Enigme n°34 : ajustement fin de l'univers

- Sceptique : le modèle standard considère qu'une variation faible des constantes de l'univers, empêcherait l'émergence de la vie. Faisant le rapprochement entre la constante cosmologique et l'énergie noire, il considère que les instabilités gravitationnelles n'auraient pas pu créer les grandes structures telles que les galaxies. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- Que d'erreurs en si peu de mots ! La première consiste à évoquer l'univers, alors qu'il a fondamentalement 2 états bien distincts : a) l'état stochastique et éternel à entropie maximale et dans lequel tout les paramètres physiques sont strictement nuls dans le référentiel dipolaire des oscillateursody ; b) la bulle univers en expansion provisoire, née de cet état, via un flux de synchronisation aléatoire dans un BEC ou Condensat de Bose Einstein (où l'entropie est minimale). La seconde erreur consiste à croire que les galaxies puissent être nées des instabilités gravitationnelles. Non elles ne sont pas nées par hasard mais générées par la mitose fractale du BEC fossile. D'ailleurs le modèle Oscar avait prévu que les premières  étoiles et galaxies sont bien plus massiques (sous forme DM) que celles plus proches. La clé de la vie est l'aptitude à se reproduire par mitose (voire méiose pour les organismes complexes). On sait que la vie se distingue d'un milieu à forte entropie de désordre par sa synchronisation interne. La dualité {extérieur-intérieur} joue pleinement son rôle. L'origine est clairement le BEC fossile de la Bulle-Univers, plongé dans un milieu à entropie maximale. Tout ce qui concerne l'apparition des grandes structures, de  la vie, etc, n'est qu'une reproduction du BEC-fossile qui s'est saturé avant de se reproduire pour répondre à ses besoins d'équilibre interne. 

- Sceptique : le modèle standard prétend qu'il existe 15 constantes fondamentales.... 

- Il n'existe que deux ratios fondamentaux et 2 constantes physiques {ℳ ℒ} qui signent la création du BEC fossile amené à entrer en mitose après saturation. Le premier, 𝜉² est le ratio de mitose et se trouve dans plusieurs relations physiques telles que le ratio masse de Planck / masse de l'électron ou – sous la forme 𝜉⁴ – qui signe le ratio entre la force coulombienne / gravitationnelle, exercée sur une paire électron-positron. Le second ratio est la constante de structure fine 𝛼 dont l'origine est l'annihilation primordiale qui a déclenché la mitose fractale. On montre clairement que le ratio entre ces deux constantes (avec les exposants appropriés) révèle l'origine du proton ! Ce denier est la seule et unique particule composite libre, à être stable. Sa source est le ody devenu électron-positron. On montre qu'en prenant l'unité "électron" pour ses paramètres ℳ ℒ T, on retrouve : c, G, ħ.  

- Sceptique : donc l'univers stochastique doit pouvoir refaire des Bulle-Univers à l'identique ? 

- Non car selon les ratios aléatoires des odys qui se synchronisent, certaines Bulles-univers peuvent ne pas durer assez longtemps pour créer la vie. Le tableau de Mendeleïev serait changé car sa base "proton" exprimée en unité de masse 'électron" serait différente de celle que nous connaissons. Cela ne devrait pas empêcher de créer des éléments chimiques qui, comme les CHONs (carbone, hydrogène, oxygène, azote), permettent des combinaisons formant les acides aminés, précurseurs de la vie.  

- Sceptique : alors quelle est la clé des ody stochastiques en cours de synchronisation, pour créer un BEC fossile ?

- La clé est toujours la même : il s'agit du ratio lié à la constante fondamentale : ℳ.ℒ = Cte .  Le lot de ody qui a créé la Bulle Univers que nous connaissons, avait le ratio : amplitude spatiale / point zéro = 𝜉⁵. En rapport avec la longueur de Compton de l'électron la grande valeur est 𝜉³ fois plus élevée et la petite valeur est 𝜉² fois moins élevée ! C'est la longueur de Planck !  Dans une autre bulle-univers, l'aléa produira une synchronisation dotée d'un ratio différent ! 

- Sceptique : tous les ody aurons ℳ.ℒ = Cte ?

- Oui mais cette constante ne vit que dans un cycle pour les états stochastiques et reste inchangée après synchronisation. La grande erreur de beaucoup de  physiciens consiste à croire (sic) que le zéro absolu mathématique puisse s'appliquer à l'inertie (paramètre physique). Le dual du zéro étant l'infini, ils en déduisent une amplitude spatiale infinie.... à jamais injustifiable ! On est – comme au moyen âge –  dans le domaine de la croyance !  Cependant, = 0 est un puissant attracteur mais impossible à atteindre. Le paradoxe est l'impossibilité de  > 0

- Sceptique : alors quelle est la solution ?

- L'oscillation éperdue (stochastique). Le couple ℳ.ℒ = Cte se conduit exactement comme l'impulsion de Dirac. Cela veut dire que dans l'oscillateur fondamental,  l'amplitude spatiale est le dual de l'inertie . Il existe une infinité de possibilités d'approcher le zéro absolu sans jamais l'atteindre. L'aspect dipolaire de cet oscillateur annule algébriquement toute énergie. C'est la définition du néant fait d'une infinité d'oscillateurs ayant chacun zéro paramètre physique apparent !  

Le paradoxe du néant réside dans l'oscillation (indécision) entre deux états impossibles de l'inertie : le zéro absolu et son existence. L'intensité de l'amplitude de l'oscillation est la réponse au degré d'approche du zéro absolu. Fondamentalement, l'inertie n'existe que dans le cadre du couple ℳ.ℒ = Cte. Dans l'oscillateur élémentaire, la période T est issue de : √(ℳ.ℒ / F) . La force F – de nature électrique – dépend de la charge élémentaire e qui est générée par ℳ.ℒ ! La nature physique du temps est une composante de ℳ.ℒ. Les paramètres de l'électron (ex ody) répondent strictement à cette démonstration.          



    

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