L'auto déterminisme de l'état stochastique et l'induction : 2 → 5 → 8 et 𝜉⁵
- Sceptique : des nombres seraient prédéfinis dans l'univers stochastique éternel alors qu'il est typiquement fluctuant ?
- La première équation du tableau montre la dualité de chaque oscillateur dipolaire de l'état stochastique et permanent de l'univers. D'emblée, elle génère 5 éléments actifs. Il n'existe aucune autre solution que cette dualité oscillante animée par la dualité de la seconde équation du tableau.
- Sceptique : mais à ce stade, comment l'univers saurait-il qu'une éventuelle Bulle-Univers aura besoin du ratio 𝜉⁵ ?
- Bien entendu, il ne le "sait" pas. Cependant, pour un nombre potentiellement infini de brassages, ces fluctuations aléatoires passeront forcément par approcher ce ratio : 𝛤 = {longueur / épaisseur} → 𝜉⁵. Si une opération "synchronisation" (hautement improbable mais non nulle) se faisait sans cet accord, alors la Bulle-Univers ne fonctionnerait pas comme nous l'observons. Le ratio global 𝛤 du monde stochastique est typiquement fluctuant ! Pour notre Bulle-Univers, la synchronisation a été faite sous la condition (aléatoire) : 𝛤 ~ 𝜉⁵ = {longueur amplitude / longueur de Planck}, à 6,4% près !
- Sceptique : mais à ce stade, comment l'univers saurait-il qu'une éventuelle Bulle-Univers aura besoin du ratio 𝜉⁵ ?
- Bien entendu, il ne le "sait" pas. Cependant, pour un nombre potentiellement infini de brassages, ces fluctuations aléatoires passeront forcément par approcher ce ratio : 𝛤 = {longueur / épaisseur} → 𝜉⁵. Si une opération "synchronisation" (hautement improbable mais non nulle) se faisait sans cet accord, alors la Bulle-Univers ne fonctionnerait pas comme nous l'observons. Le ratio global 𝛤 du monde stochastique est typiquement fluctuant ! Pour notre Bulle-Univers, la synchronisation a été faite sous la condition (aléatoire) : 𝛤 ~ 𝜉⁵ = {longueur amplitude / longueur de Planck}, à 6,4% près !
- Sceptique : en quoi cela détermine-t-il le sort de la Bulle-Univers à venir ?
- On sait que la longueur de Compton ƛₑ de l'électron (intervalle universel de l'espace-temps) vaut 𝜉² fois la longueur de Planck. Donc 𝜉⁵ / 𝜉² = 𝜉³ est le ratio entre le rayon du BEC et la longueur de Compton : R = 𝜉³ ƛₑ . Par ailleurs cette formule nous dit qu'une géodésique 1D du BEC saturé, contient 𝜉⁴ pôles délocalisés (devenant électron-positrons). Le modèle indique que l'aire 2D en contient 𝜉⁸ et que le volume (𝜉³ couches) contient donc 𝜉¹¹ dipôles structurant le réseau d'espace-temps car les masses restent annulées !
- Sceptique : mais alors comment vient le taux de mitose 𝜉² ?
- Tout BEC tend vers l'isotropie des ces intervalles. Radialement on compte 𝜉³ intervalles alors que tangentiellement il y en a 𝜉⁴ !
- Sceptique : donc le taux de mitose est le ratio : 𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 ?
- Oui mais il s'agit d'intervalle 1D ! Les aires élémentaires 2D justifiant le taux de mitose, ont bien le ratio 𝜉² !
- Sceptique : si le hasard rapproche 𝛤 de 𝜉⁵ pour 𝜉¹¹ dipôles faisant notre Bulle-Univers, alors il risque d'être proche de l'attracteur global !
- Pas forcément car le monde stochastique est fluctuant par zone. Cependant il a une probabilité quasiment nulle de sortir exact.
- Sceptique : ce monde stochastique en désordre total serait donc déterminisme ?
