La force de Casimir révèle les dipôles subquantiques

- Sceptique : l'expérience de Casimir montre que deux plaques parallèles subissent une force qui les rapproche. Certains pensent que le "vide" serait rempli d'oscillateurs stochastiques dont le spectre des fréquences, serait infini ! Ainsi, comme seules les longueurs d'ondes cohérentes avec l'intervalle seraient contenues, toutes les autres exerceraient – depuis l'extérieur – une force tendant à rapprocher les plaques. On parle d'une pression maximale de 10¹¹³ N/m² ! Que dit le modèle Oscar ?

- La première chose à vérifier, c'est la cohérence globale. Dans le cadre du BEC-fossile, nous avions vu que les oscillateurs dipolaires synchronisés et alternés étaient en équilibre par les forces alternées  de Laplace. Lors de l'arrêt fugace du point de rebroussement, ce sont les forces électrostatiques qui l'ont emporté ce qui a déclenché la superposition des charges et l'annihilation-mitose-expansion.
1 - en régime libre et dynamique, les dipôles sont en équilibre ;
2 - au point de rebroussement, ils s'attirent ; 
3 - entre deux plaques conductrices, leur couplage revient à un freinage qui crée une constriction exactement comme sur le point de rebroussement où les forces électrostatiques prennent le dessus (voir la relation 7 bis). 

- Sceptique : l'hypothèse standard s'appuyant sur des oscillateurs stochastiques serait fausse ?

- Non car le tableau montre qu'il y a équivalence entre les deux modes de calcul. Le coefficient d'intégration En effet, on a vu que la matière provoque des asymétries de toutes sortes dans les dipôles qui se traduisent par un large spectre de fréquences. Cependant ce phénomène qui génère l'habillage en particules virtuelles, est juste un effet du couplage dipôles-matière. Le tableau montre que le taux de freinage 𝛷 (généré par le couplage 𝜏) est proche du coefficient d'intégration : 𝜋/24. Voir la (4)  avec k = 1.00018. Le facteur de forme (effets de bord et autres) sont négligés ici.   

- Sceptique : y-a-t-il des recoupements avec les résultats du modèle standard  ?

- Oui, le tableau montre qu'en prenant l'hypothèse de la longueur de Planck, on trouve le même résultat, soit : ~ 10¹¹³ N/m². De plus, en comparant avec cette expérience, on obtient un résultat en accord avec la (1). L'intervalle x et la surface s valent : x = 5×10⁻⁷ m ; s = 2.28×10⁻⁵ m². On prend le nombre de surfaces élémentaires présentes sur cette surface s : n = s/sₑ avec sₑ = x  ƛₑ / 8 . Donc on a  ħ c 𝛷 / x² (s/sₑ)² = 1,12 ×10⁻²⁷ ~ 1,2 ×10⁻²⁷ N/m².  Le facteur de forme 8 vient de la (7') où 2 x² remplace ƛₑ².  

- Sceptique : la relation (5), strictement égale à la (6), ne met en œuvre que des paramètres de l'électron et pourquoi pas ceux des dipôles subquantiques ?  

- Les paramètres de l'électron sont issue des pôles subquantiques. Si on écrit la Force :  mₑ ƛₑ / t² on retrouve l'expression : mₑ ƛₑ = Cte, commune à l'électron et au dipôle subquantique. On remarque que la constante ħ cache le rôle central de la paire électron-positron, ex-dipôle subquantique. 

-Sceptique : est-ce que la force est fonction de l'orientation des plaques ? 

- Non car le tissu de dipôles se modélise comme un ensemble de points scintillants, équidistants et permanents. Les dipôles (localement, des pôles) sont bien plus transparents que les neutrinos ! Ils passent à travers toutes choses mais laissent cependant des traces sous forme de couplage générant des particules virtuelles.  Le freinage par les plaques est indépendant de l'orientation. Le volume circonscrit par les plaques, contient toujours le même nombre de "points" ou pôles indépendamment de l'orientation. Le tableau montre que la force de Casimir est celle de Laplace (relations : 7 et 7 bis) qui s'exerce entre deux fils parallèles, chacun parcouru par un courant i. Mais comme elle est normalement équilibrée, elle est conforme à une force électrostatique. 

- Sceptique : mais là ne s'agit-il pas de pression (F/m²) appliquée à une surface ?

- Exact et c'est la raison pour laquelle la (7 bis) divise par le carré de l'intervalle. En fait la loi de Laplace est diminuée du coefficient de freinage 𝛷. il donne une force pour une longueur unitaire divisée par un intervalle d car le produit seul : µₒ i² , à déjà la dimension d'un force. 

En résumé, le couplage aux plaques, brise l'équilibre des forces de Laplace. Leur action est diminuée de la force électrostatique engendrée par les plaques.

- Sceptique : donc le modèle standard appuie son calcul sur les particules virtuelles oscillantes qui ne sont que les effets du couplage ?

