Le lien entre bosons de jauge et quarks (14)
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Sceptique : OSCAR dit que les quarks sont induits comme les
bosons de jauge W, Z et H ? Mais alors pourquoi les quarks sont
permanents et les bosons sont à durée de vie extrêmement
faible (fugace) ?
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Le tableau suivant montre que les bosons cités sont de la même
famille que les quarks, contrairement à ce que dit le modèle
standard. Mais avant d'aller plus loin, il faut prendre conscience
que le modèle standard fait l'amalgame entre les particules
éphémères et les particules stables. Il ne reconnaît pas ce qui
est pourtant évident : l'électron est la seule
et unique particule qui soit à la fois élémentaire,
stable et libre. Le trouble profond
et inavoué du MS vient du fait que le partenaire
symétrique de l'électron, le positron, apparaît
localement comme instable. Ce trouble
vient de la non prise en compte du critère de localité
en matière de création. Toutes les
créations locales sont fugaces ou instables. Comme il existe
seulement deux particules stables : l'électron (élémentaire)
et le proton (composite), on devrait comprendre que les deux sont
issus d'une création de type non local avec séparation.
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Sceptique : mais ne dîtes vous pas que le proton n'est fait que
de paires électron-positrons ?
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Oui et quand les protons sont créés localement, on vérifie que la
paire proton – antiproton est instable. Donc la création locale
est un leurre pour comprendre la genèse de la matière. La seule
antimatière stable qui existe, c'est le positron. Comme on l'a vu,
le positron est confiné dans le proton et ce dans tous ses
« montages » stables ou instables.
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Sceptique : oui OSCAR a largement expliqué que le proton (base
de toute la matière) est composé principalement de couches de
paires électron-positrons neutres et d'un positron célibataire dont
on mesure précisément, la charge. S'il est créé localement alors
les paires croisées le rendent instables ! En revanche s'il est
créé non localement (après délocalisation primitive) alors il est
stable car les fusions se font localement entre dipôles
différents !
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Oui quand le MS parle d'inflation primitive, il ne se doute pas qu'en
réalité il s'agit d'une déflation ! La très grande vitesse
des dipôles devient la vitesse c. Ainsi ce qui était causalement
relié, ne l'est plus ! C'est cela la séparation primitive qui
rend stable les fusions électron-positrons (séparés car
anciennement pôles de dipôles différent).
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Septique : cela n'explique pas pourquoi les positrons
resteraient confinés ?
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La réponse est dans la topologie des couches. Par définition, elles
ne sont pas topologiquement symétriques. Les couches internes sont
moins étendues que les couches externes ! Dans le neutron (soit
un proton ayant un électron formant une paire confinée avec le
positron) c'est le positron qui se trouve être le plus au centre.
C'est le hasard qui a choisi cette disposition au moment où tout
était encore causalement relié. Ainsi
cette disposition s'est généralisée.
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Sceptique : alors le neutron n'est pas tout à fait neutre ?
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Il est strictement neutre mais il induit une polarisation relative
entre le niveau quantique et le niveau subquantique. En terme MS on
dit : « polarisation du vide ».
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Sceptique : donc cela explique que le neutron ne peut éjecter
qu'un électron car il est un peu plus périphérique en son sein. Il
forme ainsi un proton où l'électron devient orbital et forme
donc un atome d'hydrogène, base de toute la matière ?
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Oui et on a vu que certains atomes peuvent faire des transitions
énergétiques qui créent localement
une paire en son sein où l'électron reste confiné et le positron
est éjecté.
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Sceptique mais on vérifie qu'il est instable !
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Oui le piège est là !! Cette paire de création
locale est logiquement instable. Du coup, on ne peut voir un
positron libre et stable ! De plus comme FERMI n'a pas tenu
compte de la localité de création,
alors les tenants du MS considèrent que le proton ne peut pas être
composé de paires électron-positrons.
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Sceptique : donc ni les quarks ni les bosons ne participent à
la masse du proton qui est juste la somme des paires ?
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En effet le modèle OSCAR montre que les quarks (~1 % de la
masse du proton) sont induits et ne restent stables que sous
condition de confinement. Et les expériences qui tendent à les
rendre libres, vérifient que les quarks deviennent instables hors de
leur confinement.
