la substance de l'intervalle élémentaire numériquement confirmée (suite et fin)
1. Le
coefficient entre la charge Q et
ML = Cte. Jusqu'à
présent on a écrit : Q²
= f(ML)
pour ne pas entrer dans le détail. Nous emploierons les paramètres
M, L, T, Q, comme représentants
de l'électron qui représente exactement le monopôle séparé du
dipôle originel. Historiquement le système d'unité prévoit que
la charge électrique de l'électron soit égale à :
Q²
= kl²
ML
;
kl²
=
107
/ α
Le
coefficient 107 vient du changement d'unité soit :
(m /cm)² = 104 et (kg / g) = 103
dans le cadre de l'énergie [M L² / T²]. L'unité T ne change pas.
Le coefficient α =
137,035999, (constante de structure fine) est le taux d'annihilation
primordiale
qui a agrandit le rayon classique de l'électron à son rayon de
Compton représenté ici par L. Par convention, le coefficient 107
transmute la dimension ML
en dimension coulomb au
carré, Q². Mais dans le
billet précédent, nous avons montré que si cette convention
s'avère pratique,
elle cache le fait que tout vient réellement de ML. Par exemple on a
vu que l'induction B était fondamentalement une
courbure locale de
l'espace-temps, 1/L. Mais
il reste à vérifier si les chiffres confirment
le raisonnement
dimensionnel.
2. Le
coefficient entre le temps T et ML :
Jusqu'à
présent on a écrit : T²
= f(ML)
pour ne pas rentrer dans le détail. Le
billet
précédent montre l'équivalence
entre :
B
=
M / Q T = f(M / ML) = f(1/L)
Pour
espérer faire coïncider les valeurs numériques il faut déjà
convertir T
= kt
√ML.
Or
le
modèle OSCAR montre
comment T²
est induit par ML.
De
la formule de ce lien : te
= (k+1)
√3
(e ML/ α)1/3
,
on
tire le coefficient :
kt
= (k+1) √3
(kl / α)1/3
= 2,179102
qui
relie T
(électron) à
la racine carrée
de ML selon :
.
T
= kt (k+1)
√ML
Cette
racine revient à annuler
l'arbitraire
qui sépare l'unité
groupée de
ML et
l'unité de
T.
En fait c'est l'électron qui sert d'étalon. Cela
est d'ailleurs cohérent avec la symétrie M et L qui est la base du
fonctionnement de l'oscillateur primitif. Le
groupage de ML offre dans sa racine √ML,
la possibilité de l'égalité numérique : M = L, ce qui
revient à confondre leurs unités respectives.
3. L'égalité
B = 1/L est numériquement confirmée :
En récrivant la formule précédente avec les coefficients
correspondants, on vérifie très exactement la coïncidence
numérique :
B
=
M / Q T = M
/ ML kt kl =
1 / L kt
kl
soit
une courbure strictement égale à l'inverse de la longueur de
Compton de l'électron : ƛe
= 3,86159×10–13 m.
4. Le
moment magnétique de l'électron: le moment
magnétique de l'électron est
conventionnellement
donnée par :
μe
=
e
ħ / 2 me
=
I
ƛe²
/ 2 = e c ƛe
/ 2 = 9,27400
×10–24
A m²
avec
e
= I te,
la charge électrique élémentaire replaçant
l'intensité I .
Cette formule est
remplaçable par :
c
te
ƛe
kl /
2 kt
= 9,27400
×10–24
m²
comme
c te
= Cte, on a : Cte × L qui permet de dire que le moment
magnétique est proportionnel au rayon de la particule. On
a
ici négligé de tenir
compte du coefficient d'anomalie du moment magnétique (1,001159652).
Mais justement, à ce sujet, évoquons
une
des énigmes du modèle standard, le moment magnétique anormal
du proton. Il trouve une énorme erreur de ratio 5,58 en
posant : μp
=
e
ħ / 2 mP
avec
mP
la masse du proton. Or selon le modèle OSCAR, le
moment magnétique du proton est proportionnel au ratio des rayons.
Comme le proton a un rayon rP :
459,038 fois plus petit que l'électron, alors son moment magnétique
est dans la même proportion, soit : 1,42857
×10–26
m².