- Oui au moins pour l'oscillation duale car c'est le seul et unique moyen pour obtenir une infinité de résultantes nulles ayant le pouvoir statistique de créer une Bulle-Univers. Le tableau montre que l'expression du zéro relatif dual induit des prédéterminations de types : a) actives et de forme, telles que ces 5 acteurs : {0 1 e i 𝜋} ; b) actives et de fonctionnement avec ces 5 acteurs {0 1 ∞ m ℓ} ; c) potentielles et inductives telle que la mitose déterminée par la suite limitée de Fibonacci avec ces 5 acteurs : {1 2 3 5 8}. Mais ces inductions ne se réalisent que par le hasard. C'est le même processus que celui de la capacité adaptative de la vie. Ne se crée que ce qui a un potentiel de fonctionnement (même partiel).
- Sceptique : cela veut dire qu'une Bulle-Univers qui serait créée à un moment où la moyenne locale est très éloignée de 𝜉⁵, ne pourra pas fonctionner normalement ?
- Oui, la création d'une Bulle-Univers réclame tellement de points de convergences, qu'elles en devient très très improbable. Cependant l'éternité offre une infinité potentielle de brassages stochastiques telle que tout devient possible ! En posant log₅ (𝜉⁵) = k 2⁵⁺¹ + 2⁵⁻¹ = 80, avec k = 1/1.0005042, on s'aperçoit qu'en multipliant 𝜉⁵ par exemple par 1000, k' = 1.054 est encore très faible !
- Sceptique : mais ramené au taux de mitose 𝜉², la masse brute du proton qui en dépend serait modifiée ?
- Oui et aux limites, en faisant (𝛼²)⁶/𝜉² = 1835.26 avec 𝜉² augmenté du coefficient 1.0031256, on aurait la masse brute exprimée en masse nue (1841) et donc plus aucun couplage avec les dipôles subquantiques ! Ce monde ne fonctionnerait pas ! Cela veut dire que la plage d'ajustement des constantes est extrêmement étroite ! Mais encore une fois, le potentiel infini du brassage stochastique ouvre tous les ajustements possibles. Le terreau stochastique – typiquement à entropie de désordre, maximale – peut générer localement une entropie minimale, la synchronisation. Sa fluctuation – typiquement aléatoire – peut passer par des phases favorables à une Bulle-Univers dont l'expression sera effective.
En résumé, l'état stochastique offre une probabilité non nulle (mais extrêmement faible), de synchroniser un nombre limité d'oscillateur-dipolaire-zéros pour former un BEC. Mais si cette première condition suffit à créer un BEC, son évolution (saturation-mitose-expansion) n'est pas assurée*. Il convient également que dans le cadre de ses fluctuations aléatoires, le ratio 𝛤 = {long/épaisseur} des dipôles "élus", soit situé dans une étroite "largeur de bande" autour de 𝜉⁵.
* comme observée car d'autres dynamiques sont certainement possibles. Le monde observé est ainsi une des solutions contenues dans l'état désordonné à entropie maximale.
- Sceptique : ce monde stochastique en désordre total serait donc déterminisme ?
- Oui au moins pour l'oscillation duale car c'est le seul et unique moyen pour obtenir une infinité de résultantes nulles ayant le pouvoir statistique de créer une Bulle-Univers. Le tableau montre que l'expression du zéro relatif dual induit des prédéterminations de types : a) actives et de forme, telles que ces 5 acteurs : {0 1 e i 𝜋} ; b) actives et de fonctionnement avec ces 5 acteurs {0 1 ∞ m ℓ} ; c) potentielles et inductives telle que la mitose déterminée par la suite limitée de Fibonacci avec ces 5 acteurs : {1 2 3 5 8}. Mais ces inductions ne se réalisent que par le hasard. C'est le même processus que celui de la capacité adaptative de la vie. Ne se crée que ce qui a un potentiel de fonctionnement (même partiel).
- Sceptique : cela veut dire qu'une Bulle-Univers qui serait créée à un moment où la moyenne locale est très éloignée de 𝜉⁵, ne pourra pas fonctionner normalement ?
- Oui, la création d'une Bulle-Univers réclame tellement de points de convergences, qu'elles en devient très très improbable. Cependant l'éternité offre une infinité potentielle de brassages stochastiques telle que tout devient possible ! En posant log₅ (𝜉⁵) = k 2⁵⁺¹ + 2⁵⁻¹ = 80, avec k = 1/1.0005042, on s'aperçoit qu'en multipliant 𝜉⁵ par exemple par 1000, k' = 1.054 est encore très faible !
