Enigme 95 : BEC et halo galactique

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

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Situation du problème

On observe un mystérieux halo galactique qui s'étend bien au-delà de la galaxie. Ce qui permet cette observation est un effet de cisaillement de la matière noire noire (DM) à la frontière du halo. Les effets gravitationnels s'interrompent brusquement à la limite du halo. Cela pose une énigme pour le modèle standard. En revanche, le modèle en couches, l'explique par un type de BIG BANG qui est provoqué par la saturation induisant la mitose (fractale) du BEC-fossile, en BEC-étoiles. Le mouvement de cette mitose a entrainé la matière présente sur la périphérie. Elle s'est ensuite concentrée dans chacun des BECS-étoiles. Puis les BEC-étoiles se sont concentrés en galaxies. Ce fort enchevêtrement de BECs, est observable comme un halo ayant (en moyenne) 4 fois le rayon d'une galaxie. On observe également que l'expansion ne concerne pas les concentrations galactiques mais seulement les BECs (quasi vides) intergalactiques.

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 - Sceptique :  pourquoi le halo est-il 4 fois plus grand que la galaxie visible ?

- Comparons le rayon d'un seul BEC (150 K.y.l) et celui de la Galaxie (50 K.y.l). Ainsi le rayon du halo fait bien 50 +150 = 200 K.y.l. Les BECs hôtes des  étoiles périphériques, forment donc la limite du halo, 150 K.y.l plus loin.

- Sceptique : l'expérience DAMA capte une modulation périodique du bruit de fond quantique qu'il attribue à la perception du flux de DM issu du centre de la Galaxie. Qu'est-ce qui expliquerait la présence d'un tel flux ? Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- Il indique qu'à l'instar de la saturation-mitose du BEC-fossile, la forte concentration des BEC-étoiles du centre, génère une mini saturation des ℬodys. Cela provoque une réduction de localité des pôles de ℬodys qui s'éjectent sous forme de paires électron-positrons. Sous l'effet des champs magnétiques, une partie de ces paires entrent en collision. Elles s'annihilent proportionnellement à l'angle que font leurs origines (annihilation non binaire) ce qui les dégénère et les transforme en "gravats" d'électron. C'est la clé de la matière noire (DM). Ces "gravats" se révèlent en effet comme des bruits de fond que captent DAMA. La DM – moins couplée au niveau subquantique – a tendance à migrer vers l'extérieur. La force inertielle centrifuge l'emporte sur la force gravitationnelle, centripète. 

- Sceptique : mais pourquoi détecte-t-on cette brusque perte de densité aux limites du halo ?

- Ce phénomène observé est cohérent avec le modèle d'expansion en couches car le lien inter BECs dépend de la masse visible qu'ils contiennent. Les BECs intergalactiques sont très pauvres en matière visible. De ce fait, la faiblesse de leurs liens les amène à se déchevêtrer, permettant ainsi l'expansion. Donc aux limites des BECs périphériques (halo), la densité du flux diminue par une sorte d"évaporation (ou libération) brutale du flux sortant de DM. 

- Sceptique : le modèle standard interprète le halo comme l'expression de la DM. Est-ce l'interprétation du modèle Oscar ?

- Non c'est confondre l'effet et la cause ou le contenant et le contenu. Le halo est juste l'enchevêtrement serré des BEC-étoiles. Cela répond à au moins 5 questions : 1) la cause de la DM ; 2) la cause de son flux centrifuge ; 3) la cause du cisaillement de densité aux limites du halo ; 4) la cause du halo ; 5) la cause de la dichotomie expansive entre galaxies et milieu inter-galactique.

- Sceptique : comment expliquer ce que dit ce lien qui indique que les galaxies naines ont souvent de très grands halos ?

- C'est une conséquence directe du modèle en couches. En effet, les galaxie "naines" sont souvent issues de galaxies normales mais ayant subi une collision. Si la collision a transformé beaucoup de matière visible en matière noire, cela entraine un taux moyen de couplage faible et donc moins de concentration des BECs qui se traduit par un halo plus grand. Tout ce tient !  

         

             

Commentaires

  1. Je rappelle que malheureusement, beaucoup de physiciens ne se posent même pas la question de la provenance de l'espace 3D + t c ! Comme si cela devait exister naturellement .... sans cause ! Non l'espace 3D+t c est issu de la synchronisation d'un lot aléatoire d'oscillateurs Bodys 1D subquantiques.

    Cette baisse d'entropie est traduite par des couches 2D de Bodys qui oscillent lambles dans l'axe radial (1D) avec une vitesse co >>> c ! D'où : 2D + D + co t. La grande intensité de co a deux conséquences : a) elle induit et régule c ; b) co >>> c permet de constituer un état permanent du réseau subquantique qui n'est autre que l'espace-temps.

    Ce réseau assure la médiation des forces quantique à vitesse quantique (c) et l'aspect information à vitesse co. Les oscillateurs Bodys sont déformés (spatialement) par les différents types de perturbations. Ainsi l'appellation "champ" – qui permet de décrire tout en contournant allégrement les causes physiques – devrait se traiter en terme d'asymétrie provoquée et donc de courbure spatiale pour tous les types de "champs". Le lien quantique → subquantique est la fameuse 5eme dimension de BOHM ! Dans pas mal d'universités, on enseigne que BELL a rejeté BOHM ce qui est faux ! BELL dit : "pas de variable cachée LOCALE" et on triche en oubliant la clé de la LOCALITÉ sans laquelle on ne peut rien comprendre. De ce fait, le mot "subquantique" devient tabou et les psychorigides moyenâgeux continuent de chasser les "hérétiques". Qui en est conscient ?

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