La structure des atomes suit la loi ML = Cte (15)
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Sceptique : la loi clé du
modèle OSCAR
: ML= Cte, à
la base de la longueur de Compton
est-elle également
déterminante pour la fusion des protons en atomes ?
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Oui et le bas du tableau du billet précédent, montre que pour
l'hydrogène, le rayon de l'atome est proportionnel au rayon de son
noyau, le proton. Cela correspond au ratio : Compton élevé
au carré / le produit des deux rayons cités.
β
λe² / (rp (2u+d)) = RH
Avec
(2u+d) = 17,2407 en unité électron ou 8,81 MeV.
Comme on l'a vu, le M des quarks modifie légèrement le L des
rayons. Avec cela on obtient un ratio réputé constant entre le
rayon mesuré d'un atome et le rayon de son noyau !
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Sceptique : et que vaut ce ratio qui serait constant dans
tous les atomes ?
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Sa valeur brute est : 29 506 ,478 ! Cependant le
tableau obtenu grâce à ce ratio admet des erreurs de l'ordre de 1 à
2 %.
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Sceptique : ce n'est pas très précis !
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Oui mais comparé aux taux
d'erreurs du modèle standard , ce n'est pas si mal. De plus, la
précision des mesures de rayon des atomes est également de cet
ordre. Enfin on peut penser que certains aspects à la marge
pourraient légèrement troubler les résultats. Il faut également
voir les liens entre muon, tauon et proton, découverts par la
théorie KOIDE-MAREAU
étendue.
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Sceptique : comment fonctionne ce tableau ?
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Le calcul OSCAR – qui s'accorde au rayon mesuré
du proton – implique que ce dernier soit composé de 4 groupes de
couches comprenant chacune 460 unités (électron ou positron nus)
ou 230 paires. ainsi chaque groupe de 460 unités possède une masse
de 1836,15 / 4 = 459,037 unités électron habillé.
En appliquant ML = Cte on obtient donc précisément le rayon du
proton en divisant le Compton de l'électron par 4. C'est la masse
d'un groupe qui détermine le rayon ! Donc avec ce ratio
constant on obtient une masse par groupe propre à chaque atome. En
valeur nue ces derniers sont forcés d'avoir n fois la masse
neutre de 1840 de l'hydrogène. Par ailleurs ce nombre doit être
pair car les groupes sont neutres. En plus le nombre de groupe doit
forcément être un nombre entier. Par itération, on cherche à
s'approcher du rayon mesuré de l'atome en ajustant les nombres avec
la contrainte qu'ils soient entiers et pairs pour le nombre par
groupe. Mais certains atomes possèdent un groupe supplémentaire,
neutre, confiné et forcé d'être entier et pair comme le neutron (1
paire neutre confinée). Par définition, l'atome possède en son
sein, le même nombre de positrons célibataires qu'il y a
d'électrons orbitaux.
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Sceptique : pourquoi
une telle erreur
du MS concernant le calcul du rayon de l'atome d'hydrogène ?
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Parce que le calcul classique est celui du rayon de BOHR soit 137,035
fois le Compton de l'électron ! Cela donne : 5,29 ×
10–11 m soit plus de 2 fois plus grand
que la taille donnée par la mesure : ~ 2,5 × 10–11
m.
Sceptique :
ainsi donc les atomes ne seraient pas des paquets de « boules »
protons et neutrons mais des couches concentriques neutres de paires
électron-positrons qui contiennent en leur sein : a) des
positrons célibataires pour équilibrer les électrons orbitaux
; b) selon les cas, un groupe complémentaire et neutre.
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Oui et avec ces contraintes, on recoupe assez bien, les valeurs
mesurées des rayons des atomes. Le tableau suivant montre que le MS
génère des taux d'erreur plus important le MO (Modèle Oscar). En
fait le calcul MS est basé sur un empilage 3D de « boules».
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Sceptique : donc selon Oscar l'univers serait structuré en
couches à toutes les échelles. Que deviennent les inductions de
quarks dans les atomes lourds ?
