La loi générale de Koide-Mareau

La loi de Koide a été initialement proposée en 1981 par Yoshio KOIDE. Elle concerne un lien particulier entre 3 particules : l'électron de masse (m), le muon de masse (µ), le tauon de masse (𝝉), toutes trois classées dans la famille des leptons.

La figure ci-jointe montre la loi initiale de Koide, construite à partir des masses mesurées. Avec une incertitude de 10⁻⁵, elle interroge sur la nature physique de ce lien, via le coefficient 2/3.  

Le modèle Oscar montre, par plusieurs voies indépendantes, que les particules composites sont construites à base de paires électron-positrons. Par définition, ces paires doivent être représentées par des nombres entiers. Leur masses mesurées sont habillées de particules virtuelles et leurs unités nues sont donc représentées par des nombres plus grands. Exemple : la masse du proton = 1836.15 électrons habillés correspond à 1841 électrons nus. En fait 920 paires électron-positrons + 1 positron confiné donnant la charge exacte du proton.

Dans le cadre des leptons (instables) nous avons :

a) l'électron représenté par 1 unité nue = 1

b) le muon de masse habillée µ = 206,76 est représenté par 206 unités nues + 1 électron = 207. Son taux d'habillage est : 207/µ =
mₕ = 1.001120758.

c) le tauon de masse habillée 𝜏 = 3477,10 est représenté par 3480 unités nues + 1 électron = 3481. Son taux d'habillage est : 3481/𝜏 = 1.0009589.

En remplaçant la masse nue = 1 de l'électron, par sa masse habillée dans son assemblage en muon, elle devient : mₕ = 1.001120758. Elle apparaît ainsi comme un taux correcteur des différentiels d'habillage. Ainsi la formule de Koide se précise dans un premier temps, avec une incertitude de 10⁻⁷ soit 100 fois plus précise que la formule initiale.  Une seconde correction, décrite dans le tableau joint, apporte une précision à hauteur de : 10⁻¹³ ! Cette correction contient l'élément déterminant qui a permis d'obtenir une occurrence record à l'anomalie du moment magnétique de l'électron.  

Mais ce n'est pas tout ! La figure montre que le tiers de la somme des masses nues des 3 leptons, correspond à la masse nue du neutron ! Dans ce cas la certitude est absolue !

Que faut-il tirer comme conclusion ?

1/ Le taux d'habillage virtuel du muon représente un taux universel qui s'accorde avec l'électron et le tauon.  

2/ Les particules composites sont toutes à base de paires électron-positrons. 

3/ L'habillage virtuel est toujours le nombre d'unités nues,  divisé par la masse mesurée. Par exemple le taux d'habillage du proton vaut 1841 / 1836.15 = 1,0031.

4/ Les particules composites comportent une partie neutre (206, 3480, 1840) et une partie célibataire qui donne la charge. 

5/ La partie neutre et majoritaire est un empilage qui masque les paires chargées. 

6/ Ce qui différencie les leptons (sans quark) des hadrons (avec quarks) ce sont les groupes d'empilages neutres. Par exemple le proton possède 4 groupes (3 intervalles) qui induisent 3 quarks. Le muon ne possède qu'un seul groupe de paires (103) car indivisible. Il n'a donc pas d'intervalle polarisé et n'induit pas de quark. Le modèle Oscar vérifie cette loi sur des dizaines de particules.       
             
 7/ Le principe de dualité de localité indique que les paires électron-positrons créées par délocalisation originelle, sont localement, des pseudo-bosons. Elle se distinguent de celles qui, créées localement, sont des fermions. L'association de ces dernières, les rend instables. 

8/ La force forte, de nature électrique, vient du démasquage des charges empilées. L'allure asymptotique de sa courbe est expliquée par son taux de démasquage (l'énergie varie en 1/r). 

9/ la masse des particules composites est directement expliquée et la participation du champ de Higgs est limitée aux particules virtuelles ou aux transitions d'état, via les bosons de jauge.

10/ La taille des couches sphériques empilées suit la loi de Compton : ML = Constante. Par exemple, le rayon du proton est induit par la masse d'un groupe soit : M = 1836.15 / 4. Ainsi le rayon de Compton de l'électron L est diminué proportionnellement pour correspondre à celui du proton : Lp = 4 L / 1836.15.      

NB :  en posant simplement 1 pour l'électron puis 207 et 3481 on diminue l'incertitude de Koide d'un facteur 100 !
 

  

Commentaires

  1. Pour une majorité de la communauté scientifique, l'expression : "dualité de localité" est tabou. Et pourtant, elle est la clé de tout !

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