Enigme n°33 : quantification du spin

- Sceptique : le modèle standard utilise la fameuse constante de Planck ħ qui stipule soit une quantité nulle, entière ou demi entière, de moment cinétique (spin) identique pour toutes les particules, quelque soit leur masse . Pourquoi ?

-  Tout d'abord il faut poser la dimension physique de cette constante ħ : [M L² /T]. On peut également la poser comme étant le produit de c [L/T] par ℳ.ℒ = Cte . La raison pour laquelle ce moment cinétique ħ est la base universelle est qu'il est le résultat des seules paramètres de l'électron : ħ = mₑ 𝜆ₑ²/ tₑ avec 𝜆ₑ le rayon de Compton (à lire comme "barré" soit : 1/2𝜋).  

 - Sceptique : alors pourquoi la constante ħ fonctionne-t-elle avec des particules bien plus massiques comme le proton ? 

- Tout simplement parce que ces particules ne révèlent que leurs composants élémentaires célibataires (positron et/ou électron). 

 - Sceptique : le modèle standard dit que les particules élémentaires sont les gluons et les quarks. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ? 

- Les quarks existent bien mais ils sont induits par les intervalles polarisés des couches neutres. Ils ne sont donc pas constitutifs. Les gluons ne sont pas la naïve colle de la force forte car celle-ci s'explique directement par l'empilage des charges électriques des couches concentriques formant les noyaux. Les éléments du tableau de Mendeleïev ne sont pas organisés en grappes de protons et de neutrons mais sont constitués de couches sphériques concentriques d'ondes électron-positrons. 

- Sceptique : mais le modèle standard dit que des paires électrons-positrons ne peuvent occuper le même état car ils sont déterminés par la statistique de Fermi et non de Bose !

- L'erreur fondamentale vient d'une mauvaise interprétation du statut de positron ! Il apparaît toujours comme étant instable et rare. En réalité, le positron visible est toujours issu d'une création localedonc instable –  où l'électron lié vient occuper une place au sein de l'atome qui l'a créé. 

- Sceptique : alors pourquoi le positron émis et libre (instable) s'annihile avec le premier électron rencontré alors que ce dernier est réputé stable ?

- C'est là qu'intervient l'effet tunnel ! Cet électron incident et sable, échange son statut de localité (donc de stabilité) avec celui confiné dans le noyau émetteur. Cet aspect de parité est une énigme relatée dans ces expériences (voir pages 11 et 20) relatives aux émissions de positrons. Ainsi, il a le même statut que le positron incident et l'annihilation prend tout son sens. On rappel que le positron stable (création sur le BEC fossile avec rupture de localité) est condamné à être toujours confiné. C'est la polarisation du "vide" qui l'a aléatoirement désigné comme tel (l'aléa "une chance sur deux",  s'est généralisée à tout l'univers). Le positron stable de création originelle est toujours confiné. Avec son alter ego, l'électron, il se comporte comme un pseudo boson et compose ainsi, toutes les particules composites. 

- Sceptique : revenons aux 3 types de quantification du spin, pourquoi trois ?

- Dans tous les cas, chaque électron ou positron est couplé avec un  ody subquantique. Il faut voir cela dans le cadre d'une paire de ody (A et B) soit 4 demis ody. Il existe deux sortes de couplages : le couplage en phase ph (1/2+1/2 = 1) et le couplage en opposition de phase o-ph (– 1/2 + 1/2 = 0). Le neutron est un cas particulier car son couple de célibataires, alterne entre ces deux états de telle sorte que sa moyenne est : (1 + 0) /2 = 1/2 ħ. Ainsi, le spin 1/2 du positron célibataire du proton est couplé avec 1/2 ody

- Sceptique : mais qu'en est-il de la masse principale neutralisée par son empilage concentrique dans le proton ou le neutron ?

- L'empilage neutre est de type statique est reste dans l'état o-ph (– 1/2 + 1/2 = 0) de telle sorte que son moment cinétique est annulé.  Mais par ailleurs, les moments cinétiques annulés suivent la loi ℳ.ℒ c = Cte . Cela n'apparaît que dans le confinement de chacun des éléments et n'est donc pas mesurable.

- Sceptique : pourquoi le boson W a-t-il un spin unitaire de type : 1 = 1/2 + 1/2 ?

- Le boson W révèle l'extraction subquantique d'un couplage local en phase de type :  ph (1/2+1/2 = 1) de 2 moitiés deody parallèles.   
 
- Sceptique : pourquoi le boson de Higgs a-t-il un spin nul ?

- Le boson de Higgs révèle l'extraction subquantique d'un couplage non local (ody subquantique complet), forcément en opposition de phase de type : oph (–1/2 + 1/2 = 0)

- Sceptique : qu'est-ce qui montre  concrètement le couplage subquantique ? 

- Outre la cohérence complète du modèle, il y a l'expérience d'ASPECT qui montre clairement que l'appariement des spins se conserve au-delà de la causalité imposée par la vitesse c. L'énigme  appelée classiquement "lien fantôme" est levée avec la structure du "vide" faite de ody subquantiques et supraluminiques auxquels sont couplées toutes les particules.   

   

      

Commentaires

  1. Par définition, un oscillateur dipolaire ℬody ne trahit aucune énergie car son statut dual lui permet d'annuler algébriquement tout paramètre physique. C'est la seule et unique possibilité d'existence gratuite. La paire électron-positron, de statut ex ℬody, ne peut être que de parfaite symétrie. Or le modèle standard nous parle naïvement de violation de parité ! Tout physicien qui se respecte ne peut admettre une telle asymétrie. C'est aussi grave que de croire (SIC) qu'il puisse exister un zéro (paramètre physique) absolu en physique. C'est à cause de ces deux très graves erreurs que le modèle standard s'est refusé à chercher à comprendre en se contentant de décrire. Cerise sur le gâteau, certains confondent description et explication !

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?