que le rayon de l'électron était α
= 137,03599 fois
plus grand que celui attendu ! C'est donc la longueur de Compton qui remplace ce rayon (dit classique) qui permet d'égaliser l'énergie électrique
à l'énergie mécanique ! Alors on a inclus ce mystérieux taux
α (alpha) et on
l'a nommé « constante de structure fine ». Mais ce joli nom
cache juste l'incompréhension totale à son égard ! A partir
de cet instant, on a adopté l'idée que le niveau quantique était
« magique » en regard du niveau « classique ». Il suffit de sortir de l'étroit raisonnement réductionniste en incluant la dualité de localité, pour que tout redevienne clair.
Encore
aujourd'hui, le modèle standard n'a pas levé le mystère de cette
constante. En revanche le modèle oscar indique clairement que ce
coefficient est celui qui rend compte de l'annihilation primordiale
sur l'univers holographique
naissant. Les intervalles élémentaires ont été élargis de ce
taux. L'intervalle élémentaire (rayon classique) est devenu la
longueur de Compton de l'électron. Mais pas seulement car ce
taux précis est celui qui a déclenché la mitose fractale ! Le
modèle OSCAR
montre que cette mitose a divisé le BEC fossile en ξ²
BECs-fils. Entre ces deux valeurs aléatoires, la variable
d'ajustement est précisément la taille du proton. Le modèle
démontre que le ratio entre la longueur des oscillateurs et leur
épaisseur vaut strictement ξ4.
On rappelle que l'entité {ML} est celle qui justifie la pérennité
des oscillateurs dipolaires du zéro relatif par l'impossibilité
fondamentale d'atteindre le zéro
absolu et l'infini qui en découle.
Ainsi,
muni du doublet {M L} de l'électron et du doublet {α
ξ}, le modèle
oscar montre que toute la physique en est issue. Ce
billet montre que comme la charge élémentaire Q, le temps
élémentaire T est issu de ML grâce à la réduction
de l'arbitraire des unités. Du point de vue
épistémologique, la proposition de la constante de Planck (ħ)
a posé un brouillard sur ses causes. On a vanté l'universalité de
cette constante alors que chacun peut vérifier qu'elle ne fait que
décliner {ML} de l'électron : ħ
= M L² / T.
Elle tombait à pic pour éviter d'avouer que la charge du proton
était pile celle d'un positron. Cela
aurait laissé envisager
que le proton puisse
être
un empilage de paires neutralisées d'électron-positrons. Cela était
alors strictement interdits par FERMI
et
sa fausse
dichotomie fermion-boson. L'expérimentation
locale étant alors
réputée
universelle, il n'était pas question d'envisager des créations non
locales (pourtant ultra majoritaires) donnant un
statut de bosons
à ces paires. Alors on a carrément « noyé le poisson »
avec cette constante de Planck qui « planquait » et
planque
toujours,
son origine chez
le seul électron.
Ci-après,
on voit bien que les « fameuses constantes universelle »
G, ħ, c sont
toutes dérivées du seul électron. Mais nul n'est plus aveugle que
celui qui ne veut pas voir !
Je rappelle que la mitose fractale en 5 étapes est la conséquence de deux ratios aléatoires sans lien entre eux : a) elle est déclenchée par α = 137,03599 (le taux de raté des séparations qui a produit l'annihilation) et donc α^5 ; b) par l'anisotropie des intervalles élémentaires dans le BEC fossile, de taux ξ ! La variable d'ajustement entre les deux est la masse du proton comptée en unité électron.
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