Enigme 05 : the cat's 𝓑𝓞𝓓𝓹

- Sceptique : je suppose que le titre de ce billet est un clin d’Ɠil entre le chat de Schrödinger et le Boson Oscillateur Dipolaire  Ă©lĂ©mentaire 𝓑ody du modĂšle OSCAR. Selon Schrödinger, le chat (enfermĂ©) est en mĂȘme temps vivant ET mort. Y-a-t-il vraiment des situations avec de telles superpositions d'Ă©tats, Ă  l'Ă©chelle quantique ?

- Oui et l'interprétation physique pose problÚme au modÚle standard. Je cite : "... cet état ne correspond à rien de connu en physique classique. L'interprétation de Copenhague de la mécanique quantique, pose que l'état quantique n'a pas de sens physique avant l'opération de mesure. Seul l'état projeté, aprÚs la mesure, a un sens physique. Selon la théorie d'Everett, l'état de superposition admet une interprétation physique. Les états superposés existeraient dans une infinité d'univers parallÚles.....
Selon l'interprĂ©tation de De Broglie-Bohm, la fonction d'onde n'est pas suffisante pour dĂ©crire totalement une particule, il faut lui adjoindre une position. Cette position est cependant inconnue de l'expĂ©rimentateur et n'est rĂ©vĂ©lĂ©e que lors d'une mesure. Des particules prĂ©parĂ©es de la mĂȘme façon ont alors la mĂȘme fonction d'onde mais des positions diffĂ©rentes. Ainsi, selon cette interprĂ©tation, la position d'une particule est Ă  chaque instant bien dĂ©terminĂ©e et ne peut en aucun cas ĂȘtre Ă  « plusieurs endroits en mĂȘme temps Â». Cependant cette position est pilotĂ©e par la fonction d'onde qui est, quant Ă  elle, dĂ©finie en plusieurs endroits de l'espace simultanĂ©ment. Aucune interprĂ©tation ne fait aujourd'hui l'unanimitĂ© des physiciens. À ce jour (2019), il s'agit d'un problĂšme encore ouvert ...."

- Sceptique : je suppose que le modĂšle Oscar opte plutĂŽt pour la version De Broglie-Bohm ?

- Le modĂšle Oscar est un mixte des versions de Copenhague et de De Broglie-Bohm. En revanche, nous oublierons l'interprĂ©tation d'Everett qui est une totale spĂ©culation. Pour comprendre ce phĂ©nomĂšne physique, il faut revenir aux  𝓑odys Ă©lĂ©mentaires synchronisĂ©s et plus exactement dans le rĂ©fĂ©rentiel du confinement d'un des deux pĂŽles, composant le dipĂŽle. La premiĂšre clĂ© tient dans le paradoxe existentiel dĂ©crit dans les billets prĂ©cĂ©dents. Au "point zĂ©ro" le corpuscule naissant ℳₒ, est pris entre deux Ă©tats interdits : rallier le zĂ©ro absolu ou exister dans une infinitĂ© de valeurs alĂ©atoires diffĂ©rentes.  Par dĂ©finition ce "ou" est invalide ! Il ne lui reste que l'option "et" Ă  travers le phĂ©nomĂšne de superposition d'Ă©tats, en oscillant entre ces deux interdits ! L'attracteur du zĂ©ro absolu est le "moteur" de l'oscillation.

- Sceptique : qu'est-ce qui dĂ©termine l'amplitude Ă  venir ℒ de ce ℳₒ naissant ?  

- Il faut dĂ©jĂ  comprendre que le couple ℳₒ.ℒ est insĂ©parable ! Il incarne la superposition de la dualitĂ© {local et non local}. La longueur ℒ (future amplitude spatiale de ℳₒ) est la contrepartie de l'inertie naissante ℳₒ. Cette onde pilote de BOHM est une composante intrinsĂšque Ă  la notion d'inertie. Quand le pĂŽle ℳₒ s'Ă©loigne du point zĂ©ro, l'onde pilote dĂ©compte ! Ce dĂ©compte est compensĂ© par l'augmentation de ℳ pour conserver : ℳ.ℒ = Cte
   
- Sceptique : en somme ℳₒ.ℒ = Cte revient Ă  dire que ℳ en croissance, croise l'onde pilote ℒ  au milieu de l'amplitude maximale ? 

