Enigme 102 : les errements du pré-Big-Bang

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.


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Situation du problème

Nous allons traiter le sujet du pré Big-Bang en répondant à l'article de Gabriele VENEZIANO publié dans "Pour la SCIENCE" en 2019. Cet article n'échappe pas au carcan de la vue moniste héritée des religions. Dès la première phrase : "Le big-Bang est-il le commencement du temps ou l'Univers existait-il avant ?". L'hypothèse de la dualité est rejetée ! L'idée que l'univers puisse avoir deux états, n'effleure pas les tenants du modèle standard.  Quatre lignes plus loin, on peut lire : "Selon la théorie de la relativité générale, un univers en expansion doit avoir commencé par un Big-Bang".  C'est critiquable pour deux raisons : a) au départ la RG plaidait pour un univers stationnaire ! ; b) il n'est pas besoin d'évoquer la RG pour en conclure qu'une expansion a forcément un début ! Juste après, on peut lire : "Lors de sa naissance l'Univers était concentré en une région si minuscule que les lois de la physique quantique devaient s'y appliquer". La matrice stochastique a donné naissance à la Bulle-Univers et non à l'Univers. C'est spéculer de croire à une éventuelle concentration. Enfin juste après on peut lire : " la relativité générale qui n'est pas une théorie quantique cesse d'être valide à l'échelle du Big-Bang".  La relativité Générale est très bien décrite mais pas expliquée. Avec l'explication, non seulement elle est bien à l'échelle quantique mais est une conséquence de la dualité d'échelle {quantique / subquantique} .  
    
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 - Sceptique : l'article parle bien pourtant du modèle ekpyrotique qui décrit un univers antérieur au Big-Bang ?

- Ce modèle ekpyrotique est une approche mathématique qui spécule sur des dimensions supplémentaires sans aucune justification physique.  Le serpent se mord la queue car on veut décrire la physique en éludant ... l'explication physique. Le modèle Oscar explique pourquoi il existe un état d'univers permanent peuplé d'une infinité d'oscillateurs-ℬodys stochastiques ayant chacun des paramètres à valeur nulle. C'est leur mode dipolaire qui annule totalement les paramètres physiques de ces deux pôles opposés et confinés. L'entropie de désordre est maximale. Le néant est peuplé de zéros relatifs ! Là encore l'approche mathématique, ne prend pas en compte la dualité du zéro. La physique dit clairement que le zéro absolu est un attracteur impossible pour le "point zéro" d'un oscillateur dual.

- Sceptique : l'article indique qu'en remontant le temps on débouche sur une "singularité" à courbure infinie.....

- C'est toujours le même travers qui consiste à évoquer des valeurs infinies ! Les seuls éléments pouvant être infinis sont les nombres ! En physique, seuls les éléments ayant zéro (relatif ou absolu) paramètres physiques, peuvent être infinis ! 

- Sceptique : ensuite l'article parle d'une homogénéisation de la matière qui aurait été obtenue grâce à une hypothétique inflation ad hoc. N'est-ce pas ce que dit le modèle Oscar ?

- Il y a bien eu une homogénéisation mais sans la spéculation de l'inflation ! Le modèle Oscar explique (c'est plus que de simplement décrire) la fission des pôles des oscillateurs-ℬodys dipolaires qui s'est traduite par une délocalisation et relocalisation donnant des états monopolaires où les paramètres physiques ne sont plus annulés. Ce qui a homogénéisé les éléments de la matière (électron-positrons) c'est l'état BEC où la vitesse des oscillateurs-ℬodys était 10³³ fois plus grande que c. La relocalisation ramène à l'échelle quantique avec sa causalité c et cela ressemble plus à une déflation plutôt qu'à une inflation. 

- Sceptique : alors quelle explication physique remplace la spéculation de l'inflation ?

- L'inflation a été "inventée" pour tenter d'expliquer comment des régions cosmiques très éloignées ont pu  se rendre homogènes. Le modèle Oscar part d'une matrice-univers stochastique où l'entropie de désordre est maximale. L'absence d'écoulement de temps global et le brassage intense des zéros relatifs ont donné une probabilité non nulle de voir un lot d'oscillateurs-ℬodys se synchroniser. Cela a créé un BEC-fossile de rayon de 150 mille années-lumière de rayon. Ce rayon est généré par l'amplitude spatiale des couches d'oscillateurs-ℬodys. sans cesse renouvelées.  On montre que cette immense amplitude subquantique est couverte par le temps élémentaire de l'électron, tₑ. Cela implique une vitesse subquantique cₒ qui est 10³³ fois plus grande que c

- Sceptique : Comment peut-on parler de rayon si les paramètres physiques M,L,T sont annulés ?

