Précocité des galaxies et grandes structures
En
2016, on découvre avec stupeur, la galaxie
GN-z11 bien plus précoce qu'attendu, soit à 400 millions
d'années-lumière de l'origine ! Elle se situe dans la direction de
la constellation de la Grande Ourse (ascension droite : 11 H ;
déclinaison = 45°). Cette distance est en total désaccord avec le
modèle standard (MS) qui considère que les grandes galaxies sont
nées de l'accrétion très progressive de galaxies naines, entrant
en collisions. Ce point de vue est élaboré en tenant compte des
éléments suivants :
- a)
pour une galaxie typique, le temps d'accrétion d'un nuage
d'hydrogène pour former une étoile, par la seule loi
gravitationnelle, est bien plus long que cela !
- b)
on observe effectivement des collisions très fréquentes.
Cependant,
le MS ne se pose pas la question de la cause de
la conformation systématique en galaxie. Ce n'est pas le cas
du modèle OSCAR où les BEC-fils hérités de la mitose, sont des
matrices d'étoile. Par ailleurs, les collisions ont plutôt
tendance à fabriquer de la matière noire (par réduction partielle
de localité) et donc de faire maigrir la partie apparente des
galaxies. Cette matière noire migre vers les galaxies
noires matérialisant les creux inter galactiques.
Donc
le modèle OSCAR
indique que ce sont les grandes structures qui se forment en premier.
Nous indiquions
ici que le côté fractal de la mitose, procède par 5
étapes successives. Or cela correspond aux
observations des grandes
structures de l'univers :
- 1)
les grands murs ;
- 2)
les supers amas ;
- 3)
les amas ;
- 4)
les galaxies ;
- 5)
les étoiles.
Ce
lien
montre que la structure galaxie est
particulièrement bien équilibrée. Il indique aussi que chaque BEC
accélère
l'accrétion du gaz hydrogène pour former l'étoile, en son
centre. Le tableau
30-2 montre que la gravitation a deux composantes : la
composante BEC est (en moyenne), 100 mille fois plus forte. C'est
également ce qui explique le ralentissement « anormal »
de la sonde Pioneer 11. La composante classique de la gravitation,
prend ensuite le relais à plus faible distance. Ainsi, les étoiles
se forment en même temps que les galaxies et ce entre 300 et 500
millions d'années. Ce temps court est en plein accord avec
l'observation de la galaxie GN-z11 qui est en formation accélérée,
d'étoiles !
A ce
sujet – comme en tant d'autres – certains adeptes du modèle
standard, font un amalgame
entre cause et effet. Les collisions de galaxies (dont
l'intensité est élevée en fonction de la distance) ne montrent pas
un scénario de type : galaxies naines → grandes galaxies mais
au contraire, une réduction des
parties visibles au bénéfice de la matière noire. L'aspect
holographique du BEC fossile amène, par collisions, une
dégénération des bases de la matière, par réduction
partielle de localité.
C'est d'ailleurs pour cela qu'une collision est toujours accompagnée
de « nuage » de matière noire (DM).
Ce
qui est également significatif, c'est l'étude des halos
de galaxie « naines ». Ces derniers sont bien plus
étendus que les halos des galaxies visibles. Or le modèle OSCAR
montre que le couplage au BEC de la DM est plus faible que celui de
la matière visible. Ainsi certaines galaxies dites « naines »
sont en fait, aussi massiques que d'autres si l'on inclus sa DM,
répartie dans son immense halo. Bien sûr il est possible que
certaines galaxies soient devenues réellement naines par arrachement
de sa matière.
Notre
position (0,51 c) génère une accélération vers le grand
Attracteur et donc atténue l'effet d'éloignement dans cette
direction. Cette direction est opposée à celle du BEC fossile d'où
nous venons. Il devrait donc y avoir une légère anisotropie qui
expliquerait l'anomalie gravitationnelle constatée.
La conséquence des 5 étapes de la mitose fractale, se retrouve véritablement partout !
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