Amplitude maximale de la Bulle-Univers
Le modèle standard n'aborde pas les causes du Big Bang. Il considère qu'à partir de la longueur de Planck, il y a eu une inflation de vitesse largement supraluminique qui a permis de rendre homogène en température, tout l'univers. Il y a là deux spéculations : a) la longueur de Planck dont on a vu qu'elle ne correspondait à rien de physique ; b) cette inflation opportune mais non expliquée.
Le modèle Oscar s'intéresse d'abord aux causes du Big Bang. Il explique en détail comment se forme un BEC originel à partir de la synchronisation d'une partie de l'infinité d'oscillateurs stochastiques et dipolaires, induisant chacun un strict zéro physique. Ainsi on ne doit pas évoquer "l'univers" mais préciser s'il s'agit de son état stochastique "éternel et infini" ou de son état "Bulle-Univers". Ce dernier étant ce BEC en expansion.
Le modèle montre comment et pourquoi ce BEC originel entre en mitose brutale suite à sa saturation. C'est le Big Bang ! Ainsi une partie des dipôles se délocalise (à la vitesse supraluminique déjà présente au sein des dipôles), chacun en 2 dipôles opposés. Selon la règle ML = Cte, l'amplitude L passe de l'échelle cosmique à l'échelle quantique et contraint la masse M à augmenter pour devenir électron ou positron. Le tout forme la matière dans sa forme primitive. L'espace-temps est matérialisé par la grande majorité des dipôles restés liés en l'état. L'expansion se réalise en couches de vitesses allant de 0 c à 5 c.
En haut à gauche de la figure jointe, on retrouve la constante ML à toutes les échelles. Dessous, une relation montre que le temps propre de l'électron est induit par son couple ML. En dessous, est donné le rayon initial du BEC originel à partir de la longueur de Compton de l'électron. Dessous la relation indique le lien entre l'amortissement en 1/r² de la température initiale des électrons annihilés, l'âge de l'univers et la vitesse locale d'expansion ! Dessous la relation montre le lien entre le rayon max de la Bulle-Univers et la taille du BEC initial.
Au milieu en haut, on retrouve le coefficient 𝜉⁴ par deux relations indépendantes et en rapport avec l'électron.
En haut à droite, la relation indique le rayon actuel de la Bulle-Univers calculé avec la densité de photons, en relation avec leur nombre initial avant annihilation, soit 𝜉⁸. Plus en dessous, on retrouve le rayon maximum, au-delà de l'horizon. Plus en dessous, la masse de l'univers après annihilation. Puis on trouve la densité massique en fonction de R. Ensuite, la relation d'Einstein vérifie R. Les trois autres relations, confirment R max.
- Sceptique : que se passe-t-il après cette amplitude maximale ?
- Certainement une amorce de rebroussement qui accélérera l'annihilation de la matière et l'évaporation des oscillateurs .
- Sceptique : que veut dire "évaporation" ?
- C'est une perte de synchronisation qui amène les oscillateurs à retrouver leur statut désordonné (stochastique).
En haut à gauche de la figure jointe, on retrouve la constante ML à toutes les échelles. Dessous, une relation montre que le temps propre de l'électron est induit par son couple ML. En dessous, est donné le rayon initial du BEC originel à partir de la longueur de Compton de l'électron. Dessous la relation indique le lien entre l'amortissement en 1/r² de la température initiale des électrons annihilés, l'âge de l'univers et la vitesse locale d'expansion ! Dessous la relation montre le lien entre le rayon max de la Bulle-Univers et la taille du BEC initial.
Au milieu en haut, on retrouve le coefficient 𝜉⁴ par deux relations indépendantes et en rapport avec l'électron.
En haut à droite, la relation indique le rayon actuel de la Bulle-Univers calculé avec la densité de photons, en relation avec leur nombre initial avant annihilation, soit 𝜉⁸. Plus en dessous, on retrouve le rayon maximum, au-delà de l'horizon. Plus en dessous, la masse de l'univers après annihilation. Puis on trouve la densité massique en fonction de R. Ensuite, la relation d'Einstein vérifie R. Les trois autres relations, confirment R max.
- Sceptique : que se passe-t-il après cette amplitude maximale ?
- Certainement une amorce de rebroussement qui accélérera l'annihilation de la matière et l'évaporation des oscillateurs .
- Sceptique : que veut dire "évaporation" ?
- C'est une perte de synchronisation qui amène les oscillateurs à retrouver leur statut désordonné (stochastique).
Pour le modèle standard, tout est géométrique !
RépondreSupprimerSauf qu'il ne s'agit que d'effets et non de causes. Par exemple, je montre que la courbure d'Einstein est la conséquence des asymétries des dipôles subquantiques.
L'existence de l'espace-temps 3D + 1D ne doit pas être pris comme telle.
Elle doit être justifiée ! Elle est la conséquence de l'assemblage dynamique en BECs, des dipôles 1D subquantiques.
Le 1D des dipôles doit également être justifié ! Là il faut voir la loi : ML = Cte, le paradoxe existentiel par le double interdit {M = 0 ; M > 0} dans le cadre de l'impulsion de Dirac.
La période de l'électron (te) est proportionnelle au couple ML et la charge Q, elle même induite par ML de l'oscillateur dipolaire. Dans cette dernière la constante 10^7 joue le rôle de d'ajustement dimensionnel. La période élémentaire est très légèrement corrigée par le ratio des habillages muon/proton.
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