La première des graves erreurs du modèle standard

La première des graves erreurs du modèle standard est d'ignorer les conséquences de la dualité de  localité pour caractériser les créations de particules. Quand ces dernières sont créées localement elle sont toujours instables ! Or on sait que la création originelle par la délocalisation généralisée, rend stables, les électrons-positrons et donc les protons ! Le modèle Oscar explique dans le détail, le double piège : 
a) pourquoi les positrons sont toujours confinés ; 
b) pourquoi lorsqu'ils sont émis d'un noyau instable, ils toujours de création locale et confinée et donc instables.  
De ce fait,  toutes les particules composites sont des assemblages de paires entières d'électron-positrons confinées. Si leurs masses mesurées sont exprimées en nombres non entiers c'est parce que la base "unité électron" e, est elle-même habillée. C'est pour cela qu'un proton mesuré à 1836.15 e habillées, en contient 1841 unités nues. Il est composé d'un ensemble neutre de 1840 e et d'un positron célibataire et confiné dont la charge est effectivement mesurée comme celle d'un positron. Par définition, les unités nues sont forcément entières.  De plus on voit ici les contraintes très fouillées qui président à la présence de quarks dans les baryons et non dans les leptons. Voir également l'éclaté du modèle oscar. 

- Sceptique :  la première loi de Koide utilisait les masses mesurées en unité électron-volt/c². Comment la formule du tableau peut-elle correspondre en les exprimant en unité e ?

- Ce qui compte c'est la proportion entre les 3 masses des leptons. Donc cela ne change rien pourvu que que les unités soient cohérentes entre elles. 

- Sceptique : quelle est la précision de la mesure de la masse du tauon ?

- Le PDG 2017 indique la mesure de la masse du tauon à : 1776,86 MeV (±0,12) ce qui correspond à 3477,10356461 e. avec une correction de (– 0,064 << 0,12) par rapport à la valeur moyenne. 

- Sceptique : pourquoi viser cette valeur précise ? 

- Parce que dans ma publication à Journal of Physical Mathematics j'ai considéré que le taux d'habillage du tauon était identique à celui du muon dont la mesure est bien plus précise. Par ailleurs, la cohérence globale du modèle Oscar, augmente la connaissance de la masse du muon, jusqu'à 12 décimales et ce en restant dans l'axe de l'incertitude de la mesure.  

- Sceptique : pourquoi la seconde formule, en nombres entiers, améliore-t-elle l'incertitude ?

- C'est une amélioration mais elle ne peut pas être exacte car les valeurs entières sont des arrondis à partir de valeurs habillées, légèrement différentes entre, d'une part, les muons et tauon et d'autres part, l'électron. Quand il est seul il est moins habillé que lorsqu'il est l'élément de particules composites ! C'est ce que montre l'évolution 4 de la loi de Koide-Mareau. Le coefficient u permet de diminuer l'incertitude à 10⁻¹¹ !     

- Sceptique : la seconde formule ne devrait-elle pas être exacte ?

- Certainement mais comme u est déterminé en fonction de la constante de structure fine, il n'est pas raisonnable de dépasser l'incertitude de cette mesure.    

- Sceptique : en revanche la troisième formule est exacte. Pourquoi mettre 0 pour l'électron ?

- Cela montre que ces 5 particules composées d'électron-positrons, ont un rapport étroit concernant leur partie neutre. Or l'électron neutre ne peut-être qu'à zéro ou 2 comme le positronium .

-Sceptique : la loi 3 montre les particules entières donc chargées avec donc 4 unités de plus divisées par 3. Quelle est la progression par rapport à la loi 2 ?

- Elle est justifiée juste pour montrer des particules entières dotées d'une partie neutre + un élément chargé. Elle sert également à tirer les taux d'habillage par particule. 

- Sceptique : en résumé qu'est-ce qui retient les tenants du modèle standard d'admettre que la loi de Fermi est incomplète (en ne considérant pas la dualité de localité de leur mode de création) et que les particules sont composées d'électron-positrons. Il est pourtant évident de constater que les créations locales sont toujours instables ?

- La remise en cause est énorme et on a pas évolué depuis le début du vingtième siècle où l'on croyait que la confirmation expérimentation (locale) était suffisante ! Cette stagnation se constate par l'indifférence relative aux expériences de "lien fantôme" dans les spins des particules auparavant intriquées. Dans ce lien, messieurs Bricmont et Mermin dénoncent cette grave indifférence.       


     


     

Commentaires

  1. Les critères ayant présidé à distinguer des familles de particules ne sont plus légitimes. Par exemple la famille des leptons comprend indistinctement la brique élémentaire (l'électron-positron) des particules qui en sont composée (muon, tauon) ! Ensuite ce qui distingue les baryons (quarks) des leptons ( pas de quark) est constaté mais sans explication aucune ! L'explication est donnée ici avec 4 exemples (il y en a plein d'autres) :
    - proton : 1840 / 8 = 230 (pair) soit 8 sous-groupes pairs induisant 4 groupes neutres → 3 intervalles polarisés → 3 quarks !
    - muon : 206 / 8 (non) ; 206 / 2 (impair) → 1 groupe pair → 0 intervalle → 0 quark
    - pion : 264 /8 → impair mais 264 / 12 (pair) → 3 groupes pairs → 2 intervalles → 2 quarks
    - tauon : 3480 / 8 (impair) ; 3480/12 (impair) → 1 groupe pair → 0 intervalle → 0 quark !

    La distinction des familles selon ce critère est artificielle. Décrire n'est pas expliquer ! Les quarks sont induits par les intervalles des groupes et de plus, on vérifie avec précision que le rayon du proton correspond bien à cette structure en 4 groupes.

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