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Sceptique : alors d'où sortent-ils ?
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Ils sont des inductions du « courant alternatif » relatif
à la palpitation radiale des couches du proton. Encore une fois cela
suit la règle universelle : ML = Cte . La présence du proton
perturbe les dipôles subquantiques en rendant leur amplitude
asymétrique, ΔL. La
perturbation permanent de L produit un ΔM.
Ensuite ce ΔM produit un
ΔL corrigeant le rayon de
l'atome d'hydrogène. La formule du tableau permet pour la première
fois au monde, de retrouver le rayon mesuré
de l'atome d'hydrogène. Le lien montre que le rayon calculé du MS
(calc) est faux !
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Sceptique : si le rayon « ponctuel » de l'électron
est celui de la corde dipolaire, ξ
fois plus petite que son Compton, pourquoi est-ce √ξ
et non ξ
qui est commun avec ces inductions ?
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Le monde des particules quantiques est n couches 2D. Les quarks et
les bosons de jauge sont des extractions subquantiques de statut 1D.
C'est ce ratio topologique de type (1D/2D) qui expliqe la racine.
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Sceptique : pourquoi les coefficients harmoniques tournent
autour de 1, 2, 3, 5, 9 ?
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Ils sont issus de la mitose fractale qui suit la règle de Fibonacci.
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Sceptique : pourquoi les bosons sont fugaces alors que les
quarks sont permanents ?
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Parce que les bosons de jauge sont induits par un changement d'état,
alors que les quarks sont induits par le pompage permanent des
couches formant baryons.
passer par un dialogue ( meme fictif) est à la fois plus vivant pour le lecteur et plus pedagogique !!!!
RépondreSupprimerOui cher Olivier, le plus difficile est de rester cohérent dans le niveau de difficulté et dans le choix des questions du personnage fictif.
SupprimerEn cherchant obstinément à classer les particules en "familles" dont les nombres sont déclarés "élégants" , les tenants du MS mélangent des particules stables avec des particules fugaces. Ils ignorent ce qui est pourtant factuel : les particules stables sont forcément de création non locale alors qu'ils ne se fient qu'à des observations locales. Il y a là une très grave lacune. Tous les signes modernes montrent clairement qu'il convient de tenir compte du critère de localité :
RépondreSupprimera) l'intrication prouve une grande vitesse subquantique,
b) le besoin d'une inflation d'expansion pour tenir compte du lien causal primordial alors que cela trahit juste une déflation de vitesse pour le passage entre dipôles séparés et électrons-positrons ;
c) la cohésion de la trame d'espace-temps en 3D à partir d'éléments 1D répartit en couches 2D qui palpitent à grande vitesse pour former un BEC !
Bonjour Mr MAREAU.
RépondreSupprimerJe trouve votre argument sur le fait qu'à côté de particules locales instables, il y a des particules stables, donc non locales, très convaincant !
Si vous le permettez, je l'adopte. (Même si, pour le moment, je range les neutrinos dans cette catégorie ...)
Bonne journée
Le cas des neutrinos est en effet, spécial car selon Oscar ils sont les vecteurs d'un retour lent (à vitesse c) au statut de dipôle subquantique (qui eux sont à plus grande vitesse). Donc ils sont loin d'être fugaces mais pas éternels non plus. A cet égard, ils sont comme les photons*.
RépondreSupprimerMerci de votre intérêt
* Dans les conditions de localité, Oscar casse la dichotomie entre bosons et fermions.
Dans une des questions que je me pose concernant les neutrinos, je me demandais s'ils ne devaient pas être considérés comme des "photons dégénérés", cad, des photons qui auraient franchi le "mur de la masse" et emporteraient avec eux, justement, un peu de masse ...
RépondreSupprimerD'autant que les neutrinos sont beaucoup impliqués, me semble-t-il, dans les échanges énergétiques où on pourrait les considérer comme "de la menue monnaie" d'ajustement !
Mais je ne suis pas physicien, et ce n'est donc que pure spéculation ...
