Le mystère des halos galactiques
Le
modèle standard n'explique pas : a) la non participation des
galaxies, à l'expansion ; b) pourquoi l'univers est structuré
en galaxies ; c) la cause du halo qui les entoure. Le modèle
standard suppose que ces halos soient faits de matière noire car le
cisaillement de l'effet
loupe gravitationnel en donne le contour. Le modèle Oscar, est basé
sur un Big Bang matérialisé par l'émergence d'un immense Condensat
de Bose Einstein ou BEC (1)
résultant de la synchronisation des oscillateurs dipolaires qui le
composent. Ce BEC fossile de 150 000 années lumière de rayon, est
violemment entré en mitose et s'est divisé en ξ²
= 1022 BEC-fils. Ces derniers sont les moules dans
lesquelles les étoiles primordiales se sont formées. La mitose a
commencé par créer des structures de ξ
BECs enchevêtrés formant les galaxies. A l'origine, elles
comportent chacune ξ
BEC-étoiles. La durée de vie de ces premières étoiles –
extrêmement massives – a été très courte ! Les restes de
leurs explosions ont créé la semence des étoiles « métalliques »
de seconde génération. Ces dernières sont moins calibrées et
globalement plus petites car une bonne partie s'est transformée en
matière noire
(DM). Cela est expliqué par les collisions de galaxies qui sont de
véritables réductions partielles de localité.
1.
Le taux d'enchevêtrement serré des BECs : Le taux
d'interaction entre la matière et les oscillateurs dipolaires et
subquantiques du BEC, est réputé fort.
Cela génère un taux de couplage : BEC-matière →
matière-BEC, qui lie fortement les BECs entre eux dans la structure
galactique. C'est cet enchevêtrement qui forme le halo galactique de
200 000 années lumière de rayon. Comme le rayon de la galaxie
moyenne est de 50 000 années lumière, alors le halo additionne les
deux dimensions (150 + 50 = 200 mille années lumières). Ce halo
n'est pas fait de matière noire mais il la révèle pas son excès
de densité en regard à sa faible concentration au delà de ses
limites.
2.
Cause et migration de la matière noire : le modèle
Oscar montre qu'une partie de la matière noire est produite par
la forte concentration du centre de la Galaxie. Son taux de couplage
avec les BECs est plus faible que celui
de la Matière Visible (VM). Cela l'amène à être plus sensible à
la force centrifuge qu'aux forces de liaison. De ce fait, la DM migre
ainsi par bouffées successives vers l'extérieur. La limite du halo
correspond donc à la diminution brutale du taux de couplage,
passant de {VM↔BEC} à {DM↔BEC}. Cela accélère brutalement la
vitesse radiale du flux et fait donc baisser la
densité de DM. C'est bien ce que l'on observe.
3.
Détection de la DM par l'expérience DAMA :
le modèle Oscar
démontre que la brique élémentaire de la matière est la paire
électron-positron. Il démontre que les collisions dont l'angle
originelle est de 180°, débouchent sur une annihilation binaire. En
dessous de cet angle, l'annihilation est analogique (partielle). Elle
brisent l'intégrité des briques élémentaires en « gravats ».
Or on observe que le centre galactique émet ce genre de paires à
vitesse relativiste c. Une partie arrive jusqu'à nous sous forme de
rayons cosmiques. Une autre partie entre en collision et devient donc
de la matière noire (DM). Ces « gravats » produisent des
fréquences stochastiques de type parasite. Ces fréquences sont des
harmoniques portées par la très haute fréquence de base des
dipôles. On devrait détecter ces flux de fréquences avec une
variation saisonnière due à la rotation de la Terre autour du
Soleil. Or l'expérience
DAMA détecte effectivement des fréquences
parasites avec une variation saisonnière.
(1)
le BEC est une sphère dont le centre est le point commun des
oscillateurs dipolaires qui la forment. C'est l'élément à la fois
subquantique et cosmologique de l'espace-temps. Le BEC est virtuel
au sens où – hors perturbation –, il est parfaitement symétrique
et annule les masses de ses pôles opposés. La présence des
particules de matière, modifie sa symétrie et le L local, diminue.
Selon la règle ML = Cte, le pôle local réagit en fournissant une
masse M. Le « pompage » constant d'un électron l'habille
ainsi de « particules virtuelles » le rendant plus
massique d'un facteur assez faible : 1,0031. Si l'énergie d'une
forte perturbation ponctuelle, correspond à une des résonances
harmoniques des dipôles, alors un fort M (genre particule) sera émis
d'une manière fugace.
Ci-après,
une galaxie moyenne entourée de son halo, formé par des BECs
enchevêtrés. Les jets de paires électron-positrons produits au
centre, ont deux types de comportement : a) ils restent des
rayons cosmiques à haute énergie ; b) une partie entre en
collision et devient de la DM qui migre vers l'extérieur. A la
limite du halo, sa densité baisse brusquement. C'est cela qui est
observé.
Attention ce sont des valeurs moyennes de galaxies et halos. En revanche, pour les galaxies naines (ayant beaucoup de DM à faible taux de couplage), le mystère des halos très étendus, est expliqué (et même attendu).
RépondreSupprimerTrès important : l'expansion intergalactique se traduit par un glissement radial entre BECs (déchevêtrement) laissant inchangés les intervalles élémentaires ! A une constante près (a²) le rayon à terme, est celui d'Eddington qui coïncide avec une coquille faite de tous les BECs tangents. A ce stade toute la matière a disparu et les BECs s'évaporent dans la matrice stochastique.
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