L'univers pseudo holographique

- Sceptique : est-ce que le taux 1D d'annihilation 𝛼 est lié au nombre de dipôles 1D 𝜉⁴ sur la couche externe du BEC ? 

- C'est une question délicate car ces deux signatures sont indépendantes au départ mais convergentes à l'arrivée.  Selon Oscar l'univers est une sorte d'hologramme 3D, dont tous les paramètres se sont formés sur la couche 2D saturée du BEC-fossile.

- Sceptique : n'est-ce pas un peu original cette idée d'hologramme ?

- Pas du tout il suffit de lire ceci pour voir que cette idée est partagée. Cependant, l'univers 3D n'est pas "projeté" par une surface 2D mais juste hérité de la couche saturée 2D.       

-  Sceptique : Alors que s'est-il passé sur cette couche 2D saturée ?

-  Il y avait en 2D, 𝜉⁸ dipôles dont les aires élémentaires étaient 𝜉² fois trop serrées. On a vu pourquoi cela s'est traduit par une annihilation de taux 𝛼². En 5+1 étapes 𝛼² de mitose les aires élémentaires se sont agrandies suffisamment pour que leur rayon soit équivalent à l'intervalle radial. Cela répond au besoin d'isotropie d'un BEC en matière de densité et donc d'intervalle. Il faut bien voir le point commun entre annihilation et mitose : l'élargissement des intervalles. La première étape (d'élargissement) est matérialisée par les trous laissés par l'annihilation. 

- Sceptique : selon Oscar, la variable d'ajustement (Po = 1835.26) concerne l'agrandissement des intervalles. Comme cela correspond à un groupement, cela devrait faire le nombre pair et entier de 1842. Pourquoi n'est-ce pas le cas ?  

- Il est hyper improbable que des signatures aléatoires puissent s'accorder avec un nombre entier. Il doit donc s'arrondir ! Ensuite la projection en 3D par l'expansion, amène la formation du  neutron 3D formé de couches 2D  empilées. Mais avant cela, sur la couche 2D, il se forme une concentration de 1842 pôles qui  – à un moment donné – sont légèrement interpénétrés pour apparaître comme satisfaisant au nombre : 1835,26

Sceptique : mais cet état ne dure pas ?

- Exact, l'expansion transforme le 2D en 3D et là, tout change ! Les points (1D) deviennent des couches (ondes 2D empilées). Dès lors, la loi de Compton s'applique et se traduit par ML = Cte. Cela veut dire que si la masse grandit, le rayon doit diminuer. On vérifie précisément pour le proton, que c'est effectivement la masse P/4 qui fait le rayon par rapport à celui de l'électron : 𝝀ₑ et de sa masse : mₑ. Pour le neutron c'est N/4 = 459.68069 en nombre habillé (mesuré). Il s'arrondit en moyenne, au nombre pair le plus proche, soit 460,5 électron-positrons nus.

- Sceptique : mais comment peut se faire cet arrondi non entier ?  

- En réalité c'est 1840 couches principales + 2 éléments neutres confinés. C'est donc 460 car les 2 unités confinées ne jouent pas un rôle déterminant. C'est bien un nombre entier et pair.  On a vu que pour la paire confinée, le hasard a placé (et généralisé) l'électron plus en périphérie que le positron. C'est la raison pour laquelle c'est lui et jamais le positron, qui est éjecté après 880 s. L'expansion de l'espace en 3D (fait des 𝜉³ couches de dipôles non séparés), déchevêtre les BEC-fils. Les particules sont plongées dans l'espace. 

- Sceptique : pourquoi mesure-t-on le neutron à 1838,72 électrons s'il en contient 1842 ?

- Parce que l'unité électron mesuré au repos, est plus massique que sa valeur nue. On sait qu'il est habillé de particules virtuelles. Le neutron est bien fait de 1842 éléments (électrons et positrons nus) et une "mer de Fermi" qui sont les particules virtuelles (habillage). 

- Sceptique : d'où vient cet habillage ?

- Toutes les particules sont couplées avec les dipôles subquantiques. En perturbant leur symétrie de genre espace, elle récupère une petit excès de genre masse, selon ML = Cte ! De plus, le neutron et le proton (seules particules composites stables) héritent d'une polarisation structurelle. Le couplage subquantique est en 1D (centre de la sphère) alors que l'échange quantique est en 2D. Cela crée une polarisation naturelle entre le "vide" et les particules.

- Sceptique : c'est quoi l'espace 3D ?

- La mitose a consisté à diviser le BEC-fossile en BEC-fils enchevêtrés. La cohérence : mitose → BEC-fils → expansion de l'enchevêtrement de BECs, permet de conserver intact le volume élémentaire de l'espace-temps dans chaque BEC-fils. C'est pour cela que la vitesse de la lumière reste constante malgré l'expansion.

- Sceptique : donc selon Oscar il n'y a pas étirement élastique de la structure élémentaire spatiale ? 

- Non ce sont les 𝜉² BEC-fils qui se déchevêtrent sous l'action de l'expansion.  La clé de la constance de la vitesse de la lumière est le temps de traversée d'un volume élémentaire. On a vu que la période d'un BEC est celle d'un électron tₑLe rayon d'un volume élémentaire est celui de Compton de l'électron 𝝀ₑ. Ainsi un photon traverse cela à la vitesse : c = 𝝀ₑ/tₑ. Le modèle Oscar est le seul à expliquer la cause de la limite c (à l'échelle quantique).

- Sceptique : si nous sommes un hologramme hérité de l'aire 2D du BEC-fossile, alors la gravitation également ?

- Bien sûr que oui ! On voit que cette simple équation, le dit très clairement. Elle dit que les 𝜉⁴ pôles séparés sur la circonférence (1D) conservent chacun un gradient de la charge élémentaire e. Elle dit même que la constante de gravitation G, tient compte du taux d'annihilation 𝛼 . La constante est plus élevée car le partage de la charge élémentaire (radiale éliminée) est plus généreux après élimination de pôles par annihilation ! Tout est très cohérent.      

  

        


Commentaires

  1. Tout ce qui nous entoure (et nous-mêmes) a été construit sur la couche 2D du BEC-fossile. Il y a, entre autres, la gravitation. Nous faisons don partie (matière et vivant) d'un hologramme non pas projeté mais qui a été projeté en 2D. Même le BEC (appelé naïvement le vide) est un ensemble de sphère 2D empilées. Quand on calcule une sphère 3D que faisons-nous ? On prend la sphère 2D extérieure → 4 pi R² et on la multiplie par la somme des "dr" jusqu'à zéro soit R/3! LE 3 est le coefficient d'intégration ! On fait donc : 4/3 pi R^3. C'est la même équation pour le BEC sauf que le dr (l'intervalle radial entre deux couches adjacentes) n'est pas infiniment petit mais limité à lambda bar (rayon de Compton de l'électron 10^-13 m).

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