Médiation des forces et composantes du spin

Le spin  n'a pas vraiment de représentation physique classique. C'est une notion mathématique qui permet de relier certaines expériences aux équations du modèle standard. Pour le proton, on pensait que le spin était celui d'un des 3 quarks tandis que les deux autres s'annulaient mutuellement.  Mais cette approche n'explique pas pourquoi on retrouve un facteur 1/4 !
l'animation montre les différents couplages  entre les particules et le réseau local subquantique

A cette énigme s'ajoute celle de la définition du spin à partir des paramètres de l'électron alors que le proton est 1836 fois plus massique !
 

En décomposant cette formule, on retrouve le fameux M L, multiplié par L/T soit c. Or la forte  masse M(proton) = 1836 M(électron), implique un rayon L(proton) qui soit 1836 fois plus petit que le L de l'électron ! Justement on mesure le rayon comme étant (1836/4) fois plus petit . Or le modèle OSCAR est très cohérent avec un proton ayant 4 groupes neutres de paires électron-positrons ! On retrouve ici le ratio 1/4 du calcul standard. Cela équivaut exactement au spin du positron célibataire et confiné, présent dans le noyau.

A ces énigmes il faut rajouter – sous certaines conditions – celle de la séparation spin-charge de l'électron en 3 quasi-particules (spinon, orbiton, chargeon).  Elles sont des effets directs des pôles subquantiques. 
 
La complexité  du spin s'explique par l'influence des cordes du tissu subquantique. En effet, l'électron est couplé au réseau subquantique via :

1/ Le couplage de type masse (scalaire car indépendamment de la charge). Il est mesuré comme excès de masse au repos, appelé naïvement "masse virtuelle".

2/ Le couplage relativiste et faible : C'est le (1) mais appliqué à la dynamique de la particule qui passe par le facteur de Lorentz. Ce dernier est modifié car il ne saurait -être infini ! Il décrit l'extraction subquantique de masse ! Aux limites, la force dite "faible" extrait un pôle subquantique sous forme du boson de Higgs (β = v/c).



3/ le couplage de type charge. C'est celui de la médiation des forces de Laplace et de Coulomb. En réalité, il s'agit d'une dualité de vortex. Si le sens est contraire, l'électron repousse le pôle et il l'attire dans l'autre cas. Ces déformations sont des courbures locales qui affectent la symétrie non locale des pôles de Bodys.

4/ La médiation : La tendance à réduire les courbures, génère un puits de potentiel qui rapproche ou éloigne les particules chargés. Ce puits de potentiel passe par le point zéro car il n'y a rien entre les cordes Bodys. La clé passe par cette constante :


Le temps élémentaire quantique te est équivalent au temps subquantique. C'est la raison physique qui fait que le champ de force circule à la vitesse c. En revanche la masse est limitée au boson de Higgs selon la facteur de Lorentz modifié :  
       
5/ Le couplage gravitationnel qui n'est rien d'autre que le gradient des forces électriques globales.

6/ Le couplage des spins intriqués : le fait qu'ils restent en relation causale à très grande distance, montre là encore que le lien est subquantique. 

Dans tous les cas il ne s'agit que de cordes et de courbures. Exemples :

- Sans charge : un neutron ou un pion 0 sont des masses qui perturbent le réseau subquantique. la double composante de spin revient à courber le L d'un pôle. Elle se divise en masse virtuelle et en gradient gravitationnel.

- Avec charge : un électron ou un proton possède une composante de spin de type charge, qui courbe fortement et algébriquement les trajectoires  L des pôles.

- Neutrino de Majorana : sa symétrie parfaite (M = 0) l'amène à ne pas perturber le réseau et peut donc filer à la vitesse de la lumière.

- Photon : l'onde n'étant faite que du genre L, elle file également à la vitesse de la lumière. 

 
La distinction avec une particule massique vient du franchissement de l'intervalle élémentaire ! Elle réduit le temps te élémentaire car elle implique une réduction de l'amplitude du pôles subquantique couplé. Aux limites, elle extrait ce pôle sous forme de boson.

Commentaires

  1. Il est clair que pour les applications technologiques, la description suffit largement. Peu de personnes s'intéressent aux explications physiques. Même dans le monde scientifique, on retrouve l'amalgame entre description et explication.

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