Le proton est d'Or
Le
modèle standard ignore totalement pourquoi le proton existe et
pourquoi il est stable avec cette masse précise et pas une autre.
Il ne faut pas oublier qu'avec le neutron, ils forment toute la
matière stable. Cela n'a rien à voir avec toutes ces particules
instables, créées localement dans les accélérateurs. Le proton
n'est pas là par hasard ! Le modèle
oscar montre qu'il est directement issu du nombre
d'Or * de l'univers. Nos
vies, à base de protons et neutrons, dépendent de ce nombre d'Or.
1.
Le conflit de la mitose fractale : nous
avons vu que la saturation du BEC-fossile se jouait sur deux
tableaux : a) du point de vue volumique, les intervalles radiaux
(1D) sont ξ
fois plus grands que ceux de l'axe tangentiel. Or un BEC n'est
équilibré que s'il y a isotropie de sa
densité ; b) du point de vue surfacique
(hologramme), les dipôles se superposent et annulent leurs
charges. Cela a pour conséquence de briser leur lien, ce qui les
séparent en monopôles. Cette séparation (délocalisation)
s'accompagne d'une annihilation de facteur aléatoire : α
= 137,035999. Le tableau suivant montre qu'en 2D, la mitose
se déclenche sur la base de ce taux α².
Il y a donc un conflit
entre l'aspect surfacique qui amène un taux de mitose final à α12
et le taux (2D) de son anisotropie ξ².
Le conflit vient que ces deux ratios sont totalement aléatoires.
2.
Le proton né du conflit de la mitose :
la figure montre que ces deux nombres doivent s'accorder avec une
variable d'ajustement. Car l'intervalle élémentaire résultant
après mitose doit tenir compte de ce conflit. Cette dualité est
tenue de s'accorder. Si par un pur hasard (quasi impossible) les deux
nombres avaient été égaux (ratio = 1), alors l'intervalle
élémentaire aurait été uniquement celui de l'électron. Mais ce
n'est pas le cas car l'aléa a donné le nombre brut : po
= 1835,26, très proche de la masse du proton en unité
électron : p = 1836,15.
Mais le proton ne peut-être composé que de paires
électron-positrons entières ! Ce
nombre brut n'a pu que s'arrondir au nombre 1840+1, exprimé en unité
« électron nu ». Or on a vu que le rayon du proton était
(p/4) fois plus petit que l'intervalle élémentaire. Cela veut dire
que la projection holographique du proton (rétréci) permet
d'agrandir l'intervalle élémentaire. Il y a effectivement 2 et
seulement 2 types de particules stables et donc créées dès
l'origine par délocalisation (électron et proton).
Cette dualité vient de la dualité {volumique-surfacique}. La
dualité {électron-proton} trahit la dualité conflictuelle de
l'élargissement des intervalles élémentaires par la mitose. Cette
même dualité se traduit entre la matière et l'espace-temps qui
sont de même source.
3.
Le proton est un vecteur de jauge : via les
collisions dans les accélérateurs de protons, on extrait des
particules dont le boson de Higgs. Or le modèle montre que ce
dernier est directement lié au produit** : nombre d'Or (8/5)
× √ξ !
Ils sont les deux
traces intangibles du conflit ayant créé le tissu d'espace-temps.
Sur l'hologramme originelle, l'intervalle élémentaire a été
élargi par la contraction du proton. Dans le volume déployé par la
mitose – donc l'espace-temps – l'intervalle élémentaire est
celui qui est déterminé par la longueur de Compton de l'électron.
* on
rappelle que la suite de Fibonacci est liée au processus de mitose.
Il n'est pas étonnant que la proportion 8/5 pour les tableaux par
exemple, nous paraisse harmonieuse. La géométrie des escargots
suit également la loi du nombre d'Or, tout comme les choux fleurs,
cyclones et autres galaxies spirales.
**
voir le tableau 3 de ce lien sur le nombre
d'Or de l'univers.
On ne peut plus douter que la nature nous montre les traces vivantes ou dynamiques de la mitose fractale originelle.
RépondreSupprimerOn me demande pourquoi la mitose fractale s'est arrêtée après 5 étapes ? La réponse est dans le tableau du billet. La mitose doit impérativement s'arrêter à xi^2 ! Mis la convergence avec a^12, (liée au nombre 5), fait sont effet avec le proton. Il a réconcilié les deux valeurs en conflit !
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