Enigme 71 : unification des 4 forces fondamentales

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC
 𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP

C'est l'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 qui déclenche la mitose-expansion. Les paires électron-positrons sont des ex-pôles séparés de ℬodys.
  
- Sceptique : le modèle standard considère l'union des 4 forces fondamentales comme un Graal impossible ! Mais d'abord que sont ces quatre fameuses constantes de couplages : la force nucléaire forte, la force électromagnétique, la force faible et la force gravitationnelle ?

- Le modèle standard a posé 4 relations qui donnent pour chacune des forces fondamentales, une constante sans dimension qui lui est propre. Concernant les théories de "grande unification" le modèle standard a  renoncé d'envisager ce problème par la voie physique et s'est lancé dans des voies de recherche, purement mathématiques qui s'éloignent de plus en plus de la réalité physique. Le tableau montre clairement que ces quatre constantes sont de nature électrique. Comme les dimensions s'annulent, ces constantes sans dimension, sont toutes fonctions des deux signatures universelles : 𝛼 & 𝜉.

- Sceptique : on a vu la force forte dans le dernier billet mais quels sont les explications physiques des 3 autres ?

- Les voici :
1/ Constante de couplage électrique : comme elle est réalisée avec les seuls paramètres de l'électron, elle devrait être unitaire ! Mais sur le BEC-fossile, l'énergie tenait compte du rayon classique de l'électron, plus petit du ratio 𝛼  que le rayon de Compton. L'explication physique de ce ratio correspond au taux d'annihilation primordiale. Il important de noter que c'est le déclencheur de la mitose et (en même temps) il écarte les intervalles élémentaires, tout comme le fait la mitose. Il faut bien noter qu'il y a équivalence entre l'intervalle élémentaire et le rayon de l'électron ex-pôle de ℬody
2/ Constante de la force faible : bien que dans l'opération de fusion atomique, elle s'applique à l'échelle du proton, ce sont encore les seuls paramètres de l'électron qui expliquent physiquement (pas seulement "décrivent") le phénomène. On voit nettement ici le couplage entre chacun des électron-positrons du proton avec le ℬody subquantique 1D ! En effet, la mitose à agrandit les intervalles (1D) du facteur 𝛼⁵⁺¹. Toute extraction subquantique (comme les bosons W, Z, H) passe par ce canal 1D.  
3/ Constante de la force forte : elle a été détaillée dans le billet précédent. Elle est clairement de nature électrique puisqu'elle découle du démasquage des charges empilées dans le hadrons.  
4/ Constante de la force gravitationnelle :  le tableau montre que cette force prend son origine lors de la séparation (délocalisation  des pôles de ℬodys). La médiation entre chaque pôle en opposition sur le BEC, passe par les 𝜉 autres pôles. La force gravitationnelle est ainsi le gradient de la force coulombienne.

- Sceptique : donc toutes les forces sont d'origine électrique ?

- Oui et la plus ardue est la force forte ! l'allure du taux de démasquage des charges empilées est plus forte que la variation de l'intervalle.  

- Sceptique : comment la force faible agit-elle dans la fusion des noyaux atomiques ?

- Il s'agit d'un partage des groupes de couches entre atomes, accompagné par un partage  des couches électroniques. A la différence de la force forte qui intéresse les intervalles dans chaque couche, la force faible concerne plutôt les intervalles polarisés, entre groupes de couches. Ces derniers – plus grands – jouent des rôles multiples : a) extraction des bosons de jauge ; b) induction des quarks ; c) conformation en divers mode de groupe (fusion par effet de pression-température) ; d) déplacement de courant neutre. Ce dernier point indique les réarrangements de groupe lors de l'émission d'un électron par un proton. 

- Sceptique : mais que sont ces couches neutres ?

- Il faut rappeler que les couches de paires électron-positrons, sont des cas particuliers de la dualité onde-particule. Elles sont dans un état intermédiaire entre onde et particule. En cas d'élévation de température, l'état onde prend le dessus et la dynamique de couches passe par un état ou les charges empilées se groupent par paires quasi-neutres. Cela ouvre la voie à un réarrangement de groupes favorisant ainsi la fusion entre atome.              



  

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