Enigme 17 : le cœur d'un trou noir

- Sceptique : le modèle standard donne avec raison le rayon R de trou noir par la relation de Schwarzschild : R = G M / c². En revanche il n'a pas une seconde relation qui le confirmerait. Pour cela il faut savoir comment le cœur est structuré. Le modèle Oscar a-t-il cette seconde relation inspirée par une organisation cohérente à son modèle global ?

- Exact ! Certains spéculent sur un cœur fait d'une vague "purée de quarks et de gluons ...". Le tableau montre que les atomes ne sont pas des grappes de protons et de neutrons mais organisés en couches concentriques. Une partie majoritaire est sous forme d'un empilage neutre et une partie minoritaire est sous forme de couches célibataires portant la charge ± ou 0. Ainsi le réseau d'atomes formant matière, se comprime dans les trous noirs, pour se conformer en couches concentriques ayant pour limite la longueur de Planck ! 

- Sceptique : ainsi le processus du modèle standard : 

réseaux d'atomes → n atomes en grappes → quarks-gluons ?

devient pour le modèle Oscar :

réseaux d'atomes → n atomes en couches → n couches 1 atome

- Oui car la loi ℳ.ℒ = Cte trouve sa limite à la longueur de Planck.  Ainsi le tableau montre que les étoiles primordiales se réduisent en n couches séparées par l'intervalle de Planck, selon la loi de Compton issue de ℳ.ℒ = Cte. Cela confère un rayon strictement égal à celui obtenu par la loi de Schwarzschild !  Cet intervalle de Planck est strictement incompressible !

- Sceptique : S'il est incompressible alors le rapide écroulement de ces étoiles sur elles-mêmes, vient rebondir très brutalement sur cette butée infranchissable ?

- Oui et cela débouche sur une explosion de genre supernovæ. Contrairement au scénario standard, la butée n'est pas réalisée par les neutrons (qui seraient incompressibles) mais par la longueur de Planck. Durant la phase de compression, des fusions nucléaires s'opèrent dans les couches  intermédiaires et sont ainsi réparties dans l'univers par l'explosion.

- Sceptique : Est-ce la scénario standard de nucléosynthèse primordiale ? 

- Pas tout à fait mais cela répond bien au fait que les étoiles de seconde génération ont un taux de fusion nucléaire très avancé.

- Sceptique : pourquoi ces immenses étoiles n'ont-elles pas formé des trous noirs ? 

- L'accrétion au centre des galaxies peut former des trous noirs sans explosion si elle progressive ! De plus une partie non négligeable est fait de DM, reliquat de collisions passées. En revanche, les étoiles primordiales s'écroulent sur elles-mêmes très rapidement (quelques centaines de milliers d'années).  

- Sceptique : en résumé : a) les étoiles dites "à neutrons" ont en fait une butée à la limite de Planck ; b) les trous noirs se structurent en mode "couches concentriques" ; c) le calcul du rayon le confirme car il donne le même résultat  que par la méthode de Schwarzschild

- Une précision : il existe des états intermédiaires où la taille d'une couche est plus grande que la longueur de Planck. Cela peut s'assimiler à une étoile à neutrons. Un trou noir est un atome géant dont chaque couche se comportent comme celles du proton. En effet il a 4 couches comprenant chacune 1836.15 / 4 ~ 459 masses électrons.  Sachant qu'une masse électron a le rayon de Compton (ƛₑ) on vérifie que le rayon du proton est bien : r = ƛₑ / 459 = 8,41×10⁻¹⁶ m.  

L'univers est un trou noir comportant 𝜉² fois plus de couches qu'une étoile primordiale (voir tableau) . il a un rayon max de 296 Gyl. Le lien montre que cela est confirmé par 4 autres méthodes :  Schwarzschild, Eddington, Oscillateur, Einstein.              

  

Commentaires

  1. Au fur est à mesure que la surface du trou noir "Bulle-Univers", grandit, elle est de plus en plus influencée par l'état stochastique dans laquelle elle est plongée. Ainsi elle retourne à l'état de désordre selon le cycle de l'entropie. Les trous noirs particuliers s'évaporent (voir les jets) à cause de l'aplatissement des intervalles subquantiques du plan galactique et donc en asymétrie avec ceux orientés dans l'axe de rotation. Cela revient au processus de saturation du BEC fossile et explique les éjections de matière dans un contexte de trou noir où la lumière ne peut sortir ! Un trou noir n'est pas sphérique du seul point de vue du tissu d'espace-temps. Il ressemble plus à des tubes parallèles à l'axe de rotation.

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  2. On me demande pourquoi – quand certains atomes éjectent des positrons – ces derniers sont toujours instables (ils s'annihilent avec le premier électron rencontré). J'ai déjà répondu à cette question : c'est encore et toujours une question de dualité de localité.

