La première signature de l'état Bulle-Univers

- Sceptique : le ratio universel  𝛏 = 1.5458 × 10¹¹ est en effet présent partout mais d'où vient-il exactement ?

- Au moment où certains dipôles se synchronisent pour saturer le BEC originel,  leur ratio {longueur / épaisseur} est fixé à la valeur  𝛏⁴

- Sceptique : qui a fixé 𝛏⁴ ?

- l'aléa ou le hasard car auparavant ce ratio était changeant et multiple. Puis la synchronisation a forcé l'harmonisation à la moyenne du lot.

- Sceptique : comment peut-on être sûr que c'est ce ratio et pas un autre ?

- La seconde relation du tableau montre qu'il colle parfaitement avec le ratio mesuré {force coulombienne / force gravitationnelle} entre un positron et un électron.

- Sceptique : mais le modèle standard considère qu'il convient de comparer un proton et un électron !

 - Oui c'était le cas avant de découvrir le positron. 

- Sceptique : mais pourquoi ne pas avoir corriger depuis ? On voit bien que le proton est 1836 fois plus lourd que l'électron (on compare un poids lourd avec un vélomoteur !). Où est la symétrie ?

- On ne corrige pas tout simplement par conservatisme. Les habitudes du moyen âge ont la vie dure. A l'époque on restait sur les niaiseries d'Aristote alors que les travaux de Bruno Giordano, Copernic et Galilée, montraient clairement que c'était faux ! Et maintenant on reste coincé au niveau du début du siècle dernier .... et pas seulement pour ce cas !  

- Sceptique : d'accord mais comment sont liés physiquement ces deux relations ?

- Le modèle Oscar indique que la Bulle-Univers commence par un BEC sphérique. Il est fait de couches concentriques de dipôles, chacun en cours de séparation en deux pôles opposés. Donc la force électrique radiale est conservée le long de la circonférence, via les 𝛏⁴ unités. Donc chacune récupère 1/ 𝛏⁴ de cette force électrique entière. C'est la gravitation qui est donc toujours attractive.  

- Sceptique : la troisième relation du tableau dit que l'amplitude radiale fait 𝛏³ fois le fameux intervalle de Compton 𝛌ₑ. Comment expliquer ce hiatus entre 𝛏⁴ et 𝛏³ ?

- L'empilage des couches conserve l'intervalle 𝛌ₑ radial mais sur le plan tangentiel, la densité augmente jusqu'à saturation. L'intervalle entre pôles alternés est réduit à zéro. La surface contient donc 𝛏² fois plus de pôles. Cela correspond donc exactement au ratio de mitose !

- Sceptique : pourquoi l'intervalle radial ne se réduirait pas également ? Pourquoi cette isotropie ?

- Il existe un seuil critique pour l'intervalle temporel entre deux couches. Le modèle montre que la période universelle de l'électron tₑ, est celle d'un aller-retour d'un dipôle dans le BEC. Comme l'intervalle 𝛌ₑ est 𝛏³ fois plus petit, la période l'est également. C'est donc la limite de fréquence d'émission depuis le point zéro commun, également de rayon 𝛌ₑ .   

- Sceptique : en résumant, ce ratio 𝛏⁴  (longueur / épaisseur) génère 𝛏³ et le ratio entre les deux, induit le taux de mitose 1D 𝛏 (intervalle) qui en 2D (surface),  génère 𝛏². Mais le carré de 𝛏⁴ donne 𝛏 le nombre total "d'équivalent électron" et donc la masse de l'univers. On devrait avoir un recoupement avec cela ?

- Oui et cela est recoupé avec le nombre total de photons. On verra dans le prochain billet qu'après annihilation, on retrouve la masse estimée de l'univers.    

- Sceptique : d'accord et quelle est la seconde signature ? 

- Elle s'appelle 𝝰 = 137,03599 (constante de structure fine) et c'est l'objet du billet suivant. Elle signe le taux (1D) de l'annihilation primordiale. Et nous verrons qu'elle résout l'énigme du ratio entre le Compton de l'électron et son rayon dit "classique", 𝝰 fois plus petit.

