Enigme 04 : les 4 symétries fondamentales

- Sceptique : Le terme "existence" est ambigu, s'agit-il de la vie ou de l'existence des paramètres physiques ?

- Il s'agit d'abord des paramètres physiques, sachant toutefois que la vie en découle.    

- Sceptique : Comment étayer ce paradoxe existentiel venant de l'inertie qui ne peut ni être nulle ni être supérieure à zéro ? 

-  Une inertie nulle reviendrait à avoir une instabilité infinie. On ne peut concevoir cela car le zéro absolu a un caractère  immuable et cette non évolution est démentie par notre propre existence. La dualité onde/corpuscule est largement vérifiée.  Par ailleurs l'hypothèse d'une pré-existence "magique" de l'inertie serait injustifiable. On retrouve cela dans le "chat de Schrödinger" qui est ni mort ni vivant. Ce paradoxe existentiel ne peut s'exprimer que sous forme d'oscillation.  L'errance entre ces deux interdits,  justifie l'existence des oscillateurs primordiaux. Ainsi une infinité de 𝓑odys sont contraints d'exister sans aucune constante et dans un parfait désordre.

- Sceptique : Il y a pourtant la règle ℳ.ℒ = Cte ?

- Oui mais cela n'est vrai que dans la durée de chaque cycle aléatoire. Il n'y a pas de constante commune à plusieurs cycles d'un même 𝓑ody ou entre deux ou plusieurs 𝓑odys

- Sceptique : comment se décide l'origine au point zéro ?

- Si on pose 0 pour l'inertie nulle et 1 pour l'inertie non nulle, on montre que dans cet intervalle, il existe un nombre infini de valeurs aléatoires d'inerties d'origines. C'est la "surface" de Dirac où : x.y = Cte qui s'exprime ici, sous sa forme canonique : ℳ.ℒ = Cte

Sont réunies ici les 5 causes des canons de la théorie quantique : 
1/ l'impulsion de Dirac ; 2/ le chat de Schrödinger ; 3/ la dualité onde/corpuscule de De Broglie ; 4/ l'indétermination de Heisenberg ; 5/ la relativité restreinte d'Einstein.

- Sceptique : quel est le lien avec la RR (relativité restreinte) ?

- C'est l'expression de ℳ.ℒ = Cte dans le couplage {quantique/subquantique} ou {local/non local}. La dynamique des corpuscules quantiques vient déformer la belle symétrie des 𝓑odys qui matérialisent l'espace-temps. Concrètement l'amplitude du pôle local se réduit. Pour compenser, les 𝓑odys affectés par cette déformation spatiale, émettent de l'inertie au corpuscule couplé, pour satisfaire à  : ℳ.ℒ = Cte . Il y a également la notion de confinement : l'expression du référentiel "pôle" n'existe que si la symétrie est tout ou partie affectée. 

- Sceptique : pourquoi le modèle standard se contente de décrire ?

- Outre se contenter décrire, le MS  confond décrire et expliquer et c'est cela qui est grave. Voir ma contribution "variables cachées locales ou non locales ?" sur Wikipédia dans la discussion d'un article portant sur la réduction du paquet d'ondes.                    

  


Commentaires

  1. La symétrie {entropie-néguentropie} ou {désordre-ordre} passe par la notion de mitose.

    Dans le détail :

    - 1/ la condensation des bosons dipolaires en condensat de Bose Einstein (BEC) se produit par un flux de synchronisation (ou mise en ordre). Dans le BEC, les dipôles régulent leurs intervalles par la répulsion de Laplace fonction de la (grande) vitesse de déplacement des charges : i = e/t).

    - 2/ ce flux arrive forcément à saturation, c'est-à dire un rapprochement critique entre pôles voisins et contraires. L'intervalle tangentiel devient xi fois plus petit que l'intervalle radial. La saturation est signée par une anisotropie non compatible avec l'équilibre d'un BEC.

    - 3/ le quasi arrêt propre à la couche de rebroussement (extérieure) amène la force électrostatique à dominer la force de Laplace et donc à amener la fusion des pôles contraires et voisins, spécifiques à cette seule couche.

    - 4/ la fusion masque les charges ce qui rompt le lien des dipôles à grande distance (opposition sur le BEC). Ainsi les pôles (issues de dipôles différents voisins) sont délocalisés et peuvent fusionner majoritairement en masse neutre des neutrons.

    - 5/ le très brusque masquage des charges crée un immense di/dt qui tend à annihiler tout ces dipôles par effet de brusque relocalisation (remise en lien dipolaire). Une dualité s'opère entre le temps d'annihilation complète et le temps de neutralisation par fusion. Les pôles rescapés ne représentent ainsi, plus que 1/137,035999 du total de la couche de rebroussement.

    - 6/ l'annihilation crée le choc nécessaire pour que le BEC puisse retrouver une densité isotrope (intervalles tangentiels = intervalles radiaux). Cela ne peut se faire que par une opération de mitose fractale (en 5 étapes) en xi^2 BEC-fils. Dans le même temps, la célérité c de la couche de rebroussement est conservée.

    - 7/ La première étape d'expansion (expansion isotrope à célérité c) débouche sur 4 autres permettant une expansion (isotrope) en couches s'étalant de 0 à 5 c.

    - 8/ Les pôles fusionnés sont dilués dans les dipôles (très majoritaires) formant l'espace-temps. Chaque BEC-fils est la matrice de formation d'une étoile.

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  2. - 9/ la Bulle-Univers en expansion augmente donc sa surface d'échange avec la matrice stochastique.

    - 10/ Les dipôles de l'espace-temps se diluent graduellement dans la matrice stochastique et donc l'entropie des particules et de l'espace-temps, augmente jusqu'à un état maximum qui s'inversera à nouveau.

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  3. Puisque la délocalisation concerne la couche externe d'un BEC, que deviennent les autres couches de bosons dipolaires?

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  4. Dans son volume, le BEC (comme tout autre BEC) aspire à une densité isotrope. Quand la saturation des pôles de la couche externe intervient, les intervalles tangentiels sont xi fois (en 1D) plus faibles que les intervalles radiaux. Au moment de la fusion des pôles (couche externe) il se produit un di/dt extrêmement intense qui provoque une annihilation (facteur 137.035999). Cet agrandissement d'intervalle est le point de départ de la mitose du volume (espace-temps). La mitose (qui revient également à agrandir les intervalles) divise le BEC-fossile , en xi^2 BEC-étoiles (en 2D) et xi galaxies (1D). Les BEC enchevêtrés forment l'espace-temps et les particules fusionnées (couche externe) se diluent puis se contractent dans cet espace. Chaque BEC-étoiles possède un halo (son BEC) et l'enchevêtrement de ces halos dans une galaxie forme le halo global. La mesure de ce halo est cohérente avec le modèle ainsi que l'estimation du nombre d'étoiles primordiales et de galaxies. L'entité "étoile" n'est pas un hasard mais formée par la matrice que représente un BEC-fils.

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  5. Bien sûr chaque élément d'espace-temps est représenté par un dipôle dont les paramètres (M,L,T) sont sensés être annulés. Mais le couplage avec les particules déforme les dipôles et la règle ML = Cte, se révèle par la relativité restreinte (courbure + augmentation de masse).

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