le photon (suite 12)

- Sceptique : le modèle standard décrit l'onde-photon progressant à la vitesse de la lumière c mais explique-t-il la cause de cette progression ?

- Non le MS ne l'explique pas ! Décrire n'est pas expliquer. En revanche le modèle OSCAR donne une réponse qui découle directement de ses bases. L'explication est la suivante : la particule photon est synchronisée avec son partenaire subquantique à parité égale. Ainsi les couples ML s'annulent exactement comme l'oscillateur dipolaire primitif. L'onde franchit chaque intervalle élémentaire dans le temps exact de la palpitation du BEC. L'intervalle L vaut la longueur de Compton de l'électron et le temps T est également celui de l'électron (et du BEC). Donc : c = L / T tout simplement !

- Sceptique : donc le Compton de l'électron est comme un BEC réduit. Mais cette onde s'amortit-elle en 1/r² comme le dit le MS ?

- Oui elle s'amortit majoritairement en 1/r² mais pas seulement ! Une seconde source d'amortissement est son « usure » . En effet, elle réintègre graduellement les dipôles de l'espace-temps. Il faut garder en tête que toute la matière est issue de ces oscillateurs dipolaires.

- Sceptique : alors on fait une erreur en estimant une distance cosmologique par rapport au seul critère d'amortissement en 1/r² ?

- Oui mais elle est assez faible. En effet un photon issu du BEC initial arrivant quelques 14 milliards d'années-lumière ne perd environ que 3 % selon ce mode. En réalité, l'univers est 3 % plus petit que généralement estimé ! Les quelques physiciens contre le Big Bang, se servent de cela à 100 % pour justifier l'amortissement des photons. Les autres défendent le seul amortissement en mode 1/r² ! Comme toujours, c'est le concours des deux qui se justifie. Mais si le phénomène « usure » reste marginal, il faut bien voir que c'est la seule cause crédible de la progression de l'onde. L'onde ne progresse que pour revisiter tous les intervalles élémentaires de l'univers à qui elle cède à chacun, une (très) faible partie de son énergie.

- Sceptique : d'accord pour la progression mais pourquoi à cette vitesse c, constante dans le « vide » ? Que dit le modèle OSCAR ?

- Pour répondre à cette question il faut déjà se poser une question que personne ne se pose : Comment fonctionne l'espace 3 D ? Ce n'est pas évident car ses composants 1D ne sont reliés entre eux que par le centre ou « point zéro commun ». On a vu que chaque intervalle élémentaire est relié au suivant par un aller-retour des oscillateurs dipolaires, via le point zéro du BEC concerné ! Donc l'image subquantique du photon fait ce voyage cosmique pour que la particule photon, ne progresse que de la petite longueur de Compton.

- Sceptique : cela est l'explication de la « réduction du paquet d'onde » très bien décrite par Schrödinger ? Beaucoup ont l'air de se contenter de la seule description ?

- Oui et ce phénomène est attendu par le modèle OSCAR . C'est une des preuves du fonctionnement de l'espace-temps, fait de BECs enchevêtrés. C'est un ensemble 1D constitué en couches 2D, toutes oscillant à partir du point zéro central du BEC.  Ainsi la masse du photon n'est pas ce zéro absolu auquel certains croient naïvement ! A l'instar du dipôle oscillant, ses deux pôles sont massiques où les couples ML s'annulent !

- Sceptique : la grande règle de la physique est d'abord la symétrie . Or le Modèle Oscar dit que le temps de création d'une paire est beaucoup plus court que son évacuation par le biais du photon ?

- Le photon signe le retour d'une énergie (pas seulement l'électron) vers le tissu subquantique. Mais ce retour complet est synonyme d'un équilibre de ce tissu . Or l'équilibre se traduit par la parfaite symétrie des dipôles du BEC. Donc la création d'une paire induit un déséquilibre local qui met un temps long à se diffuser. Or en tenant compte du critère de localité, la symétrie est strictement respectée. Toutes les affirmations de violation de symétrie par le MS sont fausses ! L'univers est parfaitement symétrique si on tient compte de la localité. Mais comme le disent BRICMONT et MERMET, c'est justement en matière de localité que le MS manifeste un trouble profond.