- La sphère du BEC-fossile n'est d'abord que dans un état potentiel grâce à sa parfaite symétrie. C'est grâce à sa très grande vitesse qu'il formera un espace-temps comme un réseau dynamique à forte rémanence qui du point de vue quantique, apparaîtra comme permanent. C'est comme une image de télévision – qui est un vulgaire entrelacement  de points, – mais vue comme une image d'ensemble grâce à notre rémanence rétinienne.    

- Sceptique : alors comment ce potentiel devient-il réalité physique ?

- Le BEC s'est formé par un flux d'oscillateurs-ℬodys se synchronisant ! Ce flux augmentait donc la densité surfacique des couches oscillantes depuis le point zéro commun. Il y a forcément eu une saturation. Cette saturation s'est manifestée au point de rebroussement (la couche externe du BEC). Là encore, une version de la dualité universelle est mise à jour : la dualité entre la force de Laplace Fd et la force de Coulomb Fs. La première  – de type dynamique – permet de repousser les oscillateurs-ℬodys de signes contraires . Elle maintient ainsi un intervalle fixe entre les pôles dans le volume du BEC. La seconde, agit sur la couche externe lors de l'arrêt fugace au point de rebroussement.  Elle a tendance à rapprocher les pôles de signes contraires. Si une distance critique est atteinte, alors il y a fusion généralisée en neutron→protons. 

- Sceptique : donc sur l'unique couche externe,  il existe un intervalle minimum critique qui permet la fusion des pôles ?

- Exact et c'est la raison pour laquelle la matière apparaît non pas "à la dimension de Planck" mais sur la couche située à 150 mille années-lumière du centre. Il y a là un ratio 𝜉⁵ = 10⁵⁶ ! Chaque pôle a été séparé de son alter ego à l'opposé du BEC pour se retrouver voisin d'un pôle de signe opposé avec lequel il ne pouvait pas s'annihiler. La fusion généralisée a masqué (effacé) les charges électriques garantes du lien ℬody. Cela à brisé le lien des pôles qui se sont donc retrouvés en mode monopolaire avec révélation des paramètre physiques. 

- Sceptique : en quelque sorte la délocalisation-relocalisation ressemble plus à une déflation qu'à une inflation ?  

- Oui et les neutron-protons sont nés suite à une délocalisation avec une causalité relative, réduite à la vitesse c

- Sceptique : à la fin du texte, la partie intitulée : "Quand la symétrie dompte l'infini", remet en exergue la dualité chère au modèle Oscar. Elle indique également la T-dualité qui couple les dimensions entre-elles. N'est-ce proche du modèle OSCAR ?

- En effet il y a quelques similitudes . Cependant, la théorie des cordes est d'essence mathématique alors que la théorie Oscar est d'essence physique. Or les deux états d'univers  sont physiques et si la mathématique est très utile à la description, elle ne peut en aucun cas, se substituer à l'explication physique.

- Sceptique : cependant quand l'article indique que "les cordes ont horreur de l'infini" cela va-t-il dans le sens de l'existence même des oscillateurs ℬodys gérés par la loi .ℒ = Cte ?

- C'est une similitude supplémentaire qui indique que le zéro absolu étant interdit, il est compensé par une expansion spatiale. Mais la grave erreur qui est faite consiste à l'appliquer à l'inflation et l'expansion de l'univers. Ce fonctionnement n'est vrai que dans le cadre des oscillateurs dipolaires. Il passe à côté de l'explication de l'existence obligatoire des oscillateurs 1D. La spéculation de l'inflation est inutile car l'homogénéisation est réalisée naturellement par la dualité quantique↔subquantique et l'expansion par la saturation→mitose. Ce n'est pas un vulgaire concours entre deux spéculations car le modèle OSCAR résout directement une centaine de questions fondamentales. Le pire est que la plupart de ces questions ne sont même pas posées par les tenants des théories concurrentes !          


   

Commentaires

  1. Cherchant désespérément une origine du Big Bang, les tenants du modèle standard, ont considéré une longueur minimale (longueur de Planck) comme "point de singularité". Ils ne disent pas d'où sort cette constante .... De cette première spéculation on en sort une seconde, l'inflation, pour "expliquer" l'homogénéisation. Alors que de la synchronisation en BEC, il vient naturellement l'apparition de constantes telle que la longueur de Planck. Il vient naturellement l'homogénéisation via la célérité subquantique. Et aussi la nette source de la gravitation, de la cause de l'expansion et de son accélération et des dizaines de levées d'énigmes, sans rajouter d'hypothèses ad hoc. Ainsi on montre une large cohérence pour un Body dont l'épaisseur est la longueur de Planck.

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