l'éternité paradoxale de l'univers (suite 4)
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Sceptique : si j'ai bien compris : a) la charge électrique
élémentaire est celle de l'électron ; b) elle est déterminée
par le produit M×L de l'électron. Mais comment cette charge se
traduirait par une force liant les deux pôles du dipôle oscillant ?
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Tout simplement par l'obligation du zéro relatif ! Sans ce lien
il n'y aurait pas d'annulation et donc il existerait des paramètres
physiques > 0 et ce n'est pas justifiable ! Cela veut dire
clairement – qu'à cette échelle – la notion d'inertie comporte
une composante de charge électrique. Cela est confirmé dans
l'électron où : Q² =f(ML).
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Sceptique : Alors si l'électron est la particule élémentaire,
quid des quarks ?
- On
a vu que l'électron est la seule particule
élémentaire non composite et stable. Ce n'est pas le cas des quarks
car l'expérience montre que dès qu'on cherche à les isoler, ils
deviennent instables et disparaissent ! C'est une erreur
fondamentale de considérer les quarks comme des particules
élémentaires. Ce ne sont que des inductions liées aux vibration
internes dans les baryons. Ils n'ont pas de statut stable à l'état
libre. La seule particule stable et non composite est la paire
électron-positron. Cependant ce n'est pas évident car cette
stabilité passe par la très importante notion de localité
dont nous allons parler largement.
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Sceptique : mais si cette paire est héritée des fameux dipôles
éternels, comment se fait-il que l'on ne trouve pas autant de
positrons que d'électrons ? Ces derniers s'annihilent dès qu'ils
sont éjectés par certains noyaux ! Comment expliquer ce manque
évident de symétrie ?
- Il
faut se méfier de l'évidence car nous verrons qu'une clé
essentielle (mais assez négligée par les physiciens) explique
largement cela. Il s'agit de la dualité de
localité ! Nous verrons plus loin, qu'en tenant compte
du statut de localité, la symétrie est
parfaitement rétablie. Mais revenons à notre essaim d'oscillateurs
éternels. Ils ont en eux des éléments physiques (M, L, T, Q) qui
s'annulent parfaitement et donc le néant grouille sans aucune
dépense d'énergie et dans monde non encore constitué en réseau
3D ! Tout est parfaitement non connexe !
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Sceptique : je ne vois pas comment le temps peut-être annulé ?
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C'est un paramètre physique comme les autres. Il nous faut bien
comprendre que la genèse de l'univers part du paradoxe inertiel :
M > 0 et M = 0 soit deux statuts interdits qui justifient
l'oscillation. Or toute oscillation possède une fréquence (inverse
du temps propre). Le modèle OSCAR
montre également que le paradoxe M induit l'amplitude L et ensemble,
ils induisent Q et T. Tout cela se vérifie pour l'électron. Dans le
dipôle oscillant, ce temps est confiné dans chaque pôle et donc
annulé dans chaque dipôle. Globalement, le temps ne s'écoule pas.
Il existe de ce fait, un potentiel infini de brassages des
dipôles ! Le temps, est confiné et alternatif tout comme M L, Q !
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Sceptique : mais alors comment l'univers sort-il de cette
impasse pour aboutir à ce que nous voyons ?
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Nous allons voir que la clé est l'attracteur de synchronisation.
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Sceptique : D'où sortirait cet attracteur ?
- Il y a 4 attracteurs fondamentaux : le premier attracteur est
le fameux zéro absolu. Je dirais même
que ce besoin d'absolu est vraiment la clé
de toute la physique ! La recherche d'absolu est même fortement
ancrée chez le vivant et bien sûr chez l'humain. Cependant un
attracteur ne peut-être que sous la forme d'une espérance ou
d'un « potentiel inatteignable ». Sinon, par
définition, il perd son pouvoir d'attraction ! Ensuite,
viennent des attracteurs induits tels que : a) la
symétrie duale qui induit le zéro algébrique ou relatif ;
b) l'oscillation, qui est la seule
réponse possible au paradoxe initial ; c) la synchronisation
dont nous allons parler maintenant.
A
suivre (4) : le paradoxe existentiel et la synchronisation
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