- En effet, le modèle Oscar s'appuie sur les acquis du modèle à savoir la clé de l'annihilation générale + mitose, au point de rebroussement du BEC-fossile et le couplage des dipôles. Il y a également la température énigmatique de la Z-machine obtenue par constriction d'un cylindre par les forces de Laplace ! Selon Oscar, elle reproduit l'annihilation des dipôles par constriction d'une cage par un très fort courant ! En crête elle atteint T = 3,7 milliards de Kelvins soit la température de l'électron (ex-pôle) : Te = 5.96 milliards de Kelvins, divisée par 1,6 ! (voir article suivant en préparation).       
  

   


          

Commentaires

  1. bonsoir Mr Mareau, modèle oscar toujours aussi intéressant et précis.
    J'ai un peu de retard en lecture, je reviens vers vous après le rattrapage des derniers posts.

    Compte tenu de la cohérence et de la globalité du modèle, on se demande bien quand ce modèle sera reconnu à sa juste valeur par les détenteurs du pouvoir scientifique ! Faut-il envisager les gilets jaunes pour la science?

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  2. Bonjour LC, l'audience du site est cependant toujours en progression, surtout vers les USA et Canada ! Le problème reste celui de cette mode qui voudrait approcher la physique par les mathématiques ! Ces dernières sont fortes utiles pour la mise en forme mais surtout pas pour jouer le rôle d'éclaireur en physique de l'univers. La plupart mettent donc la charrue avant les bœufs ! La crise se caractérise par le syndrome de la fourmi ! L'organisation s'appuie tellement sur des myriades de spécialisations, qu'on ne forme plus de physiciens généralistes. Or pour bien embrasser la péréquation d'ensemble, il ne faut surtout pas être un spécialiste ! Par exemple, dans la recherche appliquée, la distribution des rôles spécialisés dans une équipe réduite, dirigée par un chef, sera efficace. Mais là il s'agit de comprendre l'univers emprunt d'un paquet d'énigmes que l'on a même pas recensées.

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  3. Bonsoir Mr Mareau,
    1a. l'épaisseur d'un dipôle est-il toujours le même sur tout L? En effet, pourquoi attendre la fin de L pour la superposition, alors que plus on se rapproche du point zéro, plus les dipôles sont rapprochés. Certes les forces de Laplace l'emportent, mais, les dipôles sont longitudinalement beaucoup plus rapprochés du coté du zéro commun que de la périphérie !

    1b.cela ne voudrait-il pas dire que l'épaisseur des dipôles dépendrait de M, ou de V, ou de L (les trois étant de toute façon liés)? L'épaisseur du dipôle étant plus important quand M est au max (V=0 à Lmax)

    1c. ou bien au moment de la saturation, la couche 2D saturée sortant du zéro commun serait "compacte", les espaces 1D des dipôles étant au contact de leurs voisins tout au long du déroulement sur L, la "fusion" ne pouvant s'opérer que quand V=0, permettant la "supériorité" électrique des charges (dq/dt2) sur les forces de Laplace (di/dt) facteur d'équilibre?

    2a. au moment de la saturation vous proposez que l'annihilation n'est pas totale à cause d'un manque d'homogénéité/symétrie dans les dipôles . Cela parait quand même étonnant, car c'est la seule garantie d'avoir une somme de zéros relatifs, seule possibilité du zéro total pour les Xi^11 espaces juxtaposés confinés synchronisés. Par ailleurs, les forces de Laplace font en permanence l'équilibre, supprimant/minimisant les anomalies éventuelles.

    2b. cette annihilation partielle (presque totale), ne serait-il pas une résultante physique (le comprendre comme une signature de la bulle univers)?. En effet, l'extrême rapidité de rapprochement électrique sur la couche terminale n'a t-elle pas laissé par ci par là des rescapés isolés en état d'équilibre entre 2 forces électriques contraires et ne pouvant donc s'annihiler? (et donc autant de positrons que d'électrons) (le rapport 1 sur 18800, pourrait donc être un rapport entre l'écart entre 2 dipôles sur la couche terminale 2D, le rayon L de cette sphère ou le nombre de charges sur cette sphère 2D).

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  4. Mr Mareau,
    une variation de champ magnétique entraine une variation de champ électrique et vice versa.
    E et B sont donc liés.
    Y a t-il un rapport ou une analogie possible avec M et L?
    En effet, on parle d'un déphasage de pi/2 entre les deux, c'est ce qu'on retrouve entre les champs E et B.

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  5. Bonjour LC,
    Merci d'avoir cette approche critique. Voici mes réponses :

    1a : au fil du temps j'ai évolué sur cette question et tous comptes faits, il apparaît plus simple de considérer un rayon constant pour les dipôles. La superposition ne se produit que très précisément sur la couche extérieure parce qu'elle est matérialisée par le point de rebroussement. A ce point la vitesse nulle laisse la place à la force électrostatique ! Celle-ci prend le dessus car les charges alternées s'attirent. Cela provoque la superposition et donc l'annihilation → mitose → expansion !