- Sceptique : mais un photon peut être émis à partir d'un changement de niveau orbital d'un électron. Dans ce cas, que rend -t-il au niveau subquantique ?

- La réponse est dans : ML = Cte. L'électron orbital possède un rayon (L) et une masse M. Si L est perturbé, alors M compense. C'est comme cela qu'une fraction de M est émise.
- Sceptique : pourquoi le MS dit : E = ħ ν en évoquant la constante de Planck sans parler de l'électron ?

- Cela revient strictement au même car : ħ = M L² / T avec M, L, T les paramètres du seul électron ! Pour l'énergie E de toute particule, on devrait écrire : E = Eo ν / νo avec Eo l'énergie élémentaire et νo, la fréquence élémentaire. Par exemple une énergie de type liaison orbitale, sera plus faible dans le ratio des fréquences comparées.

- Sceptique : alors pourquoi le MS n'utilise pas cette forme ?

- Parce que cela amènerait forcément à considérer l'électron comme l'unique particule élémentaire à l'état libre.

- Sceptique : mais n'est-ce pas le cas factuellement ?

- Oui mais on préfère éluder car la loi de FERMI l'interdit comme constituant du proton.

- Sceptique : alors FERMI a-t-il tort de l'interdire ?

- Du temps de FERMI on ne prenait pas en compte le critère de localité car l'expérience d'aspect n'avait pas encore eut lieu ! L'expérience locale lui donne raison mais chacun peut constater que la création locale est toujours instable ! Or force est de constater que la matière est faite de particules stables. Cela veut dire que leur création est non locale ! La création originelle non locale, rend caduque la dichotomie entre boson et fermion.

- Mais pourquoi n'a-t-on pas évolué ?

- Parce que il est plus facile de suivre aveuglément les « Grands Maîtres du passé » que de se remettre en cause.... Un manque flagrant d'esprit critique.








à suivre 13


Commentaires

  1. Bonjour Mr MAREAU.

    Puis-je vous demander de préciser, pour un non-physicien, une notion que vous employez souvent : la "longueur de Compton L".
    Lorsque je vais sur Wiki, je trouve comme réponse : "C'est l'effet Compton : la différence de longueur d’onde entre le photon primaire et le photon émis, est proportionnelle à une valeur constante portant le nom de longueur d’onde de Compton."
    Je n'ai pas le sentiment qu'il s'agit exactement de ce dont vous parlez ...
    Je crois comprendre que, pour vous, il s'agit de l'étendue spatiale occupée par le phénomène considéré (particule ... onde également ?). Pourriez-vous confirmer ou corriger ?

    En vous remerciant et bonne journée.

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  2. Le modèle standard est très ambigüe avec le rayon de l'électron. Vous avez lu sur wiki, la définition qui ne concerne que l'effet Compton. Mais si vous allez plus avant dans la page Wiki, vous verrez une définition où la longueur de Compton vaut : λ = 2 π ħ / m c. Mais ici on oublie de dire (c'est factuel) que ħ est déterminé par le SEUL électron !

    Cela veut dire que TOUTES les autres particules sont relatives au rayon de l'électron, dans leur ratio de masse qu'elles font avec lui. Regardez plus bas dans la page wiki, on trouve la longueur de Compton pour le proton. Or selon le modèle OSCAR, sa masse est décomposée en 4 groupes de couches d'électron-positrons, donc la masse proton est divisée par 4 pour appliquer ML = Cte. Donc avec un ratio de π / 2 on trouve le rayon (mesuré) du proton. Cela revient à diviser par 4 la masse du proton !

    Le résultat est très précis et il est cohérent avec tout le reste. Par ailleurs, cela indique que l'électron est fait d'une couche qui "palpite" entre un rayon mini (l'épaisseur du dipôle) et un rayon max le rayon de Compton. Dans le proton, chaque groupe de couches, plus massique, donne un rayon plus petit. On retrouve la loi OSCAR : ML = Cte qui est la mère de la loi de Compton.

    Ainsi la particule électron est également sous forme d'onde ! On peut également dire que la position de son rayon (le petit) est indéterminé dans sa longueur de Compton qui est 10^11 fois plus grande !

