Instabilité du neutron et trans-localité

- Sceptique : le modèle standard décrit le processus {neutron→proton} avec, entre autres, un diagramme de Feynman. Il indique que le changement d'un quark u en d – via l'émission du boson W –  provoque la transformation neutron → atome hydrogène. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- Le diagramme de Feynman apporte une "description" mais pas une "explication" ni sur la cause de l'émergence du neutron, ni sur la cause de son instabilité. Il ne décrit que les effets avec une interprétation erronée du rôle des quarks. Concernant l'émergence du neutron, le modèle Oscar indique qu'il résulte – sur la projection du BEC après mitose – de l'accrétion primordiale en paquets de 920 paires {électron-positrons} soit 1840 unités neutres, empilées en mode "pelure d'oignon". Cet ensemble est divisé en 4 groupes formant 3 intervalles polarisés. Un couple {électron-positrons} est confiné en son sein. L'électron célibataire confiné est périphérique dans le neutron alors que le positron est situé plus au centre.  

- Sceptique : et d'où viennent les quarks et les gluons  ?

- Le modèle standard – via la théorie de l'électrodynamique quantique – choisit arbitrairement de considérer les quarks et les gluons comme constituants ultimes. Le modèle Oscar justifie l'origine des seuls constituants fondamentaux {électron-positrons} et montre que les gluons sont des formes de particules virtuelles qui habillent le neutron et le proton.   Oscar montre plusieurs indices forts qui montrent sur la base de ML = Cte, que les quarks sont induits (par les intervalles polarisés) et non constitutifs.   

- Sceptique : pourquoi et à cause de quoi, le neutron libre a une durée de vie limitée à 880,30 secondes ? 

- Dès l'origine, le mode "empilage sphérique" du neutron, induit une asymétrie. Le centre est couplé aux dipôles subquantiques 1D, alors que la périphérie est couplée en 2D au niveau quantique.  Cela induit une polarisation naturelle entre les deux niveaux. On a vu que les bosons W et les quarks sont "aspirés" selon le ratio 1D/2D → f(√𝜉).

- Sceptique : faut-il entendre que la forme hydrogène (proton + électron périphérique), amène une parfaite symétrie ?  
   
- Non elle ne peut pas être parfaite car les variables d'ajustement initiales cherchent à symétriser au mieux des sources aléatoires. Mais il est vrai que la symétrie "atome hydrogène" est meilleure que celle du neutron ! 

- Sceptique : pourquoi attendre 880,30 secondes pour aller vers ce meilleur équilibre ?

- Ce billet indique comment le temps élémentaire du dipôle est ralenti à l'échelle du neutron.

durée de vie neutron : tₑ 4/3 𝜋 𝜉³ / 64 𝛼⁴ 𝜏p

 - Sceptique : est-ce à dire que le temps tₑ de réaction du dipôle, est perçu  𝜉³ fois plus lentement à l'échelle quantique ?

- La formule montre que c'est 64 𝛼⁴ 𝜏p fois moins que cela car c'est à ce niveau du puits de jauge que ce décide le temps d'éjection de l'électron. En fait ce dernier franchit la barrière de potentiel par "effet tunnel". Mais comme ce phénomène est souvent décrit mais jamais expliqué, il nous faut maintenant le faire. 

- Sceptique : cela a donc un lien avec l'instabilité du neutron. Quelle est la cause et avec quel élément déclencheur ?

- La cause est la suivante : l'asymétrie de type {1D/2D} du neutron, se traduit par une asymétrie géométrique du dipôle couplé à l'électron. Une des branches (1D) du dipôle, est plus courte que l'autre. La courbure de l'atome d'hydrogène est moins prononcée que celle du neutron, grâce à son électron éloigné en périphérie. 

- Sceptique : et quel est l'élément déclencheur ? 

- On peut dire que le dipôle couplé, "pompe" 𝜉³ fois pour faire passer l'électron au-delà de la barrière de potentiel. Cela revient à informer les 𝜉³ couches du BEC. On constate aussi que 𝜉³ est le ratio des vitesses {quantique/subquantique}. En tout cas, l'éjection de l'électron est commandée par le besoin d'équilibre du tissu d'espace-temps, formé par les couches d'oscillateurs dipolaires.  

- Sceptique : donc tout n'est que symétrie et courbure géométrique ?

- Oui mais la courbure n'est pas une cause mais toujours une conséquence des gradients de charges électriques !   Beaucoup ont tendance à confondre cause et effet.
    

 Ci-après, le premier diagramme laisse entendre que c'est la transformation d'un quark "u" en "d" qui est la "cause" du changement. Ce n'est en fait qu'une conséquence. La cause vient de la polarisation des niveaux  {quantique-subquantique}. La somme des 3 intervalles polarisés {u (2/3+) ; d(1/3-) ; d(1/3-)} est neutre quand l'électron est confiné. Quand il est envoyé en périphérie, la configuration {u+ u+ d-} est positive. Ce n'est que la conséquence de l'extraction de l'électron car le positron confiné peut exprimer complétement sa charge. Le second diagramme explique le rôle intermédiaire des dipôles subquantiques alors que le premier se contente de décrire.  
    
 

Commentaires

  1. Un prochain billet, montrera des relations physiques précises entre l'échange de localité dans le positronium (ortho et para) et le "pompage" des dipôles subquantiques permettant de franchir la barrière de potentiel du neutron dans la réaction n → p.

    L'effet tunnel sera dévoilé en détail pour la première fois ! Il montrera clairement la différence entre l'échange de localité des composantes {masse + charge} dans le neutron et la seule composante et l'échange de la seule composante "charge" dans le positronium.

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