Énigme de la précocité des premières étoiles

Selon le modèle standard, 380 000 ans après le Big-bang la température de l'univers observable a suffisamment chuté pour que se forme les premiers atomes d'hydrogène et d'hélium à partir d'un plasma chaud. Cette température dite de « recombinaison » était de l'ordre de 3000 K. Le modèle standard considère que durant les premières 100 millions d'années, l'univers était sombre. C'est ensuite que les premières étoiles se seraient formées. Elles auraient une masse comprise entre 100 et 1000 masses solaires. Le modèle prévoit que les premières étoiles sont nées il y a 180 millions d'années. Mais ce modèle n'explique pas comment la simple action gravitationnelle a pu former des étoiles aussi rapidement. Il n'explique pas non plus la cause du Big-bang qui est en fait la véritable question de la cosmologie. Enfin, pour tenir compte des observations concernant l'homogénéité du fond diffus, ce modèle est obligé de spéculer sur un boom inflationnaire (vitesse supraluminique) de l'expansion qui aurait ainsi causalement relié l'ensemble de l'univers.

1. Le modèle Oscar : En revanche, le modèle Oscar fournit une explication cohérente à la cause du Big-bang. Il s'agit en fait de la brutale mitose du BEC primordial. La formation et la saturation de ce dernier sont par ailleurs entièrement justifiés. Le modèle montre que la mitose est duale. Le volume du BEC se subdivise en 150 milliards de groupes de BECs (galaxies). Cette subdivision se produit à la vitesse largement supraluminique des dipôles. Il est donc inutile de spéculer sur une inflation opportune de la vitesse. A l'origine, les groupes de BECs enchevêtrés, comportent chacun, 150 milliards d'étoiles. Ces données liées à la saturation et à l'isotropie de la densité du BEC primordial et se vérifie dans une relation fondamentale. Les BEC-fils sont les hôtes des étoiles et ils forment les halos galactiques bien observés. Ceci est la matérialisation de l'espace-temps composé d'oscillateurs dipolaires quasi neutres). Dans le même temps, l'hologramme (l'aire) du BEC subit la séparation des dipôles en monopôles, formant ainsi la matière. Chaque BEC possède une composante gravitationnelle qui agit en 1/R. En ne prenant en compte que la seule composante gravitationnelle connue (agissant en 1/R²), le temps de formation des premières étoiles aurait duré près d'un milliard d'années. La figure ci-dessous montre que le gamma du BEC est largement dominant à la fois sur l'influence de G classique et de l'accélération contraire, due à l'augmentation de la pression du gaz hydrogène. Le modèle montre que les premières étoiles sont toutes calibrées à 330 masses solaires.

2. Détail des séquences : le calcul montre, qu'en 174 millions d'années, le volume de l'univers est suffisamment grand pour contenir les 150 milliards de galaxies calibrées (en devenir). Compris dans ce laps de temps, les étoiles se forment en 50 millions d'années et sont effectivement en début de fusion après 174 millions d'années. De telles étoiles aussi massives ne durent que très peu de temps et explosent en supernovæ. A nouveau l'univers est sombre mais il comporte déjà des éléments lourds comme le carbone ou le fer. C'est sur ces bases, que se forment les étoiles de seconde génération et ce, dans un contexte de collisions intenses, génératrices de matière noire.


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