Typologie d'un Body

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : avant de terminer la série des résolutions d'énigmes, il serait peut-être utile de revoir la carte d'identité d'un ℬody sachant qu'il s'agit d'un Boson-Oscillateur-Dipolaire Yin Yang. Pourquoi utiliser le Yin Yang ? 

- Le Yin Yang : représente très bien la dualité profonde de la nature. Sans cette dualité universelle, le ℬody ne saurait exister car il présenterait des paramètres physiques injustifiables. Cette dualité ne lui confère qu'un potentiel d'existence. Dans cet état stochastique, chaque Boson Oscillateur Dipolaire est particulier car il change aléatoirement à chaque cycle. Son inertie hésite entre deux états physiques impossibles : ℳ  = 0 ; ℳ  > 0 ! Ce paradoxe est la cause profonde de son oscillation ! Son statut dipolaire annule les paramètres des deux pôles et il ne s'agit donc que d'un potentiel d'existence. Fondamentalement les paramètres physiques de chaque pôles (inertie-amplitude) ℳ.ℒ , sont inséparables. C'est juste la forme canonique de la loi de Compton ! A chaque cycle, ℳ.ℒ = Cte indique que l'un est composante de l'autre.  Si l'inertie au point zéro tend vers zéro, alors le potentiel d'amplitude spatiale, tendra vers l'infini : ℳ → 0 ⇒ ℒ → ∞ .  Si dans le  confinement de chacun des pôles, les paramètres ℳ.ℒ  existent bien, ils sont annulés algébriquement dans le référentiel dipolaire (ℬody). Chaque ℬody est statistiquement indépendant des autres et le monde stochastique ne connait ni masse, ni espace, ni temps. 

- Sceptique : alors comment peut naître un Condensat de Bose Einstein (BEC) où tout est synchronisé ?

- Si les ℬodys sont statistiquement indépendants les uns des autres, cela veut dire qu'il existe une très faible probabilité pour qu'un lot se synchronise. Cela est d'autant plus vrai que le temps (global) ne s'écoule pas ! 

- Sceptique : qui décide des paramètres physiques commun du lot en cours de synchronisation formant le BEC-fossile ?

- C'est tout simplement la moyenne des paramètres aléatoires des pôles du lot. Et là un ratio apparaît : il s'agit du rapport entre l'amplitude commune R des ℬodys et l'épaisseur lₚ de chaque ℬody.  Comme R = ξ³ ƛₑ et que la longueur de Planck  vaut : lₚ = ƛₑ / ξ² , ce fameux ratio vaut ξ⁵. Mais attention, jusqu'à l'opération : {saturation-mitose-expansion}, les paramètres physiques restent confinés dans les pôles.

- Sceptique : comment se déclenche l'expansion de la Bulle-Univers avec séparation de la structure "espace-temps" et des structures "particules" ?

- On a vu que la couche externe est par définition le point de rebroussement de chaque pôle de ℬody. C'est là que la dualité de forces : de Coulomb et de Lorentz, intervient. Il existe un intervalle critique où la force coulombienne attire et fusionne les pôles voisins alternés. Pour cette seule couche, le lien électrique des ℬodys  est rompu et chaque pôle voit ses paramètres physiques se révéler. Pour les ξ³ couches internes, les ℬodys restent liés et structurent l'espace-temps. Mais les ℬodys sont perturbés par le couplage avec les particules. De ce fait, ils perdent en partie leur symétrie et leurs paramètres se révèlent en fonction de l'intensité de ces perturbations. 
ξ² : taux mitose & ratio masse Planck/électron
ξ³ : Nb couches & ratio rayon BEC/ Compton électron
ξ⁴ : Nb ℬodys / circonférence BEC & ratio coulomb/gravitation*
ξ⁵ : ratio amplitude / épaisseur de Planck
ξ⁶ : Nb paires électron-positrons / étoile
ξ⁷ : Nb paires électron-positrons / galaxie
ξ⁸ : Nb paires électron-positrons / Bulle-Univers
ξ¹¹ : Nb ℬodys structurant l'espace-temps de la Bulle Univers

* appliqué à la symétrie formée par la paire électron-positron 
   
    

Commentaires

  1. Un Body (synchronisé) est l'ancêtre d'une paire électron-positron avec :
    - un rayon de Compton xi^3 fois plus étendu (10^21 m au lieu de 10^-13 m).
    - des masses variables au ratio xi^3
    - des masses en vis à vis qui se neutralisent.