- Oui la vue moniste pour tous paramĂštres physiques est Ă  proscrire en commençant par ℳ . Sa dualitĂ© profonde ne lui permet d'exister que dans le couple ℳ.ℒ.  On a d'ailleurs vu que le couple Q.T (Ă©lĂ©mentaritĂ© de la charge Ă©lectrique et du temps) en Ă©tait une composante naturelle, faisant cohĂ©sion de l'oscillateur dipolaire. 

- Sceptique : Y-a-t-il une superposition d'Ă©tats dans le rĂ©fĂ©rentiel dipolaire soit : pĂŽleâș + pĂŽle⁻ ?

- Oui et elle est trĂšs importante car elle garantit le zĂ©ro physique dans le rĂ©fĂ©rentiel "dipĂŽle". Le "nĂ©ant" est ainsi fait d'une infinitĂ© de zĂ©ros. 

- Sceptique : combien existe-t-il de superpositions fondamentales d'Ă©tat ?

- Il y en a au moins 5 : 

1) le double interdit : ℳₒ = 0 ; ℳₒ > 0  
2) La dualitĂ© inter-genre : ℳ.ℒ  = Cte
3) la synchronisation des 𝓑odys formant le BEC-fossile,
4) lors de la saturation de la couche de rebroussement*, la superposition des charges des pÎles voisins issus de dipÎles différents, créant ainsi les neutrons et protons.
5) le couplage de type onde entre Ă©lectron et pĂŽle subquantique. 

- Sceptique : alors l'état électron-onde est-il partout à la fois avec causalité instantanée ?

- Non cet Ă©tat est soumis Ă  la (trĂšs grande mais finie) vitesse des dipĂŽles subquantiques. Il n'y a pas d'infini pour les paramĂštres physiques. Cela est exclusivement rĂ©servĂ© au dĂ©nombrement. Il faut rejeter ces notions de "simultanĂ©itĂ©" ou de "partout Ă  la fois" qui laissent entendre une vitesse infinie. La dualitĂ© de localitĂ© induit une dualitĂ© de cĂ©lĂ©ritĂ©. L'Ă©tendue spatiale de l'onde dans le niveau subquantique du BEC, est incrĂ©mentĂ©e par les longueurs Ă©lĂ©mentaires (𝜆ₑ). Ce niveau de prĂ©cision se trouve bien en deçà du temps Ă©lĂ©mentaire (tₑ).   

* cette couche est critique car le quasi arrĂȘt favorise les forces Ă©lectrostatiques (qui attirent) au dĂ©triment des forces de Laplace qui repoussent.   

      
 
     

Commentaires

  1. L'Ă©lectron est un ex-pĂŽle subquantique (devenu cĂ©libataire) et Ă  ce titre, il se comporte comme lui. L' amplitude de son oscillation "onde pilote" s'Ă©tend jusqu'au centre du BEC (point zĂ©ro). S'il est mesurĂ©, alors, dans le temps Ă©lĂ©mentaire maximum : te = 1.28×10^-21 secondes, il retourne Ă  son Ă©tat massique corpusculaire et Ă  sa position relative Ă  cette mesure. C'est la raison pour laquelle deux particules aux spins intriquĂ©s, restent causalement reliĂ©es Ă  trĂšs grande distance. La dualitĂ© de localitĂ© se trouve entre ces limites : {intervalle de Compton l ↔ rayon R du BEC}. La cĂ©lĂ©ritĂ© quantique est Ă©gale Ă  : c = l / te. La cĂ©lĂ©ritĂ© subquantique est Ă©gale Ă  c xi^3 ou R / te. Il n'y a pas de variable cachĂ©e LOCALE mais une variable cachĂ©e Ă  LOCALITE Ă©largie. Mais toutes les expĂ©riences sur la localitĂ©, nous montrent qu'elles ne sont pas si cachĂ©es que cela.

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