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Selon Oscar ils sont très nombreux et très légers. Par exemple
pour les 1288 groupes du fer, on a 1287 intervalles qui forment
précisément 429 entités de charges soit 143 à 1/3 et 286 à 2/3
de charges élémentaires. Mais ces masses sont réparties et
proportionnées au faible nombre d'un groupe (ici 80 au lieu de 460
dans un proton).
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Sceptique : quels sont les recoupements avec la chromo dynamique
quantique (QCD) du modèle standard ?
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Déjà il faut prendre conscience de l'appellation QCD ! On y
invoque des couleurs qui est un concept très abstrait, immatériel
et totalement éloigné de la physique ! Ensuite on y évoque
des « gluons » servant de « colle » pour les
quarks.... alors que l'on sait que les quarks sont instables hors de
leur confinement. Cela montre bien qu'ils sont induits et non
constitutifs ! Enfin, le MS n'explique pas la cause de la masse
! C'est l'exemple même des abstractions mathématiques
spéculatives ayant la prétention insensée, de remplacer la
physique. Le billet suivant montrera comment Higgs déplace le
problème sans le résoudre, de la cause
de la masse vers la notion abstraite de champ. Cependant ce billet
dira que si ce champ existe bien, il n'a rien à voir avec la cause
de la masse du proton !
je serai de retour le 27 courant !
RépondreSupprimerJe précise que les nombres de la colonne "célibataires neutres confinés" ont des signes "–" car il sont déduits du total des couches neutres qui es toujours le produit de la seconde colonne par 1840.
RépondreSupprimerExemple : le Bore :
- masse neutre nue : 11 × 1 840 = 20 240 (masse atomique 10,811 soit un taux de 1.017)
- produit groupe × Nb = 151 × 134 = 20 234.
On retrouve bien : 20 240 – 6 = 20 234.
Bonjour Mr MAREAU.
RépondreSupprimerEn votre absence, m'intéressant toujours aux neutrinos, je suis tombé sur l'article suivant :
https://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/physique-neutrinos-solaires-influencent-ils-radioactivite-terre-24995/
Je suppose que vous le connaissez.
Il est indiqué que le phénomène commence environ 40h avant que l'éruption soit détectée. Ce qui impliquerait, en effet, plutôt des neutrinos.
Cela voudrait dire que les neutrinos peuvent influer sur la force faible ? Ou bien, que leur impact cinétique n'est pas négligeable sur une structure atomique déjà instable, augmentant les risques de "fracture" ?
Un autre mécanisme qui rendrait instable ces noyaux ?
Comment OSCAR interprète-t-il ces résultats ?
(Quoi qu'il en soit, on pourrait peut-être utiliser ce "mécanisme" pour construire des détecteurs de neutrinos moins coûteux ...)
A bientôt. J'espère que vous aurez passé de bonnes vacances.
Quelques rayons UV plus tard, me revoici cher jihems !
RépondreSupprimerMerci de m'avoir fait découvrir cet article que je viens de lire. Je ne sais que trop répondre à cela car en effet, on ne voit pas par quel "mécanisme" les neutrinos viendraient moduler les fissions nucléaires. En revanche, l'article évoque la possibilité des "axions" qui selon OSCAR sont les oscillateurs dipolaires subquantiques. Il est vrai que ces derniers sont perturbés par l'activité du soleil et agissent dans un temps ultra court.
Il est également possible que la DM émise depuis le cœur de la galaxie puisse influencer les réactions de fission. En effet le modèle OSCAR explique les variations saisonnières d'ondes parasites détectées par l'expérience DAMA, par la position de la Terre autour du soleil et donc relative à l'orientation par rapport au centre galactique. Le flux de DM est ainsi croisé à différentes vitesse relatives. Je ne saurais en dire plus.... Pour l'instant.
Bonne journée à vous !
Merci ! Le mystère persiste donc (pour le moment ...)
RépondreSupprimerBonne journée.