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  3. Je crois comprendre que cette longueur est TOUJOURS une longueur d'onde. Cela s'applique donc à la partie "onde" de la dualité onde-corpuscule de la matière (électron, par ex.) Mais qu'en est-il de la partie "corpuscule" éventuelle : cela s'applique-t-il également à la partie "corps", cad qui aurait un volume (si modeste soit-il) ? Ou bien, cela exclut-il totalement cette possibilité de "corpuscule" ?

    C'est ce que je n'arrive pas à bien comprendre ...

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  4. L'électron est la particule élémentaire et elle vient (par action de délocalisation) d'un pôle d'un oscillateur subquantique. Or cet oscillateur originel possède une longueur d'onde (immense rayon du BEC) et une épaisseur (corpuscule), cent milliards fois (ratio xi) plus petite que la longueur d'onde de Compton de l'électron. Donc lui-même possède deux "longueurs" qui matérialise la dualité onde / corpuscule.

    L'onde électron (Compton) a pour dual, le corps qui est "branché" sur l'épaisseur d'un dipôle dont il est issu. Avant mitose l'intervalle de l'espace-temps correspond à cette épaisseur. Après mitose, il devient égal au Compton de l'électron. Entre le rayon du BEC et ce Compton il y a un ratio xi^3. Entre les deux rayons de l'électron, le ratio est xi. Mais en 3D il vaut xi^3. Pour le modèle standard, par défaut, le corpuscule a un rayon nul ! Je ne suis pas le seul à dire que ce zéro est totalement incompatible avec la physique !

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  5. Pour OSCAR, tout est en couches "palpitantes" !

    - le BEC possède xi^3 couches
    - le proton possède 1840 couches neutres, groupée en 4 zones et 3 intervalles.
    - l'électron possède 1 couche (oscillant entre corps et onde).
    - la bulle-univers évolue en couches de vitesses d'expansion.
    - le muon ne possède qu'un groupe de 206 couches (pas d'intervalle pas de quarks).

    Même chez le vivant la mitose évolue ensuite à la naissance et les ..... couches* !

    * là il ne s'agit que d'humour (pour les couches et non pour la mitose).

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  6. :-))

    Vous pourriez rajouter que certains de vos lecteurs - dont je suis - en tiennent une couche, tellement vous êtes amené à vous répéter ! ...
    Mais, merci quand même pour cet effort !

    Bien à vous et bonne fin de journée.

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  7. Il n'y a pas de sotte question . Merci à vous.

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  8. Alors, si vous le permettez :
    Vous dites : "cet oscillateur originel possède une longueur d'onde (immense rayon du BEC) et une épaisseur (corpuscule), cent milliards fois (ratio xi) plus petite que la longueur d'onde de Compton de l'électron. Donc lui-même possède deux "longueurs" qui matérialise la dualité onde / corpuscule."
    J'avais cru comprendre que l'oscillateur originel, selon OSCAR, était 1D. S'il a une "épaisseur", est-il encore 1D ? Pour moi, ce serait un volume, donc plutôt 3D ...

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  9. Comme le rapportait Olivier dans une de ses dernières publications, l'électron palpite entre deux limites ! En taille max Compton, c'est une couche 2D qui embrasse un volume 3D. En taille mini, c'est un "point" 1D. Les guillemets sont là pour dire que l'épaisseur 1D d'un "tube" dipôle est réelle mais il n'existe pas de genre "longueur" plus petite que ce rayon. C'est donc une sorte de point mais avec un épaisseur non nulle. On ne peut pas situer un lieu en dessous de cette épaisseur. C'est important car lors de la saturation sur l'aire du BEC originel, on peut dire que "toucher" équivaut à "superposer". C'est cette superposition qui annule les charges locales et additionne les masses et donc "casse" le dipôle oscillant, en deux parties distinctes. Avec la règle ML= Cte, les dipôles deviennent massiques et petits (électron et positrons). Iln'y a rien de distinguable en dessous de cette épaisseur !

    Voilà je m'absente 8 jours et ne pourrai donc vous répondre avant ce délai !

    Merci pour votre intérêt .

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  10. Y a pas de quoi : votre modèle est tellement fascinant !
    (Même pour un simple curieux qui ne comprend pas tout ...)

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