La dualité de signatures de la Bulle-Univers

- Sceptique : le dernier billet montre la première signature, soit le ratio 𝛏⁴ de la Bulle-Univers, issue de la synchronisation formant le BEC. On a vu que le rayon du point zéro central est égal à l'intervalle de Compton, dont la taille est 𝛏³ fois plus petite que celle du BEC. On a vu enfin que le ratio entre les deux, soit 𝛏, correspond à l'accroissement d'intervalle généré par la mitose. Mais quid de la seconde signature ?

- C'est la conséquence directe de la délocalisation-déflation des dipôles de la couche externe saturée du BEC, devenant pôles en cours de séparation. Il existe un moment critique où une partie majoritaire échoue la séparation à cause du ralentissement ou déflation, induite par l'augmentation de masse. Les pôles (+/-) voient leur masse croître d'un facteur 𝛏³ tandis que leur vitesse décroît du même facteur. C'est là  clé de ML = Cte.

- Sceptique : par quoi se traduit cet échec de séparation ?

- Par une annihilation (symétrique) presque complète ! En effet son taux (2D) est 𝝰² = 137,03599² ! Cela veut dire qu'il ne reste que 1/137.035999² fois le nombre initial 𝛏⁸, d'unités électron-positrons épargnées. Il ne reste donc que 𝛏⁸/𝝰² unités, soit une masse totale de la Bulle-Univers de : 1,58 × 10⁵⁵ kg ! Cette masse est cohérente avec les estimations courantes. 

- Sceptique : mais le modèle standard ne parle-t-il pas d'une annihilation asymétrique ?  

- Oui et c'est grave car il trahit la première clé universelle de la physique, la symétrie. C'est éluder le statut d'équivalence entre positron et électron.  On a déjà vu que la cause profonde de cet aveuglement, est le refus de regarder en face, la dualité de localité
  
- Sceptique : quel est le point commun entre ce taux d'annihilation 𝝰² et le taux de mitose 𝛏²

- Ils participent tous les deux à la perte de densité sur la couche externe. Un BEC est en équilibre si et seulement si, sa densité  est isotrope. C'est cela qui justifie la mitose. L'annihilation est le déclencheur de la première étape de mitose qui en comporte 5+1, en tout. 

- Sceptique : pourquoi 5+1 ?

- Comme toute opération de mitose, celle du BEC initial suit la loi de Fibonacci. Mais elle est limitée à 5+1 étapes selon les 6 chiffres suivants : 1, 1, 2, 3, 5, 8. Chaque nouveau nombre (étape) est la somme des deux derniers. Si on ne fixe pas de limite, le ratio des deux derniers nombres, donnerait le fameux nombre d'or (1,618).  Mais avec cette limite à 6 étapes, le nombre d'or de l'univers, vaut : 8/5 = 1,6.

- Sceptique : cela a-t-il un rapport avec les coefficients des bosons de jauge et des quarks ?  

- Oui et dans ce lien, on retrouve bien le coefficient 5/8 pour le boson de Higgs et des coefficients à base de 5 et 6 pour les autres particules.  Dans chaque puits de jauge (ou subquantique), on retrouve les traces de la mitose ! Le logarithme de 𝛏 en base 5 donne également un nombre proche de 8 (imprécision 1.0005).  

 - Sceptique : pourquoi cette imprécision ?  

- En aucun cas, ce ne peut-être exact car 𝛏 est un nombre aléatoire. En revanche la base 5 est révélée comme approchant le plus, le taux de mitose. 

- Sceptique :  pourquoi 5+1 et non 6 étapes ?

- La première étape "1" est celle de l'annihilation. Elle augmente l'intervalle d'un facteur 𝝰 qui lève déjà, la fameuse énigme du rayon classique. Ensuite il existe 5 étapes de mitose proprement dite.  Les 6 étapes se retrouvent dans la seconde relation du tableau selon : 𝝰¹² = (𝝰²)⁶ . Ainsi, l'occurrence avec 𝛏² s'obtient par le truchement d'une variable d'ajustement, soit le nombre d'unités brutes pour le neutron, soit : po = 1835,26.

