Record de précision pour l'anomalie de l'électron

- Sceptique : on a vu que la cause de l'existence de particules éphémères – telles que pions et tauons – dépend de la loi de l'information liée au très grand nombre de dipôles structurant l'espace-temps. Comment se fait-il que les protons et muons, soient les seuls à dépendre de l'émergence des dipôles délocalisés et donc la matière ? 

- Le tableau de ce précédent article montre qu'il existe en effet deux sources principales pour les particules : a) celle ayant trait aux dipôles tissant l'espace-temps ; b) celle ayant trait aux dipôles séparés et donc devenant pôles (délocalisés) ou matière. Dans la seconde source, le proton (donc la matière) existe de par son rôle de variable d'ajustement entre les deux sources de la mitose. La première source est générée par le taux 2D d'anisotropie des intervalles 𝜉² et la seconde est générée par 6 étapes de mitose 𝛼². Le couple {neutron → proton} est donc né à l'origine de la mitose, ne concernant que les 𝜉⁸ dipôles délocalisés et donc faisant matière.

- Sceptique : donc l'existence de toutes les autres particules éphémères seraient relatives à l'information que représente les 𝜉¹¹ dipôles (non séparés, sans masse et largement majoritaires) de l'espace-temps ?

- Oui mais avec l'exception du muon ! Comme les autres particules éphémères il est lié à la loi de l'information mais pour lui, ce n'est relatif qu'aux 𝜉⁸ pôles délocalisés, faisant matière. Il a donc un point commun essentiel avec le proton

- Sceptique : pourquoi le ratio entre taux d'habillage ferait-il  apparaître l'anomalie du moment magnétique de l'électron ?

- Le muon a la particularité d'avoir une masse brute (µ₁ = 206,11) plus élevée que sa masse nue neutre (µₙ = 206). Il vient donc sa forme 1–µ₁/µₙ que l'on peut mettre en mode coefficient : 2–µ₁/µₙ. Ce taux cumule les 2 types d'anomalie (moment magnétique et masse), alors que le taux du proton ne concerne que la seule anomalie de masse (habillage). Ainsi le ratio fait apparaître le seul taux brut d'anomalie (1,001160) du moment de l'électron qui est la brique élémentaire. Cette anomalie se précise à : 1,00115965218 en déduisant une composante sous forme de produit de type : coefficient de la variable d'ajustement [ln (2 p₁)] 𝛼 × taux local d'annihilation 1D [𝛼/𝜉].

- Sceptique : mais le taux d'anomalie du moment magnétique du muon n'est-il pas mesuré à une valeur plus grande 1,00116592  > 1,001159652  ?

- C'est exact mais la mesure donne la valeur du moment de l'électron (ou positron) célibataire confiné, légèrement augmentée par l'action quasi masquée des 206 couches neutres. En faisant le ratio, on s'affranchit des perturbations propres aux particules composites pour ne faire ressortir que la seule anomalie de la brique élémentaire.

- Sceptique : comment intervient la variable d'ajustement ?

- Elle influe sur toutes les particules car son arrondi global, s'est fait au détriment de la symétrie des dipôles structurant l'espace-temps. C'est son logarithme qui influe sur l'information globale.   

- Sceptique : pourquoi soustraire le taux d'annihilation locale et à quoi correspond-elle ?

- On a vu que le taux d'annihilation partielle (responsable de la matière noire), est proportionnel à l'angle originel sur le BEC-fossile. Or comme il y a 𝜉² BEC-fils en 2D, une géodésique (1D) du BEC-fossile en contient 𝜉 et donc 𝜉/𝛼 après l'annihilation 1D. Ainsi l'inverse donne la tangente de l'angle correspond au taux d'annihilation partielle. L'augmentation de l'intervalle 𝛼 est empirée par le logarithme de la variable d'ajustement (p₁). Le ratio entre les deux taux d'habillage annule les anomalies contextuelles de chacune des particules, pour ne laisser apparaître que celle de leur composant commun, l'électron ! Avec un seul terme correctif, ce calcul présente une occurrence inédite avec la mesure dont la précision atteint 12 décimales. Les paramètres en jeu sont limités à des nombres entiers (1841, 207) et les deux signatures universelles (𝜉 et 𝛼)

- Sceptique : le calcul du modèle standard est-il différent du modèle Oscar ?

- Oui on voit ici que le modèle standard utilise une coïncidence numérique (numérologie !) comme base de calcul : 1+ 1/ 2 𝜋 𝛼 = 1,0011614... Il développe ensuite de longues corrections par les boucles de Feynman pour atteindre une occurrence 100 fois moindre que celle d'Oscar qui n'utilise qu'un seul terme correctif. Feynman lui même a dit : "il aura fallu cette  supercherie pour sauver la QCD". Encore une fois, l'approche standard se borne aux influences locales, alors que tout est lié à l'échelle de la Bulle-Univers ! L'anomalie de l'électron n'est pas déconnectée de la physique de l'univers. Elle en est juste un témoin objectif. Par exemple, le modèle standard ne cherche pas à expliquer la source physique de la constante de structure fine 𝛼 !

Conclusion : si la mesure de l'anomalie propre à l'électron, est si précise, c'est à cause de son caractère "brique universelle", présente dans toutes les autres particules qui sont toutes, composites. Sur le muon, le taux mesuré est celui du positron ou électron célibataire confiné.... mais légèrement perturbé par la partie réputée neutre. 

       
 

       

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