    Ces positrons sont issues de paires créées localement dans l'intimité du noyau de l'atome. Comme son partenaire électron (resté confiné), il subit la loi de la création locale et il est donc instable !

    Mais ce n'est pas si simple car il faut compter avec l'effet tunnel ! Le partenaire d'annihilation extérieure (un électron parmi d'autres, de statut non local et donc stable) est obligé d'échanger son statut de localité avec celui (instable) resté confiné. Ainsi est évité la situation d'une paire hétéroclite qui ne pourrait ni s'annihiler ni fusionner.

    Alors l'effet tunnel est-il magique ? Pas du tout car l'opération "création locale" est une extraction d'une paire de pôles ± locaux. (voir : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2018/11/exces-de-positrons-effet-tunnel-et.html). L'échange de statut de localité s'opère par le même canal.

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  3. Voir ceci : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2018/02/le-mystere-des-positrons.html

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  4. Bonsoir Mr Mareau,
    merci pour ces précisions, j'aurais tout de même quelques questions pour essayer d'y voir plus clair dans le trou noir:
    1. vous confirmez l'idée d'un atome géant, c'est à dire, les milliards de milliards de couches concentriques?
    2. comment peut s'insérer la matière noire dans ces conditions? est-elle rejetée en dehors de l'atome géant?
    3. les forces en présence n'arrivent-elles pas à stabiliser le coté erratique/bruit de fond de la matière noire?
    4. dans le trou noir du centre de la galaxie, quelle serait la proportion d'espace "libre" entre l'horizon des événements et la surface du trou noir/atome géant?
    5. la différence entre une étoile à neutron et un trou noir géant tient peut être également au nombre de BEC concernés (un pour étoile à neutron, des milliers pour le TN central)
    6. le TN a un axe de rotation, mais cette rotation est-elle capable d'aplatir une sphère de rotation tant les forces de cohésion de l'atome géant sont immenses?
    7. un trou noir n'est-il pas le dual du vide? (le M concentré sur petit L Vs petit m dilué dans un immense L)
    8. dans ce cas , comment réconcilier les 2 pour retrouver nos bosons stochastiques, à terme ?
    9. au coeur du TN, les points zéro des BEC arrivent-ils à fusionner ou restent ils séparés?
    10. S'ils fusionnent, c'est que le nombre de BEC fils ne cesse de diminuer et donc la coquille bulle univers finale ne sera pas à 296 GYL, mais bien moins
    11. la fin de la bulle univers ne s'annonce t-elle pas comme une inversion de l'expansion et une contraction vers un trou noir unique? Ce BEC "réuni" pourrait-il être saturant et repartir en mitose?
    12. les éjections polaires des trous noirs ne sont-elles pas rattrapées par la gravité du TN leur ayant donné naissance? et donc évaporation apparente, mais seulement entretenue?

    Bon courage :-)

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  5. En fait le trou noir géant est un tissage non régulier, de BECs. L'annihilation primordiale a créé des trous entourés de filament de galaxies. C'est ce que l'on observe. Or les galaxies et les amas ont un important taux de concentration de BECs et matière. C'est là que se fabrique la DM (surtout dans les amas). Comme elle est moins bien couplée avec les dipôles de l'espace-temps, elle migre vars l'extérieur des galaxies, là où la concentration de BECs est plus faible pour raison de déchevêtrent par effet d'expansion de l'univers. Donc ces trous sont gavés de DM sous forme d'ondes anharmoniques (type parasite).

    04/ Le rayon de saturation de la vitesse c est égal au rayon d'un "atome géant" fait de couches espacées de la longueur de Planck comme le montrent les relations 4 et 5 du tableau. Donc pas "d'espace libre". En revanche le halo visible de matière aspirée peut-être plus grand.

    05/ d'accord avec vous !

    06/ la réponse n'est pas facile !

    7-8/ le dual du vrai vide (impossible absence de tout) est donné par le paradoxe lié à l'obligation de l'existence errante de ML. Le vrai vide est l'attracteur de l'impossible zéro. L'errance paradoxale se fait entre une inertie > 0 interdite et l'impossible 0.
    09/ ils fusionnent puisque l'égalité entre les relations 4 et 5 exige des couches concentriques.
    10/ oui et non car à terme, les inévitables collisions transformeront aussi les TN en DM (éparpillée). Cependant vous avez raison, toute échange d'énergie réduit la durée de vie. Cependant, un rapide calcul montre que c'est négligeable.
    11/ Il y a une concurrence entre deux phénomènes qui augmentent avec la taille de la Bulle-Univers : a) la synchronisation est pervertie par le flux d'échange des Bodys stochastiques via la surface de la Bulle en augmentation ; b) les collisions répétées finiront par éradiquer totalement la matière → photons. Donc l'évaporation me parait plus convaincante que l'inversion d'expansion.
    12/ non car les éjections polaires sont relativistes. Elles ont les moyens de quitter "définitivement" le TN.

    Merci pour toutes ces questions pertinentes !

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