Pour le MS, le neutrino n'a pas de masse et file à la vitesse de la lumière. Il admet l'idée qu'il puisse exister un neutrino de Majorana (comportant lui-même son antiparticule). Dans ma publication ici :
RépondreSupprimerhttps://www.omicsonline.org/open-access/improving-the-accuracy-of-yoshios-formula-koide-2090-0902-1000168.pdf ,
j'indique que le neutrino du muon est un peu en mode Majorana car la masse de la partie neutre du muon, initialement en un seul groupe de couches*, se transforme en un oscillateur transverse où deux parties s'opposent et annulent ainsi la masse. Donc la masse nulle apparente cache deux demi masses qui s'annulent symétriquement .
Ensuite, selon des perturbations aléatoirement résonantes, cet oscillateur peut subir une asymétrie qui casse l'équilibre faisant apparaître ainsi un différentiel de masse. C'est ce que l'on appelle l'oscillation. Ce mot est mal choisi car le neutrino, comme toute particule, oscille en permanence. On aurait du dire que sa masse varie au cours du temps.
Pour comprendre cela il faut se demander d'où vient la masse du muon et où elle va !
Elle vient d'une perturbation quantique qui extrait 103 paires de dipôles subquantiques qui deviennent 206 unités électrons. Le ML = Cte est à l’œuvre comme toujours !
Cette création est donc instable puisqu'elle est locale ! Elle doit donc retourner en mode dipôles subquantiques. Son mode de recouvrement consiste à "visiter" tous les intervalles élémentaires de l'univers et ce à vitesse c. A cet égard, elle se comporte comme un photon bien que ce dernier est un spin entier. De plus ce dernier recouvre toutes les fréquences alors que la création du neutrino n'est résonnante qu'à seulement 3 modes de changement d'état.
*103 n'est pas divisible par 2 et donc les 206 unités ne forment qu'un seul groupe qui n'a donc pas d'intervalle. Pas d'intervalle = pas de quark. Le proton possède 4 groupes (le calcul de son rayon l'atteste) et donc il a 3 intervalles et donc 3 quarks.
A cause des fameuses "oscillations", le MS commence à admettre - avec quelques difficultés, me semble-t-il - que le neutrino puisse avoir une masse et file "presque" à la vitesse de la lumière !
RépondreSupprimerMaintenant, si j'ai bien compris - et il faudra que je le vérifie - seul le neutrino électronique est stable. Comme l'électron. Et les autres formes de neutrinos sont instables comme le sont le muon et le tau. Ce qui m'intrigue.
S'agirait-il alors d'une "adaptation instable" à un modèle lui-même instable ? Mon hypothèse de départ était, comme je l'ai écrit, que la vocation des neutrinos pouvait être de permettre des ajustements fins dans les échanges d'énergie. Mais cela serait surtout valable pour le neutrino électronique.
Dès lors, puisque les muons et tauons sont instables, les neutrinos qui cherchent à "s'adapter" à eux énergétiquement, le seraient aussi ? ...
Votre explication - que je ne maîtrise, hélas, pas assez - sur l'origine (et la fin) de leur masse me paraît beaucoup plus complète ...(mais n'exclut peut-être pas le rôle que je cherche à leur faire jouer)
Merci donc de l'avoir donnée.
En fait ce que l'on appelle (selon moi à tort) le neutrino "électronique" et juste l'évacuation du différentiel d'habillage qui existe entre le neutron et le proton. Bien sûr il apparaît en même temps que l'électron éjecté mais il n'a rien à voir avec lui ! Donc ce neutrino est différent des deux autres.
RépondreSupprimerPourquoi ce neutrino n'oscille pas dans le temps ? Tout simplement parce que ce reliquat d'habillage est lié au changement d'état neutron → proton et à rien d'autre. Alors que pour les deux autres, il s'agit d'une résonance relative à la trame des oscillateurs dipolaires. Lors d'une série de désintégrations, le flux d'énergie "croise" cette résonance qui calibre le muon ou le tauon et donc les neutrinos correspondants. Lors de perturbations de parcours, cette résonance peut se reproduire et modifier le neutrino dit "lourd" en son cousin.
