l'univers né d'un paradoxe
Les
chercheurs proches du modèle standard essaient de trouver un
« mécanisme » qui expliquerait l'existence même de
l'univers. Beaucoup de ces idées tournent autour de l'incertitude de
Heisenberg qui limite à jamais le produit : position ×
impulsion d'une particule. Cette incertitude constatée dans nos
laboratoires est rattachée à la constante de Planck ħ.
Ce que l'on oublie de dire c'est que cette constante est induite par
la brique élémentaire, électron. Elle
est construite avec les seuls paramètres de l'électron. Si son
champ d'action est étendu à des particules plus lourdes, c'est
parce qu'elles sont composées de cette brique élémentaire :
ħ
= me
ƛe²
/ te
Le
second oubli courant concerne l'extrapolation de l'état d'univers
actuel à un état primitif. Cet état primitif ne comporte aucune
constante, même pas celle relative à l'électron. Même si on évite
les deux premières erreurs, on plonge souvent dans le piège
suivant : on admet qu'il n'y a pas de constante mais on imagine
qu'il puisse y avoir des fluctuations autour du zéro. Cette idée
est intéressante mais elle n'est généralement pas contextualisée.
Il y a plusieurs questions fondamentales à résoudre :
Comment
fixer le nombre de ces fluctuations ?
Comment
justifier l'origine de la source d'énergie de ces fluctuations ?
Certains
pensent que tout est né d'une incertitude quantique liée à une
énergie induite par un temps ultra court.... Mais cela ne répond à
aucune des deux questions. On suppose l'existence du temps (par
quelle magie ?) et on suppose également que la loi
d'incertitude pré-existe ?
1.
Le modèle OSCAR s'appuie sur l'universalité de
la notion de dualité.
C'est la première règle physique de l'univers, qui est fortement
imbriquée avec la symétrie.
Or la première dualité concerne la notion du zéro.
La plupart des chercheurs font l'amalgame entre le zéro physique et
le zéro mathématique. Cette dualité existe bien et a une
importance cruciale. Il ne
faut surtout pas les confondre. La démarche ouverte, hors du seul
chemin réductionniste – donc {holiste + réductionniste}, conduit
toujours à progresser avec la notion de dualité. Cette règle
commence par s'appliquer au double visage du zéro !
2.
Le paradoxe fondamental avec la dualité
{inertie/espace}
: le dual de l'inertie est l'espace (1D). Le modèle Oscar
montre que le couple M.L est indissociable, au niveau quantique. La
loi de Compton n'est qu'une application de cela. En aucun cas
l'inertie M ne peut atteindre le zéro
absolu, car elle impliquerait un espace infini. Mais par
ailleurs, il est totalement injustifié de considérer qu'il puisse
exister une inertie M > 0. C'est le paradoxe fondamental de la
physique. Quelle est la réponse que donne la nature pour se
conformer à ces deux interdits ?
3.
L'oscillation duale ou
dipolaire : une fluctuation se produit entre ces deux états à
la fois, astables et interdits. C'est un peu comme une goutte d'eau
sur une plaque très chaude : la gravitation lui commande de
coller à la plaque mais l'évaporation brutale lui commande de
quitter la plaque.... Chacun peut voir que la goutte d'eau oscille
entre ces deux états, tant qu'elle n'est pas entièrement évaporée.
Mais cette analogie ne résout pas le problème de justification de
la source ! Là encore, c'est la notion de dualité qui sauve
la situation. C'est le second type de zéro qui entre en action. La
forme duale ou dipolaire de l'oscillateur, permet d'annuler, par
symétrie, les paramètres physiques propres à chaque pôle opposé
à l'autre. Le zéro relatif (somme algébrique) est le seul
admissible en physique. Toutes les formes de zéro en physique, sont
toujours le résultat de deux paramètres contraires qui s'annulent.
Par exemple, un satellite annule sa force gravitationnelle par sa
force inertielle de type v²/r. Il n'existe pas dans
l'univers, un endroit où une force nulle serait déterminée par un
zéro absolu ! Même le point de Lagrange, joue sur deux forces
contraires qui s'annulent. La dualité universelle est vraiment la
clé.
4.
La réponse au piège du dénombrement : combien y-a-t-il
d'oscillateurs ? la seule réponse qui ne demande aucune
justification, consiste en une infinité. Ainsi la somme infinie des
paramètres physiques nuls des oscillateurs dipolaires, est
strictement nulle ! Infini × zéro = 0. On a donc une infinité
« d'oscillateurs dipolaires à zéro relatif ». Ce sont
des bosons qui forment la matrice éternelle d'univers, à
partir de laquelle, un BEC peut se construire par synchronisation
aléatoire....
L'univers
doit son existence au
paradoxe concernant
le couple inertie-espace
ou M.L.
5.
La source de la loi de Compton : cette loi indique que plus la
masse de la particule est grande, plus sa longueur de Compton, est
petite. Le modèle Oscar démontre que le rayon du proton, est fixé
par cette règle. Ces 4 groupes de paires neutres sont des ondes
sphériques dont le rayon est celui de Compton. Ainsi, le rayon du
proton est exactement celui donné par un quart de sa masse (un
groupe). Cette source vient de l'oscillateur primordial où M.L
= Cte et donc : M = 1/L. C'est
exactement la cause de la fluctuation entre les deux interdits (&
3). Mais c'est également la clé de la fonction
de Dirac dans laquelle une dualité (x,
z)
exige : x = 1/y.
ML
= Cte, induit la
loi de Compton, l'indétermination
de Heisenberg et la
fonction de Dirac
6.
La charge et le temps élémentaire : le modèle
Oscar rappelle que la charge électrique élémentaire est
induite par ML. Il démontre
également que la période élémentaire de l'oscillateur dipolaire
est également induite par ML. Il vient
que les 2 charges électriques opposées, s'adaptent à toutes
variations aléatoires de ML oscillant, pour conserver le lien entre
pôles et donc l'intégrité de l'oscillateur dipolaire. Il vient
également que le ratio espace/temps, confère une vitesse
inversement proportionnelle à ML.
Pour
toute valeur arbitrairement proche du zéro absolu, il existe un
intervalle infini de nombres, entre cette valeur et le zéro. Ainsi
le couple ML est forcé d'osciller aléatoirement entre les deux
états impossibles et ce dans le cadre
de la fonction de DIRAC.
C'est parce que le zéro absolu est un puits sans fond, que même si l'on s'en approche énormément, il restera toujours une infinité de nombres pour nous en séparer ! De ce fait, la probabilité d'exister et exister éternellement, est égale à l'unité.
RépondreSupprimerLe penchant de l'humain est également porté vers cette recherche de l'absolu .... dont les voies sont impénétrables. Comme nous sommes "enfants de l'univers", il est bien naturel qu'il en soit ainsi !
RépondreSupprimerMr Mareau,
RépondreSupprimerj'ai fait un commentaire dans le billet du 9 mars, mais je me rends compte qu'il a toute sa place dans celui-ci également.
Bonjour LC, je vais de ce pas, voir ce commentaire!
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