- Sceptique : mais ramené au taux de mitose 𝜉², la masse brute du proton qui en dépend serait modifiée ?
- Oui et aux limites, en faisant (𝛼²)⁶/𝜉² = 1835.26 avec 𝜉² augmenté du coefficient 1.0031256, on aurait la masse brute exprimée en masse nue (1841) et donc plus aucun couplage avec les dipôles subquantiques ! Ce monde ne fonctionnerait pas ! Cela veut dire que la plage d'ajustement des constantes est extrêmement étroite ! Mais encore une fois, le potentiel infini du brassage stochastique ouvre tous les ajustements possibles. Le terreau stochastique – typiquement à entropie de désordre, maximale – peut générer localement une entropie minimale, la synchronisation. Sa fluctuation – typiquement aléatoire – peut passer par des phases favorables à une Bulle-Univers dont l'expression sera effective.
En résumé, l'état stochastique offre une probabilité non nulle (mais extrêmement faible), de synchroniser un nombre limité d'oscillateur-dipolaire-zéros pour former un BEC. Mais si cette première condition suffit à créer un BEC, son évolution (saturation-mitose-expansion) n'est pas assurée*. Il convient également que dans le cadre de ses fluctuations aléatoires, le ratio 𝛤 = {long/épaisseur} des dipôles "élus", soit situé dans une étroite "largeur de bande" autour de 𝜉⁵.
L' asymétrie des intervalles du BEC est la raison de la mitose de taux 𝜉² alors que l'annihilation 𝛼² en est le déclencheur. Cette dualité (2) a généré la mitose incrémentée en 1+5 étapes 𝛼². La suite de Fibonacci en 1+5 incréments donne :
2 → 5 → 8
Le BEC possède 5+1 tailles :
lp ; lo= 𝜉lp ; ƛₑ= 𝜉²lp ; ƛz = 𝜉³lp ; Re = 𝜉⁴lp ; RBEC =𝜉⁵ lp
1 2 3 4 5 6* comme observée car d'autres dynamiques sont certainement possibles. Le monde observé est ainsi une des solutions contenues dans l'état désordonné à entropie maximale.
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RépondreSupprimerLa chance pour qu'un spermatozoïde de féconder l'ovule, (dans le temps d'un rapport) est de l'ordre de 1/300 millions ! La chance d'avoir les conditions requises pour que l'état stochastique forme (par hasard) une bulle univers, (dans l'intervalle temps de son existence future) est plus grande que : 1/10^1000^1000 ! Mais le potentiel éternel et infini de brassages et fluctuations, rend cette probabilité unitaire. Deux remarques :
RépondreSupprimer- a) une entropie maximale ne peut que baisser
- b) il n'y a aucune chance pour que deux Bulle-Univers soient contemporaines.
La seconde équation du tableau est souvent donnée comme étant l'aire constante d'un rectangle i.e comme le produit x (abscisse) × y(ordonnée). Si x → 0 alors y → infini. Mathématiquement les paramètres en jeu sont de même dimension physique (longueur et largeur en m). Mais ici il y a une ambiguïté : à l'échelle quantique ce sont deux dimensions distinctes (masse × longueur) alors.qu'à l'échelle subquantique, l'une est composante de l'autre ! Dans le cadre de l'oscillateur, plus Mo (initial) est petit, plus L (amplitude) est grande. M = 0 est interdit car une amplitude spatiale infinie ne peut exister (entre autre il n'y aurait plus d'oscillation et donc plus d'évolution possible). A chaque cycle, dès la naissance d'un Mo aléatoire au point zéro, l'amplitude spatiale potentielle est fixée. Par définition, sa réalisation physique est déphasée (en retard) par rapport à Mo.
RépondreSupprimerL' asymétrie des intervalles du BEC est la cause potentielle de la mitose de taux xi alors que l'annihilation (alpha²) est le déclencheur et l'incrément. Cette dualité a généré la mitose en 5 étapes.
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