La 5eme dimension via le neutron

- Sceptique : le tableau propose un calcul précis concernant la durée de vie du neutron mais l'incertitude relative de la mesure: 880,3 (±1) secondes permet-elle un recoupement aussi précis qu'avec l'anomalie magnétique de l'électron ?

- Ce qui est important c'est d'avoir une confirmation du rôle de la 5eme dimension. Le billet précédent montrait le lien entre 𝛏 et 𝝰 dans le puits de jauge qui matérialise la 5eme dimension. La variable (naturelle) d'ajustement (coefficient = 1.00048) est la clé de l'instabilité du neutron. Sa propension à devenir proton répond à l'ajustement forcé entre les deux signatures.

- Sceptique : mais Kaluza-Klein n'ont-t-ils pas proposé depuis longtemps, une cinquième dimension ?

- Oui mais ils considéraient qu'elle était repliée sur elle-même ! En fait, l'idée était bonne mais comme souvent, on confond la cause physique avec l'aspect géométrique qui n'est qu'une conséquence. Le modèle Oscar part d'une matérialisation physique (avec ses causes) faite d'un tissu d'oscillateurs dipolaires qui fondent le niveau subquantique qu'est l'espace-temps.  De plus ils utilisaient la spéculative "longueur de Planck" Pour tenter de matérialiser cette boucle minuscule. Encore une fois, la voie par le "tout géométrique" est ambiguë car elle donne des résultats que certains interprètent comme des causes alors que ce ne sont que des conséquences ....   
     
- Sceptique : pourquoi ce coefficient (1.00048) entre la masse mesurée (1836.15) et celle originelle, du proton (1835.26) ?

- Si par un hasard extrêmement improbable, la relation entre 𝛏 et 𝝰 avait été parfaite (coefficient 1), le neutron aurait été stable. Mais en réalité, il porte une unité électron plus massique et donc représentée par un nombre plus faible (1835.26). Ce "sur-poids", emprunté au vide, se traduit par la "force faible" et donc l'instabilité du neutron. Sans ce coefficient d'ajustement, la Bulle-Univers serait restée neutre et stérile.

- Sceptique : pourquoi le temps varie en 1/𝛏³ dans le puits de jauge alors que l'énergie varie, selon les cas, soit 1/𝛏 pour les rayons cosmiques max ou en 1/√𝛏 pour les bosons de jauge et les quarks ?

- Dans les deux cas d'extraction d'énergie, la loi est en 1/r : les rayons cosmiques sont émis directement par le centre des galaxies dans le mode 1D / 1D → 1/𝛏,  alors que les bosons de jauge  sont  extraits dans le mode 1D / 2D → 1/√𝛏 via les couches sphériques du neutron. L'extraction du temps est en 1/r³1/𝛏³ car les pôles des dipôles subquantiques, circulent  𝛏³ fois plus vite !

- Sceptique : Les deux formules partent du temps élémentaire universel qui est celui du volume élémentaire (Compton électron). Pourquoi l'appliquer au neutron ? 

- On a montré que le rayon du proton est lié au rayon élémentaire par la loi ML = Cte. Le rayon du proton est fonction d'un M équivalent à sa masse, divisée en 4 groupes neutres. Le dessin montre que la durée de vie est conforme au niveau 4 de la mitose, soit 3 intervalles. Ainsi l'unité de temps élémentaire est réduite du facteur : 4³ = 64

-Sceptique : la seconde formule  ne mentionne pas 𝛏³, pourquoi ?

- Les niveaux du puits de jauge, retracent les étapes 𝝰 de la mitose. La première formule part de la transition subquantique {1D/3D}. Donc le facteur de temps 𝛏³ est réduit de 𝝰⁴. La seconde relation part du niveau quantique via les 4 étapes 3D. Le facteur 𝛏 est une fois de plus, vérifié avec une très haute précision.         
  
- Sceptique : le bas du dessin montre que le logarithme du taux de mitose, exprimé en base 5, donne environ 64. Comment articuler cela avec les 5 étapes de mitose ?

- On a vu qu'en 2D la variable d'ajustement était le nombre 1835,26 qui permettait d'ajuster les intervalles induits par 𝛏² et ceux résultants des 5+1 étapes de mitose, 𝝰¹². Mais le prix à payer était la réduction de l'intervalle élémentaire originel par accrétion en neutron ! Ainsi la réduction de l'intervalle élémentaire (Compton) est de facteur 4 en 1D et donc de 4² = 16, en 2D. Ensuite, vu depuis les puits de jauge en 3D, on retrouve bien le facteur 4³ = 64.  Les 5 étapes de mitose ont donc un lien avec les 4 groupes neutres des neutrons et protons. 

- Sceptique : comment  peut-on être sûr que le hasard fixe une mitose en 5 étapes ?

- Il y a plusieurs preuves : a) l'expansion en 5 niveaux de couches de vitesses de 0 à 5 c, permet d'expliquer l'énigme de l'énergie sombre et l'énigme du trou de l'éridan ; b) la convergence des ratios de mitose en 2D et 3D, ne fonctionnent qu'avec 5+1 étapes ; c) les coefficients des bosons de jauge tournent autour de 55+1 et  8
Le nombre de sous-groupes chargés des neutrons et protons est : 1840 / 8 = 230. Ils formes 4 groupes neutres et 3 intervalles polarisés. Le nombre 8 est également au centre de  la "voie octuple",  théorie proposée par Murray Gell-Mann . Enfin dans la suite de Fibonacci relative à la mitose, le ratio du rang 6 (8) par le rang 5 (5) donne le coefficient du boson de Higgs : 8/5.

- Sceptique : n'est-ce pas de la numérologie que vous condamnez par ailleurs ?

- Non car la numérologie part de chiffres (mystiques) alors qu'ici, la clé réside dans les comparaisons multiples entre éléments physiques mesurés et leurs cohérences multiples et globales. Chaque signature 𝛏', induira un taux d'annihilation 𝝰' qui devra converger par 3 canaux différents :
a) la valeur du taux lui-même (ici 137,03599);
b) le nombre d'étapes (ici 5+1);
c) les variables d'ajustement (ici neutron = 1835,26 unités et le taux 1,00048.)
La convergence est basée sur l'isotropie des intervalles, obligatoire dans un BEC ! L'accrétion en neutron, réduit l'intervalle moyen initial et ce, en accord avec la loi ML = Cte. On peut envisager d'autre Bulles-Univers où les neutrons seraient énormes où tout petits. Dans tous les cas,  la convergence sera assurée. Cependant, il peut subvenir des mondes stériles où les neutrons seraient stables. Mais cette éventualité est statistiquement quasi impossible. En revanche, sa durée de vie pourrait changer drastiquement. Ici elle est de 880 secondes.       
            

    

Commentaires

  1. Ainsi alpha (coefficient d'annihilation) dépend de xi mais pas sur le plan numérique. Il faut des neutrons pour faire converger les intervalles et il faut également que ceux-ci aient une masse neutre plus grande que celle du proton, pour que leur instabilité ne débouche pas sur un monde stérile.

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  2. Je ne dirais jamais assez que la longueur de Planck est imprudemment justifiée que par sa seule cohérence dimensionnelle, sans aucun autre recoupements. Elle est spéculative car sa forme brute ne donne pas le coefficient xi (1.5 ×10^11) qui lui donnerait un rôle physique plusieurs fois recoupés en matérialisant l'épaisseur d'un dipôle subquantique. Elle serait alors xi fois plus grande et xi fois plus petite que le Compton de l'électron.

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