Enigme 50 : la 5eme dimension

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.




- Sceptique : la théorie de KALUZA-KLEIN – acceptée par Einstein en 1919 – est basée sur l'idée qu'un "champ" scalaire puisse être représenté mathématiquement par une 5eme dimension d'espace-temps. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?  

- Oskar KLEIN apporta une précision en proposant que ce champ soit structuré comme un treillis dont chaque élément est enroulé à la dimension de Planck. Il y aurait 3D + c.t + 1D (enroulé). C'est la première approche vers la dualité d'échelle : {quantique - subquantique}.  Le modèle OSCAR reprend cette idée mais sans l'enroulement.  Dans la phase stochastique et permanente d'univers cet état est fait d'une infinité de bosons oscillateurs ℬody 1D. De par leur caractère dipolaire, chaque ℬody n'affiche aucun paramètre physique à son échelle. Les paramètres des pôles sont confinés et s'annulent par leur sommation algébrique dans le référentiel ℬody. Non connectés entre eux, les ℬodys représentent la forme la plus aboutie de l'entropie de désordre. C'est par une synchronisation partielle en un BEC-fossile, que via un point zéro commun central, ils représentent potentiellement ensemble, une configuration dynamique 3D+c.t,  préfigurant l'espace-temps.  Mais même synchronisé,  chaque ℬody continue d'afficher un zéro paramètre physique. C'est l'état potentiel d'espace-temps.


- Sceptique : deux questions : a) comment cet espace dynamique passe de l'état potentiel à l'état réel où chaque pôle se révèle ? ; b) pourquoi n'y-a-t-il pas, à ce stade, une cinquième dimension ? 

- La révélation des pôles s'opère lorsque chaque lien causal des ℬodys de la seule couche externe (localité élargie), se brise pour se réduire à une localité restreinte (c'est l'intervalle élémentaire de l'électron). C'est la dichotomie entre les corpuscules (couche externe) et l'espace-temps (toutes les autres couches). Les pôles (+/-) de la couche externe, se matérialisent en paires électron-positrons.  Elles conservent le produit constant ℳ.ℒ par réduction de localité et augmentation de l'inertie .  La période 𝜏 = f(ℳ.ℒ) reste donc inchangée. C'est cela qui justifie la dualité des vitesses {quantique-subquantique} qui explique la non localité de l'intrication des spins. Issues de ℬodys différents, les paires ne peuvent s'annihiler entre voisines et se comportent alors comme des pseudo-bosons. La 5eme dimension est le lien 1D entre les corpuscules (ex-pôles) et les ℬodys de l'espace-temps qui conservent leur localité élargie. 

- Sceptique : les corpuscules sont ainsi révélés mais quid des  ℬodys de l'espace-temps ?

- La matière perturbe la symétrie des ℬodys de l'espace-temps. L'équilibre est légèrement rompu et cela révèle une toute petit partie de leur paramètres M,L,T ! Un électron – ex-pôle de ℬody – est sous forme d'une sphère (3D +c.t) dont le centre est en liaison avec un pôle 1D de ℬody. Or ce pont avec le pôle subquantique (5eme dimension) est en 1D ! Sa taille est effectivement celle de Planck comme l'avait suggéré Oskar KLEIN. Cependant elle n'est pas enroulée mais rectiligne (légèrement spiralée car le spin est une valeur partagée entre le corpuscule et le pôle lié de l'espace-temps). Sa localité – élargie à tout le BEC – offre une causalité de spin élargie au rayon du BEC soit ~ 150 mille années-lumière.  

- Sceptique : donc pour un électron sphérique,  la symétrie entre l'échelle quantique et subquantique est violée ? 

