Non symétrie apparente « électron-positron » (suite 8)
Non
symétrie apparente « électron-positron »
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Sceptique : le modèle
standard dit que l'annihilation primordiale n'a
pas été symétrique car
les protons l'on emporté
sur les antiprotons négatifs ! Est-ce
la position d'Oscar ?
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Non pas du tout ! Le
modèle standard est dans une triple
erreur : a) il pose une symétrie injustifiée entre proton et
électron alors que le
premier est 1836 fois plus massique (voir
le ratio [coulomb
/ gravitation] qui apporte
des solutions en remplaçant le proton par le positron ;
b) il projette sans prudence, la création locale
(proton-antiproton), au début de l'univers dont
la création est de nature
non
locale. En réalité
l'expérience locale est un
leurre dans
certain cas : il n'y a pas
de paires
(proton-antiproton) en mode de création
non locale
mais
des paires électron-positrons.
c) pour expliquer
l'absence des positrons stables, il trahit la loi la plus
fondamentale de la physique, la symétrie !
En revanche, le modèle Oscar démontre qu'en prenant le critère de
localité cette
absence n'est qu'apparente et la
symétrie électron/positron
est parfaite !
Cette symétrie est la clé de l'existence même de la matière. Si
un « + » existe c'est parce qu'il existe un « –
» en face, sensé
l'annuler rapidement ou à terme !
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Sceptique : alors
où seraient passés
ces positrons apparemment
absents ?
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Ils
sont confinés dans les protons ! La masse principale est une
masse neutre composée de
couches « électron-positrons » empilées. Elles
se comportent comme des bosons car elles sont de création non
locale. Au cœur
du proton,
un positron célibataire montre strictement sa charge positive !
C'est
factuel.
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Sceptique : admettons
mais alors pourquoi les positrons seraient condamnés à être
confinés dans particules
composites et seuls les
électrons auraient le droit de sortir ?
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C'est parce qu'il existe une polarisation entre la matière et le
tissu subquantique. Elle a été initialement fixée dans le sens (+)
selon un pur hasard. Au moment de la séparation (délocalisation)
sur le BEC, toutes les masses étaient causalement
liées et le sens (aléatoire) de la polarisation
a été ainsi généralisé !
Il se trouve que dans la paire confinée, c'est l'électron qui se
trouve en périphérie ! Ainsi la perturbation des oscillateurs
est de nature positive ! Pour compenser, seuls les électrons
peuvent franchir la barrière de potentiel du proton. La paire
confinée et centrale dans le proton se présente comme deux
coquilles fluctuantes (ou couches palpitantes) dont l'une (le
positron) a été arbitrairement situé plus à l'intérieur.
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Sceptique : les couches du proton palpitent aussi ?
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Oui elle suit loi universelle des oscillateurs : ML = Cte. On
montre que le rayon réel (mesuré) de l'atome de hydrogène est
proportionnel au rayon du proton... à condition de compenser par un
delta M (ΔM) l'erreur
ΔL
(voir l'article 2 de ce lien). Or ce « petit » ΔM est
cohérent avec la masse des quarks ! C'est une des preuves que
les quarks sont induits par la
palpitation et non constitutifs comme
spéculé par le modèle standard.
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Sceptique : mais comment la palpitation peut-elle induire une
masse ?
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Prenons un exemple :
quand le neutron change brutalement du statut (il devient proton), il
émet un boson W dont la masse est très fugace. C'est juste un pic
fugace
(une variation à cycle unique : di/dt). Mais
à contrario, l'oscillation
radiale du proton étant
permanente, elle induit la
masse permanente des quarks.
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C'est comme un transformateur qui produit un courant induit dans
le cas de courant alternatif ?
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Oui il faut en effet,
osciller et de plus, le
« courant » est aussi un débit !
Le « courant »
interne du proton est une variation de masse ou un débit de de
masse. Cela
s'appelle une impédance mécanique. Mais comme le proton est couplé
aux oscillateurs de l'espace-temps, il perturbe la belle symétrie
d'amplitude spatiale des oscillateurs qui – selon la règle ML =
Cte – la rendent sous forme de masse M
et plus exactement sous forme d'un couple : ML.
A
suivre 9
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