ƛe
rP kl
/ 2 kt
√2
= 1,42857
×10–26
m²
Avec
cette approche , le coef d'anomalie passe de 5,58 à 1,0127 soit
une
anomalie bien
plus proche de celle
de l'électron.
L'erreur
du modèle standard consiste à utiliser la constante de Planck qui
est de la dimension d'un moment cinétique ! Cela implique une
rotation. Mais l'électron ne tourne pas car il oscille comme le
pôle qu'il était initialement dans l'oscillateur dipolaire.
4. Conclusion :
La cohérence du modèle OSCAR exige
que toute la physique
(mécanique, électrique, quantique, cosmique) tienne
son origine de
la constante ML, réputée inséparable. Mais
dans le cas de B la projection perpendiculaire de 1/L est bien
séparée de M. Les conventions pratiques adoptées pour différencier
l'électricité de la mécanique sont purement arbitraires. Cela veut
dire que c'est le couple ML oscillant qui
génère la charge électrique élémentaire, Q²
et le carré de la
période élémentaire T².
Fondamentalement la notion
d'inertie oscillante M a pour symétrie un espace
L dans une fréquence 1/T et donc une
vitesse [L
/ T]
! Pour ne pas produire une force qui
serait injustifiée, [ML/T²],
l'oscillateur doit être dipolaire. Il doit posséder deux
forces
[ML/T²],
opposées, proportionnées
à ML et qui s'annulent.
Donc on peut dire que la notion d'inertie oscillante est contrainte
d'induire une symétrie de type accélération, L/T² et une force
proportionnée qui l'empêche de se séparer. L'interdiction
du zéro absolu (> 0) implique :
0 > → M → L → L/T² →
ML/T²
De
contrainte en contrainte, on a :
a)
l'impossible zéro absolu implique l'existence
de la notion inertielle variable donc oscillante, M
b)
l'oscillation de M implique une amplitude spatiale 1D : L
c)
par symétrie, le dual de l'inertie est l'accélération L/T²
d)
l'oscillateur dipolaire est contraint d'annuler les paramètres MLT
confinés dans chaque pôle et donc se maintient uni par la force
induite ML/T² confinée dans son référentiel dipolaire.
Il
n'est donc pas étonnant que l'on puisse trouver ce qui
conventionnellement appelé « induction magnétique »
sous la forme d'une courbure, identifiée
comme l'inverse de la longueur élémentaire, soit la longueur de
Compton de l'électron. Cet
aspect mécanique de la physique, n'a rien à voir avec l'ancienne
vue, basée sur un vague et spéculatif éther comme « structure »
de l'espace-temps.
Toutes les vielles unités (pour exprimer M L T) imaginées il y a très longtemps doivent être révisées avec pragmatisme. L'étalon universel est l'électron pour ML et T. Il est identique pour toutes civilisations potentielles. C'est son ML = Cte qui lui donne sa période T. Une autre civilisation (qui exprimera ML dans une autre unité), procédera à sa mesure par sa courbure générée par une accélération latérale. Celle-ci impliquant l'unité exprimant (1/T²), donnera une valeur numérique tenant forcément compte de l'unité choisit pour ML. Pour toutes unités arbitraires de ML d'un côté, et T de l'autre, l'électron aura toujours un ratio numérique où T² = f(ML).
RépondreSupprimeren effet, cette série de 3 billets répond très bien à la question de ce "mystérieux" lien entre les deux pole d'un oscillateur.
RépondreSupprimerFaut-il comprendre que le magnétisme vient uniquement d'une courbure induite par l'oscillation des électrons?
Pour oscar, comment se déplacent les électrons dans un fil électrique sous tension?
Oui cher LC, le magnétisme est véhiculé par les dipôles de l'espace-temps → le L rectiligne et confiné du dipôle induit un L courbé qui est à la fois la source de l'espace dans les intervalles et du magnétisme. Celui-ci est également confiné mais il communique par le centre du BEC.
RépondreSupprimerDans un fil parcouru par un courant alternatif, les électrons libres se déplacent radialement. Ils forment une couronne (voir effet de peau) car les charges se repoussent. En courant continu, ils se déplacent longitudinalement et se repoussent également. Mais la vitesse est faible et seul le "choc électronique" circule à la vitesse c versus cuivre.