Enigme 18 : origine et réduction de localité
- Sceptique : le modèle standard ne parle jamais de dualité de localité pour la création de paires et dans son mode de classement des particules, il mélange allégrement : a) celles qui sont stables avec celles qui ne le sont pas ; b) celles qui sont composites avec l'électron qui est la seule particule libre élémentaire. Ainsi il donne un statut universel à l'antimatière de création locale et donc instable.
- Ce type de classement doit être révisé à l'aune des critères fondamentaux que sont l'élémentarité et la stabilité des particules, via la dualité de localité.
- Sceptique : la hiérarchie à grande échelle est une des énigmes du modèle standard qui pense que la gravitation en est la cause. Le modèle Oscar indique que c'est la trace de l'annihilation primordiale liée à la constante de structure fine 𝛼 = 137,035999. Mais le "tissage" visible aujourd'hui, n'est pas aussi régulier que cela ?
- C'est parce que l'image générale a été brouillée par les collisions de galaxies et la matière noire qui en a résulté.
- Sceptique : le modèle standard évoque également "l'origine" pour l'expansion. Est-ce bien le cas ?
- Oui si l'on parle de l'expansion et non, si l'on parle de l'origine de l'univers. S'agissant de l'expansion le modèle standard n'a aucune explication physique. Concernant "l'origine de l'univers", la grande erreur des mathématiciens est de croire (sic) qu'en "remontant le temps" on tombe sur une origine moniste "ponctuelle" de rayon zéro ! Nous avons assez répété ici que le zéro mathématique est strictement incompatible avec la physique. En fait la grande erreur est d'évoquer ce mot "origine" en physique, alors qu'il a une connotation religieuse. Même Lavoisier l'avait compris : "Rien ne se perd, rien ne se crée tour se transforme". Le philosophe grec Anaxagore, avait déjà dit avant Socrate : « Rien ne naît ni ne périt, mais des choses déjà existantes se combinent, puis se séparent de nouveau ». Ces penseurs avaient compris que le mot "origine" a une connotation mystique. Cette phrase d'Anaxagore veut dire clairement qu'il existe un cycle permanent entre la dualité entropique d'état : {stochastique - synchronisé}.
- Sceptique : mais vous employez le mot "origine" pour la masse noire !
- Il y a deux sens au mot "origine". Il y a la connotation absolue et transcendantale dont nous rejetons l'emploi en physique. Il y a également la connotation implicite qui équivaut à : "de quelle transformation est issue cette chose ?". En l'occurrence le modèle Oscar a détaillé la cause de l'existence permanente (mais variable) du monde stochastique fait de dipôles du zéro (algébrique). Il a montré comment une partie de ces dipôles se synchronisent en un BEC. Il a montré pourquoi la saturation de ce BEC à débouché sur une délocalisation (croisée) menant à la mitose-expansion. Il a montré comment et pourquoi les galaxies entrent en collision et pourquoi il en ressort de la matière noire.
Je prépare sur YouTube une réponse à Étienne KLEIN portant sur le mot "origine". Ce terme a deux significations : a) moniste à connotation métaphysique ou binaire (1 ou 0) ; b) duale et relative à une transformation préalable. Le mot "création" pour désigner l'opérateur employé en physique pour l'extraction de particule avec de l'énergie, relève également de la métaphysique. Il n'y a pas de création pas plus d'origine moniste mais seulement des transformations d'états. Cela signifie clairement que l'alternative non naïve est sous forme de cycle (irrégulier, aléatoire, chaotique, stochastique). La réponse est dans la dualité de localité propre au principe d'oscillateur dipolaire et ce, à toutes les échelles. La communauté des physiciens trimbale des termes aussi éculés que naïfs tels que : création, origine, vide, néant, gluon.... Un toilettage est nécessaire !
RépondreSupprimerBonsoir Mr Mareau,
RépondreSupprimersans aucune prétention, je dirais que le mot "origine" est lié au temps, ou plutôt au référentiel de temps employé: chaque civilisation a un calendrier bien différent, avec des origines de temps tous aussi différents, l'origine du système solaire à 4, 5 Mds années, l'origine de la bulle univers 13, 7 Mds années, etc. On place donc notre origine à un moment clé, souvent celui qui nous arrange...
Mais si le temps est confiné, ou annulé dans chaque BOD2Y, il n'y a plus d'origine, l'éternité a autant de sens que le temps annulé.
Certes, l'impossibilité du zéro absolu est l'origine de l'infinité du nombre de zéros relatifs, tout comme l'infinité du nombre de zéros peut être l'origine de l'impossibilité du zéro absolu. Les deux sont en fait inséparables, l'un va avec l'autre, sans origine, car intemporellement liés.
Oui il faut paramétrer le mot origine qui est en fait une nouvelle étape d'un état antérieur modifié. Ainsi en physique il n'y a pas d'origine absolue car le paradoxe du double interdit : 0 > M = 0 implique une errance (oscillation) éternelle et ce dans un état d'entropie maximale qui ne peut que basculer (en partie) vers un état provisoirement synchronisé. En gros on peut dire que la belle harmonie ne saurait durer comme le chaos.
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