    
 

Commentaires

  1. Bonsoir Mr Mareau,
    pourquoi la saturation ne correspondrait pas à la limite de ce que la physique a été capable de faire pour synchroniser le maximum de dipôles duaux possibles dans le BEC géniteur?
    Et donc plus le point zéro synchronisé grossissait, plus, il synchronisait de nouveaux dipôles, obligeant L à augmenter son étirement (et donc la vitesse) pour gagner en période d'émission de couches au point zéro? (jusqu'à 10^-54s au moment de la saturation).
    Il ne serait donc pas une moyenne, mais plutôt une limite?

    Vous allez certainement dire, que cette limite aurait été fixée par qui? avec quels paramètres maxi? alors qu'aucune constante n'existe encore.

    Mais si l'univers est physique, même confiné, ce que vous semblez affirmer face aux mathématiciens, il doit bien y avoir des limites si on refuse "zéro absolu" et "infini" en paramètres physiques?

    Je ne remets aucunement votre modèle en cause, je fais l'avocat du diable ou le sceptique !

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour L C, et vive le scepticisme, car il pousse la réflexion !

    La clé de la délocalisation (mitose) est la saturation par masquage des charges alternées.

    On a Q = f(ML) avec L de nature algébrique. C'est bien le masquage de Q qui brise le lien des dipôles.

    Le monde stochastique n'a pas de limite physique potentielle dans tout le domaine inférieur à l'infini. Comme vous le dîtes, elle aurait été fixée par qui ?

    Cependant, lors de la synchronisation, c'est la moyenne des ratios qui est prise en compte. Ainsi apparaît le ratio xi^4 et le ratio xi^3. Ce dernier donne la taille du point zéro comme étant le Compton de l'électron. Partant de là, cet intervalle Compton implique une limite pour être traversé par la vitesse des pôles. Cet intervalle est celui du point zéro commun. Il induit une période d'émission des couches, à partir du point zéro. C'est : to = te / xi^3 !

    Quand vous dîtes : " il doit bien y avoir une limite", je suis d'accord mais il faut préciser dans quel état :
    a) stochastique → le champ des possibles est infini mais la limite supérieure est < infini ;
    b) Bulle-Univers → les "limites" sont fixées par la moyenne (aléatoire) des ratios du lot synchronisé. En fait ce sont plus des constantes que des limites.

    Bien à vous

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour Mr Mareau, merci pour votre réponse.

    1. infini -1<infini , physiquement, quelle que soit l'unité de 1, mais infini -1=infini, mathématiquement car les deux sont la même "limite" de toute suite ou fonction. Donc tout ceci n'est pas facile a bien définir et je trouvais donc plus facile de parler de limite physique, même si la notion de limite en phase stochastique est tout aussi impossible à définir !

    2. j'ai toujours du mal à l'idée de charge dans le monde stochastique, même dans le BEC synchronisé avant la saturation. Je sais que pour OSCAR, il s'agit de la nature physique du lien entre les deux demi dipôles, mais la charge n'est qu'un effet de la variation de ML. Pourquoi aurait-elle un lien de causalité avec autre chose?
    Les variations synchronisées symétriques de M et L et de M' et L' se suffisent probablement à elle mêmes. Considérer deux demi dipôles n'est qu'une vue parcellaire et incomplète d'une même entité.

    3. M et L sont indissociables dans le monde stochastique, pourquoi L serait de nature algébrique et pas son frère jumeau?
    un delta M est tout aussi "signant" qu'un delta L.
    N'est-il pas plus prudent de dire que ML est de nature algébrique, comme conséquence de leur association, quelle que soit la nature de L et M?

    4. La charge est portée par la particule.
    La gravitation est un reste fossile du lien électrique liant les deux demi poles originels. Mais ce reste est-il porté par la particule ou bien par le subquantique sous-jacent perturbé par la particule?
    Posé autrement, la gravitation est-elle portée par la matière, ou par son support subquantique relié (=déformation du champ ).

    RépondreSupprimer
  4. Le rôle de charge (fonction de ML) est la garantie d"une somme algébrique à zéro. Sinon d'où viendrait ces paramètres physiques ?

    Dans le couple ML c'est L qui est algébrique. M est réputé scalaire mais il est vrai que dans son expression 1D on pourrait dire qu'il ne l'est pas.

    La charge est en effet portée par la particule mais elle comme perturbe les dipôles, elle courbe l'espace-temps et donc les 2 sont concernés.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?