Synchronisation et formation du BEC (suite 7)

- Sceptique : donc l'espace 1D est inné mais comment ce BEC où les pôles confinés ne s'expriment toujours pas, déboucherait sur un BIG BANG ? N'est-ce pas là un point très spéculatif et invérifiable ?

- Avant toute chose, il faut bien voir qu'il existe un débit de synchronisation qui « remplit » le BEC. Plus le BEC est rempli (dense), plus il est un attracteur fort pour la synchronisation. Il y a donc, à terme, une saturation du BEC !

- Sceptique : mais combien de BECs sont en cours de formation ?

- Comme l'aléa règne en maître, il n'y a que très peu de chance pour que plusieurs BECS en cours de « remplissage » soient exactement au même niveau. Cela veut dire qu'il y a forcément un BEC plus en avance que les autres. C'est là qu'entre en jeu la notion de densité (très importante pour caractériser un BEC).

- Sceptique : cela voudrait dire que plus un BEC devient dense plus il a tendance à accélérer son « remplissage » ?

- Oui c'est exact ! Il y a plusieurs arguments pour défendre cela. Mais dans un premier temps nous nous limiterons à celui qui évoque la densité relative. Dans un volume donné, la croissance de densité influence l'environnement non connexe (stochastique) où la densité moyenne n'est pas spécialement en croissance. Comme « l'argent appelle l'argent », la synchronisation appelle la synchronisation !

- Sceptique : donc le rang de premier ne fait que se renforcer ? Mais où cela s'arrête-t-il ?

- Le mot clé est : saturation !

- Sceptique : mais encore ?

- Les couches 2D oscillant alternativement autour du « point zéro », contiennent de plus en plus de pôles oscillant radialement. La densité surfacique augmente. Il existe forcément un seuil où ces pôles se superposent !

- Sceptique : et alors ?

- Alors voyons la situation : chaque pôle contient une masse avec sa composante charge (Q+ ou Q–). La distribution des charges sur l'aire, est alternée. Si les pôles se superposent, les masses s'additionnent arithmétiquement alors que les charges s'additionnent algébriquement et donc s'annulent entre pôles voisins !    

- Sceptique : et alors ?

- Si les charges s'annulent alors chaque dipôles perd son lien interne ! Cela veut dire que plus rien n'assure leur intégrité et donc ils se séparent ! De ce fait, ils ne peuvent plus annuler leurs paramètres physiques !

- Sceptique : tous les dipôles du BEC révèlent leur masse, temps, etc ?

- Ce n'est pas si simple ! Seule la couche la plus externe est concernée. Il se trouve que les intervalles 2D entre pôles voisins d'une couche sont maintenus par la force de Lorentz ou force dynamique (FD). Cette force, proportionnelle à la vitesse, s'oppose à la force électrostatique qui les attire entre eux. Or au point de rebroussement (le rayon du BEC), la vitesse passe par zéro. Donc pour la seule couche externe, FE attire fortement les pôles entre eux car FD passe par zéro. Ils fusionnent violemment par grumeaux !

- Sceptique : Oui mais pourquoi attendre la saturation ?

- Le passage à zéro est si fugace qu'il faut un intervalle critique qui permette la superposition complète. De plus, à ce point crucial du rebroussement (v = 0 superposition), il se produit une série d'évènements. La séparation des dipôles comporte une transition où l'on passe d'un régime analogique à un régime binaire. Explication : l'oscillation faisait varier en continu, les paramètres alors que la transition de séparation provoque l'annihilation (binaire). Il existe une transition délicate où la délocalisation en cours est en retard sur la séparation causale. La délocalisation est majoritairement un échec !

- Sceptique : cela a-t-il laissé des traces vérifiables ?

- Oui : a) la température de cette annihilation (électron) est mesurée aujourd'hui (après son amortissement en 1/r²) et cela recoupe parfaitement l'âge standard de l'univers ; b) l'annihilation explique (c'est inédit) la fameuse constante de structure fine (137,035999) qui est le taux d'annihilation se traduisant par une augmentation de l'intervalle quantique élémentaire.

- Sceptique : cette augmentation d'intervalle élémentaire est-elle mesurée ?

- Oui tout à fait ! Mais avant d'expliquer cela en détail il nous faut revenir sur la cause de l'annihilation, et sur le devenir des ces pôles séparés qui deviendrons les paires électron-positrons.

La cause de l'annihilation

- Sceptique : oui je veux connaître la cause et savoir aussi pourquoi ce taux précis : α = 137 ,035999 ? Est-ce que cela veut dire que la surface élémentaire a augmentée de α² ?

- Le taux précis de α = 137 ,035999, est donc la trace de l'échec (partiel) de délocalisation. Oui la surface élémentaire est augmentée de ce facteur. On verra que ce facteur est attaché au ratio universel de cette bulle-univers.

- Sceptique : Ce ratio unique est-il ce fameux xi = 1,54×1011 ? Est-il mesurable ?

- Oui il est parfaitement mesuré par différents moyens ! Nous allons le mettre sous sa forme grecque soit : xi → ξ.

- Sceptique : mais d'où sort-il ce ξ ?

- Les dipôles synchronisés du BEC « élu » proviennent d'un grand nombre de dipôles dont les paramètres sont aléatoires. Mais leur fusion-synchronisation les a normalisé à des valeurs moyennes. Ainsi cette moyenne a fait sortir ce ξ qui représente entre autres : ξ4 = longueur de l'amplitude / diamètre du dipôle.

- Sceptique : quel est le rapport entre ces deux ratios ?

- Au demeurant, le ratio α = 137 ,035999 est purement aléatoire ! C'est également le cas du ratio ξ. Et pourtant, nous allons voir que ces deux ratios indépendant vont être dans « l'obligation » de se mettre d'accord ! Mais pour cela il faudra parler de mitose fractale, qui est la cause profonde du BIG BANG.

- Sceptique : mais finalement le modèle OSCAR n'est pas si hérétique que cela puisqu'il admet un BIG BANG ?

- A ce propos, on voit que certains font l'amalgame entre différents niveaux de caractère hérétique. Par exemple, ceux qui nient le BIG-BANG et l'expansion ne se rendent pas compte que leur argumentaire est largement plus faible que celui du standard qui s'appuie sur plusieurs voies différentes et concordantes.

- Sceptique : mais alors qu'est-ce qui différencie OSCAR du STANDARD ?

- En gros OSCAR est conforme au standard mais en rejetant tous ses pans spéculatifs. Par exemple : l'annihilation primordiale non symétrique, la masse de Planck, l'aspect binaire (1 où 0) de la non localité, le classement des lepton incluant l'électron comme une particule comme les autres alors qu'elle est unique, le refus d'envisager les quarks comme induits et non constitutifs, etc....

- Sceptique : revenons à l'élargissement de l'intervalle élémentaire. Avons-nous des traces tangibles ?

- Oui il s'agit de l'énigme du rayon classique de l'électron. On sait que l'électron (ancien pôle séparé) est caractérisé par sa longueur de Compton assimilé à son rayon. Or les lois physiques nous indiquent que le rayon devrait-être 137,03599 fois plus petit ! Voici une des traces (une seule ne suffirait pas à me convaincre) montrant que l'annihilation a élargi l'intervalle élémentaire.

A suivre ..... (8)



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