Réponse à Leibniz : "pourquoi quelque chose plutôt que rien ?".

Voici un résumé de la réponse à LEIBNIZ : "pourquoi quelque chose plutôt que rien ?".

- Sceptique : ne peut-on pas dire que plus la masse est faible plus l'agitation est grande?  

-  Oui mais le terme "agitation" doit se comprendre comme doté d'une grande fréquence et d'une grande amplitude. 

- Pourquoi y-a-t-il une amplitude imaginaire ?

- Le point zéro est une sorte de brassage aléatoire duquel sort une masse d'origine (Mo) aléatoire, la plus petite possible. Plus elle sera petite plus son "reflet amplitude" sera grand. Cela veut dire que son crédit déplacement est de grande amplitude. Dans le cadre d'une oscillation, cette amplitude est déjà envisagée avant même que la masse puisse s'y déplacer. Elle est imaginaire car elle est déphasée de 𝝅/2. 

- Sceptique : le Mo le plus petit possible est proche du zéro ?

- Oui et non car il existera toujours une infinité de nombres la séparant du zéro absolu !

- Sceptique : Pourquoi le couple ML serait la base de tout ?

- On sait déjà que la charge élémentaire est fonction de ML. Mais en plus, on peut comprendre que les deux impulsions (de Dirac) des masses des deux dipôles opposés, doivent absolument s'annuler entre eux dans le référentiel du dipôles. Autrement dit la charge est la composante contraire de ML pour l'annuler dans le référentiel dipolaire.  

- Sceptique : et la période (le temps) ?

- A chaque cycle, le couple ML est forcé d'osciller avec ses paramètres M,L,Q. Le modèle montre que la période est logiquement  fonction de ML et Q.   

- Sceptique : Le "– 1" de ML est-il compatible avec le statut scalaire de la masse ?

- Oui car il s'agit du couple ML. Cependant, même la seule masse M de cette "corde" 1D, n'a pas le même statut que la masse macro que nous connaissons. Dans ce contexte, toute apparition aléatoire de masse Mo, est forcément accompagnée de son potentiel d'amplitude spatiale.   Pas de M sans i.L ! Son statut imaginaire le met en avance de pi/2 sur la masse. Quand elle arrive au point de rebroussement (au bout de la trace du L réel), son image i.L, arrive au point zéro. Cela revient en réel à : M ⨯ (L-𝛥L) = Cte !  
 

Commentaires

  1. bonjour Mr Mareau,
    le titre aurait pu être également être "pourquoi quelque chose qui n'est rien" ou bien "pourquoi quelque chose et rien" pour bien montrer la dualité et/ou le paradoxe (l'impossibilité M>0 et M=0).
    Merci encore pour ce billet qui est très clair.
    J'aurais trois questions/commentaires:

    1. la notion d'inertie macroscopique est liée à la masse. Mais dans le dipôle, l'inertie de M n'est-elle pas "physiquement" le iL? (l'existence de toute masse M nécessitant un iL)

    2. dans les commentaires de ce blog, j'ai toujours montré de la résistance à la notion de charge. Alors j'irai plus loin que la remarque 1. Le iL ne représente justement-il pas cette charge, ou signe ?
    en effet, quand M sort du point zéro, iL représente le "positif" car M va grossir sur la longueur L. Au bout de L, M est maxi, iL représentant le "négatif" car M va diminuer dans la phase suivante. C'est à dire que la charge serait juste le potentiel de variation de M dans la phase à venir.
    Cependant, pour respecter la symétrie du dipôle , il faut également considérer que M et M' sont décalés de pi, c'est à dire que M est en retard de 3pi/2 par rapport à iL', tout comme M' avec iL.

    A la séparation des dipôles, on a donc M et M' porteurs de 2 "vecteurs" opposés (représentant les iL et iL' qui doivent les ramener vers le centre), se répartissant sur l'espace 2D sphérique (puisque le lien vers le centre est rompu). C'est la gravitation.

    3. quand M sort du point zéro, M n'est pas nul mais très petit. Au fur et à mesure qu'il se déplace sur L, M grossit. M représente la masse moyenne sur le dipôle. Quel est le rapport entre M sortie du point zéro et M en bout de L? Si M est la masse moyenne, ne serait ce pas M xi^-3 en début et M xi^3 en bout de L? (on retrouve le Xi^6 simultané de dipôles au point zéro et le Xi^3 d'augmentation de masse lors de la séparation, ce qui se traduit immédiatement par une réduction de xi^3 de L).

    4. pour la matière noire, on voit que lors des collisions on n'a pas exactement pi lors des rencontres de matière, ce qui donne des iL résultant non déphasés de multiples de pi/2 et donc incompatibles avec une annihilation totale (ce qui n'empêche pas une rencontre ultérieure avec d'autre matière noire et qu'il y aura encore de l'annihilation partielle, jusqu'à disparition totale du potentiel iL dans 300 GYL).

    Toutes ces remarques ne sont que des idées spontanées. Evidemment je n'affirme absolument rien !
    Bon WE

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  2. Bonjour LC,

    1/ Oui on peut dire que (i.L) est le reflet de M..... et l'inverse. Le couple est inséparable et c'est pour cela qu'il colle avec la surface de Dirac où l'un, dépendant de l'inverse de l'autre, admet une "surface de Dirac" (un produit), toujours unitaire.

    2/ S'agissant de la charge élémentaire officielle ou standard (e) il faut se rappeler qu'elle vient du ML de l'électron à [alpha 10^7] près. Cela rend très cohérent le système dimensionnel. Oscar va plus loin en disant que (e) ou Q en terme dimensionnel, est une composante de ML. Encore plus loin, Q est l'anti-existence de ML. Le lien Q² annule les ML opposés dans le dipôle. Cela devient une sorte de "cellule du rien".

    3/ Oui le M varie dans le L réel en xi^3 et à chaque passage au pont de rebroussement (avant saturation), il atteint la masse de l'électron.

    4/ D'accord avec ça.

    Merci de vos commentaires.

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  3. merci Mr Mareau,
    donc il faut voir Q tel que Q^2=(M*i.L)^2= -(ML)^2, Q^2 est donc bien l'opposition de (ML)^2

    Une charge contient donc une partie imaginaire qui représente l'intention de variation, qui ne s'arrêtera que quand elle aura été annulée par son opposé.

    La charge est donc un vestige actif d'origine 1D.
    La gravitation est-elle son expression 2D (avec sa double composante)?

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  4. La gravitation est induite par le gradient de la composante tangentielle 1D d'une ex-charge élémentaire radiale. Autrement dit, il reste une charge entre chaque pôle séparé du même dipôle. Comme elle transite via les xi^4 présents dur la circonférence (1D) elle est donc réduite de ce ratio. C'est ce que l'on peut contrôler comme ratio entre Coulomb et Newton entre un positron et un électron.

    Les deux prochains billets parleront des raisons profondes de l'annihilation presque généralisée et pourquoi nous (la matière en général) en sommes les rescapés.

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