Des trous de ver par milliards

Certaines projections du modèle standard, spéculent sur des « trous de ver » liés aux immenses trous noirs cosmiques. On pourrait ainsi passer « magiquement » d'un trou noir à l'autre. L'idée est de considérer l'univers comme des feuillets à deux dimensions (voir image). Si ces feuillets sont repliés certains points peuvent être rapprochés et être considérés comme des trous de ver. Dans la même veine spéculative, on considère qu'un trou noir possède une symétrie, appelée « trou blanc ». Le « trou de ver » serait alors un raccourci entre les deux. Après Albert Einstein et Nathan Rosen qui l'on suggéré en 1935, Charles Misner et John Wheeller parlent de « propriétés de connexions entre différents points de l'espace », en 1957. En 2013, Juan Maldacena et Léonard Sussking propose une conjecture qui établit un lien entre l'intrication quantique et le trou de ver. Les diverses théories requièrent une masse négative. Cela est en pleine contradiction avec le statut scalaire de la masse. En revanche, le modèle OSCAR considère que le couple ML = Cte peut-être négatif ou positif selon le sens de l'espace L dans l'oscillateur dipolaire. Tous ces calculs théoriques sont basés sur la masse de Planck et le temps de Planck, dont l'interprétation standard est fausse. Ces calculs considèrent que l'on peut interpréter à l'infini l'aspect géométrique lié aux équations d'Einstein. Cette extension à l'infinie est totalement spéculatif car si ces équations sont bien exacts, leur source physique est limitée au lien fondamental {perturbation →courbure} du modèle Oscar.

1. Le trou de ver type OSCAR : il s'agit tout simplement du fonctionnement naturel des espaces élémentaires dans le BEC. Soit la section droite (2D) de l'intervalle élémentaire de l'espace-temps. Par définition elle est un mini « trou noir » car sa seule sortie 1D, est matérialisée au centre, par un des oscillateurs dipolaires subquantiques. On peut la considérer comme un « trou de ver » car cette sortie est l'unique chemin, pour une onde, de passer vers un autre intervalle – via le centre commun du BEC – quelle que soit sa position dans le BEC. L'espace-temps est ainsi de type dynamique comme l'avait suggéré Einstein. Le statut d'espace-temps vient de ce que la transition se fait toujours, avec le temps élémentaire te . C'est l'expression directe du puissant principe de dualité de localité.

2. Le voyage dans le temps par les trous de ver : il faut commencer par interroger le principe de dualité de localité. L'état « onde » voyage dans tout le BEC et donc dans le temps. Mais sa période n'est pas liée au temps de Planck mais au temps de l'électron. C'est ce que l'on constate dans l'effet tunnel, l'intrication, la réduction du paquet d'ondes. La dualité onde/corpuscule ne voit pas se concentrer l'onde en un point, d'une manière « instantanée » mais dans le temps limité te. Pour l'aspect corpuscule, le photon, voyage lui, à la vitesse de la lumière mais en oscillant avec les dipôles. Enfin, un corps massique ne saurait emprunter ce canal subquantique même si il est soumis aux lois de la relativité restreinte dont la cause est de nature subquantique. De ce fait le voyage est limité en dessous de la vitesse de la lumière car l'autorisation de franchir un espace élémentaire au mieux (1) à vitesse c, nécessite au mieux, un aller retour de dipôle.

3. Le cas des trous noirs : les trous noirs situés au centre des galaxies perturbent fortement le tissu subquantique. Par exemple, le trou noir de notre Galaxie rend unitaire, le taux d'enchevêtrement des BEC-étoiles le formant. Cela veut dire que ces BECs n'en forment plus qu'un seul, comme le BEC primordial. Comme dans le BEC fossile, les dipôles de la couche externe, se séparent et la réduction de localité forme et éjecte des paires électron-positrons. L'éjection est relativiste mais limitée au taux ξ. Une partie entre en collision et forme de la matière noire et une autre nous parvient sous forme de rayons cosmiques. Mais le tissu volumique subquantique dans le trou noir reste strictement en l'état. Les ondes communiquent à vitesse subquantique, de part et d'autre du trou noir.

(1) le modèle OSCAR indique que l'effet relativiste trouve un seuil au ratio ξ.

Ci-après, on voit que tous les espaces élémentaires quantiques sont des trous de ver. Ils sont reliés entre eux non pas instantanément mais via la vitesse subquantique (co = c ξ3) qui ne concerne que l'état de spin (variété de l'onde pilote de BOHM).

Commentaires

  1. Le trou ver est : a) l'espace élémentaire ; b) la longueur de Compton de l'électron ; c) le puits de jauge communiquant avec les dipôles subquantiques.

    Sur le dessin standard (dessous), on imagine :

    1) des milliards de "trous" disposés sur le "feuillet" en fer à cheval.

    2/ le tube vertical est rompu par la réduction de localité.

    Alors la charge électrique de ce tube se reporte sur une ligne, le long du feuillet pour joindre les deux vis à vis. ! Elle est divisée par le nombre de "trous" et devient donc très faible par unité. C'est la naissance de la gravitation sur l'aire du BEC fossile. Mieux, le ratio "électrique / gravitation", donne le nombre de "trous" et donc de particules primordiales, soit les paires électron-positrons. Le carré de ce nombre (la surface) multiplié par la masse de l'électron, correspond aux estimations de la masse totale de l'univers, comme par hasard...

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