Enigme 53 : les 5+1 types de couplages

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : dans le billet traitant de l'énigme 52, il est montré que le "soft" du muon suit une loi de l'information induite par la somme de tous les photons primordiaux de l'univers. Comment le monde subquantique peut-il "porter le message" partout si toutes les localités se ressemblent ?

- L'expansion se réalise par déchevêtrement des BECs intergalactiques. En bout de cycle, on a vu que que le rayon de la Bulle-univers est matérialisé par N = 3𝜉/4𝜋𝛼² BEC-fils complétement déchevêtrés et donc tangents. Cela est confirmé par 4 autres relations. Ainsi l'information dans la Bulle-Univers est couverte par un temps maximum valant N fois la période d'un BEC tₑ = 2,18×10⁻²¹ s, soit  2,53×10⁻¹⁵ s. Donc toutes les coordonnées possibles de la Bulle-Univers ont accès à cette information. Elle est relative à la densité de photons connue (𝜌 = 4,1×10⁸/m³) dont le tableau donne la formule et en déduit le rayon actuel de la Bulle-Univers R(t)

- Sceptique : Donc si en tout lieu il existe l'information µ = ln(𝜉⁸) alors il n'y a pas de dualité de localité ?

- La dualité de localité s'exerce ici entre le hard (l'énergie locale qui "nourrit" le corps)  et l'information non locale (soft) qui le calibre. La mémoire de l'annihilation primordiale est bien conservée. Elle indique que l'énergie d'un électron primordial (avant annihilation) était représentée par le rayon classique.  Aujourd'hui ce rayon est 𝛼 fois plus grand et donc 𝛼² pour la surface.

- Sceptique : quelles autres types d'informations reste-t-ils de la phase primordiale {annihilation-mitose} ?   

- Il reste également la trace de la cause de la fusion primordiale en neutron-proton. La mitose devait à la fois suivre la voie fractale liée à l'annihilation (𝛼²)⁵⁺¹ et le taux d'anisotropie des intervalles élémentaires, soit 𝜉² . C'est le ratio entre ces deux causes qui a joué le rôle de variable d'ajustement soit : 1835,26 = (𝛼²)⁵⁺¹ / 𝜉² . On a vu dans le dernier billet que les assemblages se réalisent avec des paires entières. Donc cela a provoqué une anomalie de masse (habillage dit virtuel) dont le taux est : 1841 / 1835,26 = 1,0031... Elle a été compensée par une asymétrie entre les pôles des 𝓑𝓞𝓓𝓨s subquantiques de l'espace-temps. 

- Sceptique : sans cette variable d'ajustement liée à la dualité des causes de la mitose, il n'y aurait pas eu cette légère asymétrie des 𝓑𝓞𝓓𝓨s. Est-ce à dire que l'espace-temps ne se serait pas révélé dans le cadre d'une symétrie parfaite où tout s'annulerait ?

- C'est exactement cela ! cependant, un accord parfait entre deux causes indépendantes aurait été hautement improbable. Cette fusion forcée en proton a donc induit une polarisation entre le monde quantique des particules et le niveau subquantique. C'est l'anomalie des moments magnétiques des particules. On a vu dans le dernier billet que quand le muon prend forme localement (donc furtivement), il subit – en plus de la composante "habillage" la composante "anomalie moment magnétique". Ce n'est pas le cas du proton qui est la source (la cause) de cette dernière composante.

- Sceptique : donc le tissu subquantique matérialise la notion de "champ" qui est le transmetteur des formes telles que : "scalaire" ; "électro-magnétique" ; "gravitationnelle" ; "spinorielle". 

- Le tissu subquantique est à la fois transmetteur et fournisseur, via le couplage particule-𝓑𝓞𝓓𝓨s . L'expérience d'ASPECT sur la conservation à grande distance de l'intrication des spins de particules, prouve la dualité de vitesse : quantique-subquantique. Contrairement à ce que l'on entend parfois, la communication n'est pas instantanée mais juste nettement supérieure à celle de la lumière. Cela est rendu possible car l'intrication entre deux particules inclus les 𝓑𝓞𝓓𝓨s avec lesquels  elles sont couplées. L'expérience montre juste le spin des 𝓑𝓞𝓓𝓨s dont l'amplitude de causalité est largement plus vaste que celle des particules. 

- Mais Einstein résout parfaitement la transmission de la gravitation par la notion de courbure de l'Espace-Temps. 

