Détail des noyaux de 40 atomes
dessin
simplifié du noyau de l'atome Oscar
On a vu que la non localité de la création des paires électron-positrons leur donnait
un statut de quai-boson, contrairement aux créations locales et donc instables.
un statut de quai-boson, contrairement aux créations locales et donc instables.
Le
modèle standard considère le noyau des atomes comme des grappes de
neutrons de protons un peu comme l'ancienne image de
Thomson, reportée au niveau de l'atome entier. En revanche, le
modèle OSCAR applique la loi universelle ML
= Cte qui est la cause de la loi de Compton. En effet,
plus la masse de la particule est grande, plus son rayon est petit.
C'est d'ailleurs ce qui permet d'être en accord avec la mesure du
rayon du proton, sous condition qu'il soit divisé en 4
groupes neutres de paires électron-positrons. Le principe du
proton est décrit
ici avec une seule orbitale centrée. Pour les atomes dont les
couches électroniques (2, 8, 18, 32...) sont distribuées selon ce
schéma :
le
principe du noyau est plus complexe car il est à l'image des
orbitales des électrons. Le premier dessin montre que sa masse
principale est composée de couches neutres superposées et donc avec
l'annulation des charges électriques. Mais les positrons confinés,
se repoussent entre eux et forment des figures qui sont à l'image de
celles de la configuration atomique.
Organisation
interne de 40 atomes
Le ratio constant (α² π/2)
est celui qui existe entre le rayon de l'atome d'hydrogène et
celui du proton. En appliquant ML =Cte,
on en déduit le rayon du noyau avec le nombre par groupe (88 pour
l'hélium). C'est toujours un nombre entier et
pair pour satisfaire la condition de neutralité. Ensuite,
connaissant le nombre de paquets de 1840 unités (4 pour l'hélium)
on trouve le nombre de groupes (83 pour l'hélium). On vérifie
ensuite par le ratio constant, de combien on s'écarte de la
mesure du rayon de l'atome considéré,
ce qui donne le coefficient d'erreur. La colonne N → coef indique
le nombre d'unités du groupe neutre complémentaire qui est
forcément entier et pair.
Le concours de tous ces entiers permet de retrouver les rayons
mesurés des atomes. Il convient de comparer les taux d'erreur avec
ceux du modèle standard. Voir par exemple ici
la mesure du rayon de l'atome de carbone soit : 70×10–12
m pour : 67×10–12 m calculé
par le modèle standard, alors que le modèle Oscar donne :
71×10–12 m. Le dernier de
la liste s'arrête à l'or (Au) car au-delà on ne dispose pas de
mesures pour comparer.
Il faut bien noter les deux clés : ML = Cte → rayon de Compton et la dualité de localité → dualité onde-particule.
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