Enigme 19 : la matière est née de l'espace-temps

- Sceptique : juste avant d'atteindre l'intervalle critique d entre pôles voisins, la force de Coulomb n'a pas le temps de franchir cet intervalle d  qui aurait permis la fusion généralisée sur la couche de rebroussement. Mais quel est le laps de temps que l'on peut considérer comme un arrêt et comment cela affecte-t-il la vitesse d'un pôle sortant ?

- La vitesse des pôles dans le BEC, varie depuis le "point zéro", de c₀ = c 𝜉³ à c sur la couche de rebroussement. Le tableau montre que la "zone d'arrêt" équivaut à d = 1/𝜉 de l'épaisseur ƛₑ de la couche. Cela veut dire que la vitesse c du pôle sortant est diminuée de ce ratio 1/𝜉, ce qui est négligeable.  

- Sceptique : cela veut dire que les pôles sortants – libérés de leur force de liaison dipolaire à cause de la fusion qui masque leurs charges – conservent leur élan à la vitesse c et que c'est la cause de la mitose-expansion ?

- Oui et la couche sortante qui la précède, évite largement la fusion car – par définition – elle n'a pas de  zone d'arrêt. Ainsi la couche de rebroussement est nettement dévolue à la matière par {fusion-séparation des pôles} alors que toutes les autres couches, conservent leur état dipolaire pour tisser l'espace-temps qui apparait comme vide alors qu'il a un fort potentiel énergétique.

- Sceptique : qu'est-ce qui déclenche l'annihilation primordiale dont on reçoit aujourd'hui la température fossile atténuée en 1/r² ? 

- Quand la force coulombienne rapproche deux pôles (de charges contraires) au niveau de la longueur de Planck (épaisseur incompressible de Planck), les charges passent sans transition d'un valeur nominale à zéro. Cela créé une énorme crête de type di/dt qui revient à annihiler un majorité des dipôles concernés. Plutôt que de varier progressivement dans leur régime dipolaire, ils retrouvent une causalité binaire qui revient à étendre le "point zéro" à tout le BEC. 
      
- Sceptique : pourquoi reste-t-il des rescapés ~ (1/137)² qui échappent à l'annihilation ? 

- Puisque l'épaisseur de Planck est incompressible, il faudrait un taux de précision infinie pour que les fusions soient strictement synchronisées. Ainsi le di/dt n'est pas infini car il est échelonné dans le temps. En d'autres termes, l'infini réclamé par le mur de Planck est amortit par l'imprécision de la synchronisation. Ici comme ailleurs, en dehors du dénombrement, la physique refuse l'infini !   

- Sceptique : puisque la matière a la même source que l'espace-temps, elle doit-être fortement couplée avec les dipôles ?

- Oui et ce couplage déforme la symétrie dipolaire selon : ℳ.ℒ = Cte. Les pôle locaux voient leurs amplitudes réduites et ils compensent en émettant une inertie aux particules. Cela créé donc globalement une courbure de l'espace-temps et confère un habillage aux particules.  

 

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