    Et pourtant beaucoup "voient" une paire entre un électron et un proton (composite et 1836 fois plus massique !). On dit que les équations de Dirac ont permis de découvrir le positron alors qu'il suffisait d'appliquer la simple règle de symétrie. Y-a-t-il un physicien dans la salle ?

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  2. Humour : est-ce que SCEPTIQUE est une FAUSSE ...... idée comme choix du nom d'interlocuteur ?

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  3. Bonjour Mr Mareau,
    - sceptique pourrait l'être avec le modèle standard, mais pas avec le modèle OSCAR ! C'est la soif de comprendre le pourquoi qui pousse sceptique à poser ses questions. Son coté sceptique vient des doutes et de son détachement vis à vis des connaissances qu'on semble lui présenter comme des vérités, toutes rattachées au modèle standard pour lequel on peut constater quelques insuffisances et approximations, parfois sorties du chapeau...
    - Pouvez-vous revenir sur ce point: comment passe t-on du potentiel d'existence (au sein de chaque BODY) à l'existence? Car on ne peut saturer que de l'existence, comment saturer du potentiel d'existence? La synchronisation des BODYS augmente t-elle le potentiel d'existence jusqu'à ce que la probabilité d'existence soit unitaire?
    - Dans un BEC toutes les particules sont dans le même état quantique. Les BODYS sont-ils considérés comme des particules? A la saturation, tous les électrons et positrons étaient-ils dans le même état quantique? Est-ce une condition nécessaire (en plus de la non localité) pour qu'ils puissent s'associer pour créer le proton (particule composite d'équilibre entre les deux signatures de la bulle univers)?

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  4. Cela fait plaisir de vous lire LC !

    Tant que le BEC-fossile n'est pas saturé, la symétrie de chaque Body est parfaite ! De ce fait, le potentiel d'existence reste un potentiel puisque les paramètres physiques des 2 pôles non séparés, s'annule parfaitement. Le BEC-fossile avant saturation – possède un potentiel d'existence de par ses paramètres confinés.

    La clé de la saturation vient de l'augmentation du nombre de Bodys et donc du rétrécissement de l'intervalle élémentaire (tangentiel). Dans le volume du BEC, la vitesse n'est jamais nulle ! Donc les forces de Lorentz repoussent les Body entre eux et ne peuvent donc pas fusionner. La couche extérieure correspond au point de rebroussement ! Cet arrêt ultra court, associé à un petit intervalle (critique) permettent la fusion par les forces attractives de Coulomb. Cette fusion inter-Bodys masque les charges qui garantissaient la cohésion des 2 pôles des Bodys. C'est le masquage des charges qui brise les liens des Body et révèle ainsi les paramètres physiques de chaque pôles alternés (+/-). Ils deviennent les paires électron-positrons ! Le potentiel d'existence devient l'existence réelle.

    Si les pôles, devenus paires électron-positrons, fusionnent sans s'annihiler, c'est grâce à la "réduction de localité" qu'ont subi les pôles. C'est une séparation.

    L'annihilation est devenue potentielle par élargissement de localité (où chaque pôles est à l'opposé sur le BEC). En quelque sorte, le potentiel d'existence est devenu existence (localité réduite) quand l'annihilation est devenue potentielle par élargissement de localité.

    Cela est très différent de l'expérimentation locale où une paire électron-positron s'annihile via un état appelé positronium.

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