- L'effet est la polarisation du "vide" résulte d'une contrainte simple de la géométrie d'une sphère à 2 entrées : a) celle du centre (un point 1D qui s'interprète comme la longueur de Planck) ; b) l'échange au niveau quantique est un flux passant par l'aire 2D. Ainsi, dans la sphère du proton, le positron est placé plus près du centre ce qui crée une polarisation. Ce pont ou ce lien (5eme dimension) est trahit par ce qu'il est convenu d'appeler l'habillage d'une particule. On montre que ce taux d'habillage est en étroite relation avec le taux d'anomalie du moment magnétique de l'électron. Dans un prochain article, nous regarderons pourquoi on peut extraire un boson de Higgs en injectant l'énergie nécessaire. 

- Sceptique : êtes vous d'accord avec Richard Olivier HARTMANSHENN quand il dit que "tout est onde" ? 

- Oui car au départ, il n'existe qu'une sorte de pré-corpuscule : le boson oscillateur dual ou ℬody qui comporte deux pôles contraires causalement liés. Ils se comportent comme l'onde pilote de BOHM. Une (petite) partie devient "matière" et elle se comporte également comme une onde ou comme un oscillateur.  Comme on l'a déjà vu, la dualité onde-corpuscule, nait sur la couche externe qui matérialise le point de rebroussement ! A ce très fugace point d'arrêt, intervient la dualité entre la force de Lorentz qui sépare et la force Coulombienne qui attire. Ces forces sont de même genre mais elles sont séparées par la dualité {statique-dynamique}.

         


 

Commentaires

  1. Là encore la dualité de localité est déterminante. Au début du siècle dernier, il a été prétentieux (ou naïf) de prétendre au caractère universel des expériences locales ! Et c'est pourtant encore l'idée majoritaire actuellement.

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  2. En faisant l'amalgame des localités, les tenants du modèle standard croient (SIC) que l'électron émis par le neutron ne pré-existe pas. Ils vivent avec l’ambiguïté suivante : une création locale est toujours instable alors que l'électron émis est très stable ! Mais on a vu que ce n'était pas la seule ambiguïté.

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  3. Bonjour Mr Mareau,
    - le tissu 1D subquantique relié représente t-il une autre dimension ou bien est-ce la prolongation de la cinquième dimension du pont?
    - "espace-temps" n'est-il pas un abus de langage? "espace-inertie" serait-il plus proche de la réalité?
    - dans la localité étendue 1D d'un Body, le temps n'a pas beaucoup d'importance.
    - en revanche, il prend toute son importance dans la bulle univers, lorsque l'inertie est multipliée par un facteur Xi^3 alors que L est divisée par ce même facteur, tout comme c. Est-ce bien cela?
    - finalement le temps est induit par la "création" (séparation des deux poles du body) de la matière, extrêmement limitée dans la vitesse de ses déplacements pour rejoindre son "alter ego et pouvoir s'annihiler.
    - ceci nous laisse donc le temps de vivre dans la bulle univers, avant le retour complet à l'état stochastique !
    - le temps pourrait être vu comme l'expression d'un décalage immense entre la vitesse de déplacement dans la localité du body, généralisé à tout le subquantique, et la vitesse de dépassement de la matière dans la bulle univers.
    - Ce décalage est même plus précisément un rattrapage (qui prendra du temps), et la flèche du temps est donc forcément unidirectionnelle dans la bulle univers (pas de retour dans le passé possible)

    Bon week-end

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  4. Bonjour LC,

    - On pourrait considérer que la 5eme dimension (soit le lien de couplage) est en plus de celle 1D des Bodys. Donc cela ferait donc 6 D. Sans ce lien, les Bodys resteraient inexpressifs car leur symétrie serait intacte.
    - Oui d'accord, c'est en fait le continuum d'Einstein "masse-espace-temps".
    - le Body a la période d'un électron mais son amplitude est xi^3 fois plus grande ! Cela veut dire que la vitesse moyenne est 10^33 fois plus grande, d'où : a) l'expression de la dualité des vitesses; b) l'intrication conservée à très grande distance.
    - le temps est tout simplement la période de tout oscillateur : t = (M.L /F)^0,5. Il dépend de M.L.
    - oui l'unidirectionnalité du temps possède une flèche guidée par la croissance inéluctable de l'entropie de désordre.

    Bon WE également !

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