    1b : oui l'épaisseur est constante.

    1c : OK

    2a : si l'annihilation avait été totale nous ne serions pas là pour en parler. Par ailleurs, toutes les phases du modèle Oscar, montrent que tout est basé sur l'erreur ! Ce modèle fait l'apologie de l'erreur statistique à tous les niveaux.... Mais dans le détail, il ne faut pas confondre la symétrie radiale exacte qui garantit le zéro des dipôles avec le processus tangentiel (via le di/dt des courants induits) de l'annihilation. En fait au premier abord il serait plus difficile d'expliquer l'annihilation réussie que la non annihilation. C'est le fort courant du à la non élasticité des dipôles 1D qui remet en contact les pôles séparés dans chaque dipôle. En fait, si les intervalles tangentiels moyens sont effectivement strictement égaux, ce n'est pas le cas dans le détail ! Pourquoi ? Car l'équilibre se fait en oscillant (tangentiellement). C'est comme notre équilibre en station debout → la régulation se fait par impulsions successives et contraires. Dans le détail, on tient debout non pas d'une manière statique et précise mais en vibrant. Chez les gens ivres la basse fréquence de régulation se traduit par de grandes amplitudes qui se voient à travers cette allure titubante. Les dipôles ont un intervalle moyen parfait mais certains – plus en retard – n'ont plus l'amplification d'induction radiale par les voisins (car déjà causalement séparés). En fait comme les premiers se concentrent en neutrons, ils creusent l'écart avec les derniers, faisant ainsi perdre l'efficacité de l'induction.

    2b : Oui en quelque sorte !

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  6. Sur l'analogie entre le déphasage E et B et M et L, je répondrais qu'il y a en effet un lien ne serait-ce par la clé que représente la symétrie profonde du monde. On retrouve cela en mécanique par la loi de l'action et la réaction induite F - F'. Cela traduit toujours un besoin d'équilibre. Fondamentalement – sur la question existentielle profonde, l'absence d'inertie se traduirait par une amplitude d'oscillation, infinie. Comme cela ne peut exister, alors le monde (le pré-monde stochastique) existe juste pour chercher à ne pas exister dans la quête éperdue et impossible d'un cycle partant d'une inertie parfaitement nulle. La dualité symétrie oscillante est la clé de tout. Ainsi, E et B ou M et L ou F et F' en sont les témoins macroscopiques. Pour M et L on voit que les ailes des moustiques ont une fréquence beaucoup plus élevée que celles des condors.

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  7. Merci Mr Mareau,
    - à travers vos 2 commentaires, on peut donc voir toute la physique (à tous les niveaux) comme une imperfection statistique n'atteignant jamais la perfection. C'est très intéressant et explique la différence fondamentale avec les mathématiques, rigoureuses et parfaites (mais théoriques...).
    C'est peut être pour cela que Hilbert a classé la physique comme un sixième problème !
    - si on a une grandeur physique quelconque, alors l'inverse de cette grandeur est une nouvelle grandeur. C'est ce qui interdit les valeurs infinies ou zéro absolu, c'est aussi le paradoxe de l'existence physique impossible, tout comme l'impossibilité de la non existence physique (dualité d'impossibilité entre ML>0 et ML=0). Cette imperfection est la clé de l'existence de l'univers et de tout ce qu'il englobe.
    - en prolongeant, l'apparition de la vie est probablement la conséquence de l'imperfection des mouvements de la matière, internes (oscillations) et externes (collisions), qui ont permis d'avoir un nombre d'essais quasi illimité.

    - il y a quand même quelque chose qui parait "bizarre": le fonctionnement d'un BEC est nominal quand les intervalles tangentiels et radiaux sont égaux (équilibre). Le BEC original en "grossissant" est forcément passé par ce moment d'équilibre (Xi^9 dipôles). Pourquoi a t-il continué à s'enrichir ?
    Une imperfection?

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  8. Le BEC a continué à s'enrichir contre son "gré" car rien ne lui permettait de s'arrêter. C'est seulement arrivé au processus : saturation → superposition → délocalisation → annihilation → mitose → expansion, qu'il a pu retrouver un équilibre.
    Mais l'enrichissement statistique se poursuit !
    Cependant, le temps d'un cycle de la Bulle-Univers est tellement court (tout est relatif), que cela reste à la marge. De plus le processus statistique d'évaporation (désynchronisation) est plus rapide que l'enrichissement dans le sens : stochastique → synchronisé. Traduit en secondes, le nombre d'essais est si grand qu'il est des milliards de milliards (10^100^100) de fois plus long qu'un cycle d'une Bulle-Univers quelconque......(voir la factorielle des grands nombres).

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