nouvelle particule ppk

- Sceptique : des scientifiques de la collaboration internationale J-PARC E15, ont utilisé des expériences avec des kaons et de l’ helium-3 pour démontrer expérimentalement l’existence d’un noyau exotique contenant deux protons et un kaon lié. Comment le modèle Oscar peut-il expliquer cela ?

- Il faut d'abord féliciter les expérimentateurs qui arrivent à mettre au point de telles expériences !  Cependant, il faut rappeler que pour le noyau des atomes, le modèle standard se borne à une architecture naïve où des protons et neutrons seraient agrégés comme des grappes de raisins .... Comme il est très difficile d'explorer le noyau d'un atome (tout comme le proton), un modèle purement mathématique à été élaboré en fonction de ce que révèle l'expérimentation locale. En omettant de tenir compte de la dualité de localité, on se prive des fondements physiques.  Le modèle standard relève d'une description mathématique des effets, au grand dam des causes physiques et de leurs explications. Quand on a détectés les quarks, on était tellement avide de trouver les éléments de composition du proton, que l'on a éludé l'alternative les considérant comme des effets induits et donc non constitutifs

- Sceptique : quelles sont les fameuses causes utilisées par le modèle Oscar pour élaborer un proton non pas comme un être mathématique basé sur les seuls effets mais comme un être physique basé à la fois sur des causes et des effets ?

- Cela est développé dans les articles précédents et notamment en justifiant l'existence même du proton, à partir des seuls éléments de base : la paire électron-positron (ex-paire de pôles de chaque oscillateur dipolaire. La loi Koide-Mareau restreinte montre clairement que le proton est constitué de couches sphériques d'électron-positrons. Le tableau montre que le kaon permet d'éjecter un neutron en phase 2. Ce neutron n'est pas "un paquet tout prêt" mais l'extraction d'une couche neutre + une paire célibataire. 

- Sceptique : comment se fait-il que l'énergie entrante de 1 GeV permette d'éjecter un neutron avec 1,33 GeV ?

- Le tableau montre que le PPK final forme des groupes plus léger avec donc via ML = Cte, le rayon  devient plus grand. Cela est compensé par une extraction d'énergie du niveau subquantique.  

- Sceptique : pourquoi l'hélium-4 est considéré comme un boson alors qu'il est formé de protons et de neutrons, eux mêmes étant des fermions ? 

- Cela vient infirmer le modèle standard, d'ordre mathématique, posant naïvement H-4 (et tous les autres éléments) comme étant composé de protons et de neutrons ! Physiquement, ils sont composés de couches concentriques d'électron-positrons, qui s'apparentent aux effets mesurés. La base des noyaux de tous les atomes n'est pas {proton + neutrons} mais faite de groupes de couches de paires {électron-positrons} ex-pôles délocalisés. A cela s'ajoute les effets dynamiques qui peuvent induire des créations locales de paires où le positron est soit annihilé à l'extérieur du noyau, soit intégré et confiné avec permutation de statut par effet tunnel.     
   

 

Commentaires

  1. Il faut rappeler ici que le rayon du proton est fixé par la masse d'un de ses 4 groupes. En suivant la règle ML = Cte, on prend le rayon de l'électron et on le divise par le quart de la masse du proton et on obtient un accord précis avec son rayon mesuré. Ceci est un fait incontournable.

    RépondreSupprimer

  2. Bonjour Mr MAREAU;

    Me permettez-vous de revenir à un sujet que vous avez déjà abordé mais sur lequel j'aimerais avoir quelques éclaircissements ?

    Il s'agit de la composition des particules et de leur désintégration. Plus précisément, celle des particules instables, comme le muon, par ex.

    OSCAR défend l'idée que toutes les particules sont composées d'électrons et de positons, les quarks jouant, si j'ai bien compris, un rôle de consolidation.
    Même si je ne suis pas spécialiste, cette idée me paraît bien plus féconde que celle du MS pour expliquer, notamment, la question de la "disparition" des positons originels.

    Là où j'aurais besoin de vos lumières, c'est à propos des particules instables comme le muon, le tauon, etc.

    Comment OSCAR explique-t-il cette instabilité ? Pourquoi ces particules ne durent-elles pas ? Vous l'avez sans doute déjà bien expliqué, mais pourriez-vous le redire ?

    D 'autre part, dans les "résidus" de leur désintégration, on ne parle pas beaucoup d'électrons ou de positons. Je suppose que c'est parce que, toujours selon OSCAR, ces derniers s'annihilent réciproquement lors de la désintégration, les quarks ne jouant plus leur rôle de "barrière". C'est bien cela ?
    Cependant, j'ai cru comprendre que, lors de l'annihilation d'une simple paire électron-positon, il y avait émission d'un rayonnement intense sous forme de photons gamma. Retrouve-t-on des valeurs de ce type dans le résultat des désintégrations, par ex., des muons ? Le MS parle surtout de quarks et d'antiquarks...

    Pourriez-vous, svp, éclaircir ces points ?

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?