- Sceptique : comment agit la variable d'ajustement ?

- En projection holographique sur la surface 2D du BEC, le regroupement en neutron, réduit la surface pour que l'intervalle moyen soit respecté.  
 
- Sceptique : mais pourquoi po = 1835.26 est plus petit que : p = 1836,15 ?

- Le ratio entre les deux est : 1,0004847. Cela veut dire que l'habillage brut initial était celui du neutron. En fait, la dernière relation du tableau, montre que c'est la variable d'ajustement entre les deux signatures. 

- Sceptique : Est-ce que ce taux d'annihilation est aléatoire ou a-t-il rapport avec la première signature, 𝛏³ ?

- Il y a forcément un rapport car l'annihilation se fait sur la base du premier ratio du BEC. Mais comme la première accrétion forme des neutrons, le ratio 1,00048, trahit le différentiel d'habillage entre le neutron et le proton. Ce différentiel est évacué par le neutrino 𝜈  émis lors de la réaction n → p + W + Z + 𝜈 + e⁻

- Sceptique : oui mais en faisant le ratio (n-1) / p,  on trouve 1.00085 > 1.00048. Où est passé le surplus ?

- Dans l'effet dynamique relatif à l'impulsion des composants émis. 

- Sceptique : Que veut dire la dernière relation du tableau ? 

- Elle montre le ratio : {quantique / subquantique} de chacun des puits de jauge. Ils sont relatifs aux volumes élémentaires de Compton. Le puits retrace chacune des 5 étapes en 3D + 1 étape relative au dipôle 1D. L'exposant affecté à 𝝰 est donc : 5 × 3 + 1 = 16, soit 𝝰ˣ³⁺¹.

- Sceptique : pourquoi ce ratio géométrique : 4/3 𝜋 ?

- Le puits de jauge est une succession de ratios – étape par étape – et le dernier ratio est de type : 3D / 1D. Un volume divisé par un rayon passe forcément par le facteur  4/3 𝜋 . Voir puits de jauge du proton

- Sceptique : donc on pourrait dire qu'une seule signature suffit à caractériser cette Belle-Univers ?

- Non car le différentiel {neutron / proton} = 1.00048 serait alors une variable d'ajustement inconnue. Donc il y a bien une dualité de signatures à connaître. Mais il est vrai que l'une entraîne l'autre.  

- Sceptique : pourquoi le puits de jauge est en 3D (donc 𝛏³) alors qu'initialement tout se formait en 2D (donc 𝛏²) ?

-  Initialement, l'accrétion s'opère sur la couche externe 2D du BEC alors que les volumes des puits de jauge, sont plongés dans l'espace 3D. La quatrième dimension est le temps quantique de traversée du volume élémentaire (𝜆 = c tₑ). Il est 𝛏³ fois plus lent que celui du temps subquantique. Par exemple, on voit ici que la durée de vie du neutron est fonction de :  tₑ 𝛏³ .
 
  




   

Commentaires

  1. Selon Oscar, les neutrinos sont de Majorana avec la variante suivante : matière et antimatière s'annulent comme pour les dipôles subquantiques. Les neutrinos transportent la masse mais de manière incognito, hors perturbation. Mais les perturbations sont légions ! Si elles sont faibles, alors elles brisent la symétrie et laissent apparaître une légère masse. Si les perturbations sont fortes, alors les neutrinos changent carrément leur arrangement interne et ils "oscillent".

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  2. Mr Mareau,
    il est quand même incroyable que l'annihilation n'ait pas été totale (heureusement, car sinon on ne serait pas là pour en parler !).
    Cela veut dire que la mitose a commencé avant que l'annihilation n'arrive à son terme. Cela n'a pas dû se jouer à grand chose, temporellement !
    D'ailleurs, on peut se demander pourquoi les perturbations engendrées par la séparation de la dernière couche n'ont pas provoqué la séparation d'autres couches 2D "voisines" !
    Vous allez surement dire: "si, mais c'est une séparation sous une autre forme: la mitose !"

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  3. Oui la dernière couche subit le point de rebroussement ce qui la distingue des autres y compris des couches voisines.

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