- C'est exact car il existe effectivement une courbure du tissu subquantique, relative aux concentration de masses. C'est le fameux taux d'anomalie de masse qui, lorsqu'il est concentré, déforme la symétrie des 𝓑𝓞𝓓𝓨s. Classiquement, une étoile se situe au centre de son BEC-hôte. l'accumulation de masse augmente le du point zéro commun. Par la loi ℳ.ℒ = Cte,  le (rayon du BEC) se contracte et provoque une anisotropie des intervalles élémentaires ! C'est cette anisotropie qui revient à courber l'espace-temps. Cependant, ceci est une conséquence de la cause liée à la dynamique des 𝓑𝓞𝓓𝓨s  autour de leur point zéro commun.

- Sceptique : si une particule possède une vitesse v, on applique le lorentzien qui augmente la masse jusqu'à l'infini si v = c. Pourquoi ?

- Nous avons montré avec Christian MAGNAN, du Collège de France – chacun avec des arguments différents et complémentaires – que le zéro absolu (mathématique) et l'infini ne convenaient pas à la physique.  D'autre part le lorentzien est juste le résultat d'une analyse mathématique qui développe les conséquences de la limite c.  Comme d'une part cette démarche n'a pas d'argument physique et que d'autre part, elle ignore les causes physiques de c, elle ne sait pas mettre une limite à cet algorithme. Quand l'énergie cinétique se rajoute à l'énergie de masse, le taux de couplage augmente. Cela veut dire que cela augmente l'asymétrie des  𝓑𝓞𝓓𝓨s. Par définition, cela extrait de la masse du pôle local. Mais la limite d'extraction est fixée au taux 𝜉. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle la limite des rayons cosmiques est mesurée à 𝜉 fois l'énergie d'un hélium 4. 

- Sceptique : comment le "vide" est-il capable de transmettre des forces électromagnétiques ?

- Le "vide" est l'espace-temps qui est lui même le tissu subquantique et dynamique de 𝓑𝓞𝓓𝓨s. La plupart des physiciens ne se posent même pas la question de savoir d'où vient l'espace 3D+1D. Nous avons déjà expliqué comment fonctionne un BEC muni de N 𝓑𝓞𝓓𝓨s 1D, partageant le même "point zéro". Le passage d'un pôle de 𝓑𝓞𝓓𝓨 à un autre (franchissement d'un intervalle quantique élémentaire), passe par le centre commun. A vitesse basse, (non relativiste) il apparaît naturel de naviguer dans l'espace 3D. Mais en réalité, le couplage 𝓑𝓞𝓓𝓨 1 à 𝓑𝓞𝓓𝓨 2 est commuté via le centre situé  à 150 000 années-lumière ! Il faut une "autorisation" subquantique (largement supraluminique), pour circuler d'un intervalle élémentaire, à l'autre.

- Sceptique : alors la cause de la vitesse c serait la composante quantique de la vitesse c du niveau subquantique ?

- Oui c'est encore une question que personne ne se pose : quelle est la cause de la limite c ? Toutes les théories partent du constat de la limite c sans en chercher la cause. La cause est la vitesse subquantique c  d'intensité  𝜉³ fois plus grande ! 

- Sceptique : oui mais quelle est la cause  de c?

- On a vu dans le précédent billet que la charge et le temps était des composantes directes de ℳ.ℒ . On a montré par plusieurs voies que le BEC-fossile, comme les BEC-fils, étaient délimités par les 𝓑𝓞𝓓𝓨s munis d'un ℒ  𝜉³ fois plus grand que le rayon de l'électron qui représente l'intervalle élémentaire. Avec la même période, la vitesse dans le BEC est donc 𝜉³ fois plus grande. En définitive, le modèle Oscar donnant la cause physique de   et la cause de T, démystifie de facto, la cause de c = / T

- Sceptique : alors tous ces "champs" ont une cause unique ?

- Exact : et quant au boson de Higgs, il ne s'agit que de l'extraction d'un 𝓑𝓞𝓓𝓨 entier. Tous ces "champs" sont liés à la dynamique du tissu subquantique via les couplages, agissent plus ou moins, sur l'asymétrie pour en tirer un différentiel de masse entre les pôles des 𝓑𝓞𝓓𝓨s.      

                            

      

          

Commentaires

  1. Il faut répéter que sans le couplage perturbatif électron-Body, le tissu subquantique resterait dans un état potentiel où ni masse ni espace ni temps ne serait matérialisé.

    Cependant, ce couplage est rendu hautement probable puisque la variable d'ajustement générant le soft du proton, est sorti d'une manière aléatoire ! Un nombre réel aléatoire ne saurait être entier.

    Depuis mon premier livre "l'univers miroir" édité en mai 2012, d'autres énigmes me sont apparues et elles ne sont pas toutes résolues à 100%. Il reste toujours une part de mystère. Mais pour le moins, il convient de les recenser. La quête n'est pas terminée et ce billet n'est donc pas le dernier !

    On note que mon livre "l'univers miroir" donne une marge haute de la masse du boson de Higgs (125,56 GeV).

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