Réduction de localité → gravitation
Le
modèle standard considère la gravitation comme une cause de la
structure de l'univers. Le modèle
Oscar démontre que la gravitation est un des effets de la
réduction de localité. Le dessin ci-après – initialement
représentant un « feuillet 2D d'univers » –
montre en fait une partie de la couche extérieure du BEC fossile.
C'est l'hologramme
sur lequel s'est produit la saturation, causant la superposition
des oscillateurs dipolaires voisins et annulant les charges e² liant
chaque dipôle. Par l'application ML = Cte, la réduction de L
{diamètre BEC → intervalle élémentaire} revient à augmenter M
qui devient la masse des monopôles
soit des électrons et des positrons.
1. Fonctionnement
d'un monopôle : réduit à sa localité restreinte, le
monopôle continue d'osciller mais avec (comme partenaire), un dipôle
relié au tissu d'espace-temps, formé de tous les oscillateurs
dipolaires. En fait, ce n'est pas tout à fait un monopôle. De plus,
le dipôle subquantique est légèrement déformé. Le pôle en
interaction avec l'électron (ou positron), lui cède une partie de
sa masse, ce qui génère une asymétrie
spatiale au dipôle. Il est plus court du côté du « perturbateur ».
Globalement sa simple présence, déforme l'espace temps. C'est cet
effet qui explique le principe de la relativité générale et son
lien : masse / courbure. Le monopôle possède une interaction
avec tout le BEC (échelle cosmique). Dans certaines conditions, le
« partenaire » subquantique peut délocaliser
l'électron.... à une vitesse plus grande que celle de la lumière !
C'est l'effet tunnel. Son partenariat avec tout le BEC concerne
également son spin. Il ne fait que révéler le spin du dipôle
subquantique partenaire. Il n'est donc pas étonnant qu'il puisse
exister par l'intrication, un « lien
fantôme »
plus grand que c, entre deux électrons très éloignés.
2. La
matière noire est liée à l'effet gravitation : la
« séparation » des dipôles en monopôles éloignés,
n'est pas complète puisqu'il reste le lien gravitationnel. Dans le
cadre de la mitose fractale, les monopôles s'agrègent pour former
des protons, l'hydrogène, des étoiles et des galaxies. Mais le
côté fractal de la mitose, génère des croisements de trajectoires
qui aboutissent à des collisions intenses. Si ces collisions
remettent en contact des monopôles opposés (180°) alors les
monopôles s'annihilent à 100 %. Mais les collisions dont
l'angle relatif est compris entre quelques degrés et 180°,
produisent une annihilation partielle qui réduit la brique électron
en gravats. C'est la matière noire avec laquelle aucun atome ne peut
être construit.
3. La
mitose fractale génère l'énergie sombre : la mitose
fractale en 5 étapes, éjecte de la matière à vitesse c, dans
toutes les directions. Une majorité, entre en collision. Aux deux
extrêmes, les collisions frontales annulent la vitesse d'expansion
(v = 0) alors que la matière orientée radialement, (dans l'axe de
l'expansion) cumule une vitesse de 5 c. Comme les BECs enchevêtrés
sont liés (via l'interaction avec la matière), ceux qui sont en
avance ont tendance à accélérer
ceux qui sont en retard. C'est ce que l'on observe localement, aux
limites de notre horizon cosmique. Les tenants du modèle standard –
fâchés avec la localité – en conclut que c'est tout l'univers
qui accélère. En réalité, les couches en avance décélèrent
fortement pour compenser l'accélération des couches en retard. La
couche moyenne décélère comme attendu avec la loi de gravitation.
Conclusion :
ces trois effets mystérieux sont tous expliqués par le même
processus du BEC saturé qui produit des monopôles par
réduction de localité et subit une mitose fractale. La
structure de l'univers n'est pas générée par les équations
mathématiques de la relativité. Ces dernières n'en sont que les
effets. La structure de l'univers est générée par des BECs formés
d'oscillateurs dipolaires, de nature physique comme il se doit.
Le mythe des grands trous de ver est remplacé par les milliards de monopôles qui sont des puits de jauge ou intervalles élémentaires, communiquant avec le tissu des dipôles subquantiques.
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