En fait le rôle des neutrinos est TOUJOURS d'être des vecteurs de retour de masse-énergie vers le tissu subquantique. Vous n'avez pas tort de dire qu'ils participent ainsi à un ajustement fin des équilibres. Si c'est un muon, l'énergie du niveau quantique a extirpé un nombre précis (résonant) de dipôles (206 pour le muon). Comme la création est locale, il faut rendre cette masse énergie au tissu subquantique. Comment la rendre ? lentement (!) à la vitesse c. Comment a-t-elle été prélevée ? rapidement (co = xi^3 c) car c'est la dynamique des dipôles ! L'emprunt est asymétrique du rendu du point de vue du temps ! Mais attention ML = Cte !
En fait la genèse de l'énergie est TOUJOURS le rendu quantique → subquantique. Cela passe par des neutrinos ou des photons (ondes électromagnétiques). Rappelons-nous qu'au départ la saturation-séparation a extirpé en temps très court, TOUTE la masse-énergie de la matière de l'univers. Il est donc normal qu'elle lui soit rendue... graduellement et ce, via des vecteurs lents (neutrinos et photons à vitesse c).
SupprimerLa disparition de l'énergie informationnelle (entropie max) par la synchronisation du BEC, réapparaît lors du big bang et l'entropie (de désordre) est en croissance, depuis. Rien ne se créé ....tout se transforme....
La masse d'habillage du neutron est : ~1838,72 – 1836,15 – 1 = 1.,57 équivalent électron. A cela il convient de retrancher l'impulsion du neutrino ! Quand le neutron devient proton, cette masse neutre (comprenant son impulsion) doit retourner d'où elle vient !
RépondreSupprimerMerci encore pour ce détail dans les explications !
RépondreSupprimerJe prends note que, pour vous, le neutrino électronique, même s'il se manifeste dans la radioactivité béta, n'est pas lié à l'électron. Je reconnais être un peu surpris.
Je note aussi le rôle de retour vers le subquantique que les neutrinos jouent pour vous. Je leur faisais, pour ma part, simplement jouer une sorte de rôle de "médiateurs de l'entropie" dans le refroidissement global de l'univers ...
(Mais qui s'apparente, me semble-t-il, à la réflexion, à ce que vous nommez : le retour de l'énergie du quantique au subquantique.)
Maintenant, entre, il y a toute la sophistication de la théorie OSCAR ... Et j'en suis loin !
Bonne journée à vous.
Attention ! tout est lié à l'électron, y compris l'habillage. Mais si ce neutrino est émis en même temps que l'électron (aussi les bosons W et Z) il est surtout relatif à la variation d'habillage du proton (fait d'électron-positrons) .
RépondreSupprimerOui il s'agit de l'explication de l'énergie et non pas de sa description. Cette entité est juste le retour au niveau subquantique dans tous les cas ! Mais attention, le retour au monde stochastique est plutôt un réchauffement du point de vue informationnel.
Je ne suis pas le seul à parler de l'équivalence entre entropie informationnelle et entropie énergétique.
Quand je me gratte le dos, j'accélère (si peu) la fin de la bulle univers.
Je reconnais avoir un peu de mal avec cette notion de "réchauffement informationnel" ...
RépondreSupprimer(Pas très à l'aise non plus avec celle d' "habillage" qui me laisse plein de questions ... qu'il me faudra, évidemment, creuser !)
Bien à vous.
Pour l'entropie informationnelle voir ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Entropie_de_Shannon
RépondreSupprimerPour l'habillage voir ici : http://www.math.sciences.univ-nantes.fr/~grebert/AGG-cras.pdf
L'habillage de l'électron au repos est le résultat du couplage avec "le vide" en fait un dipôle subquantique. En mouvement, cet habillage augmente et – selon Oscar – c'est l'effet relativiste.
Bien à vous
Dans le lien "habillage" la fin du texte indique – comme Oscar – le lien existant entre l'anomalie du moment magnétique et l'habillage. Ce lien développé par Oscar donne des recoupements ultra précis.
RépondreSupprimervoir ce lien Oscar : http://www.cosmologie-oscar.com/index.php?page=reflexion#n8
RépondreSupprimeroù la fameuse mesure (à 12 décimales) de l'anomalie du moment magnétique de l'électron est retrouvé par Oscar ! C'est une première.
Merci pour les explications et les liens. Je vais essayer de les "potasser" ...
RépondreSupprimerBonne journée.