La seconde erreur du modèle standard

- Sceptique : la première erreur (discutée ici) consiste à ne pas admettre la dualité de localité de création qui réconcilie la parité {matière-antimatière} en ouvrant la voie à la brique élémentaire {électron-positron} stable et confinée comme élément unique de toutes les particules composites. Quelle est la clé de la seconde erreur ? 
 
- Elle découle de la première : les quarks sont induits et non constitutifs. Les particules de type : {instable → création locale} ou {stable → création non locale} sont toutes faites de couches neutralisées et concentriques + 1 électron célibataire ou 1 positron célibataire. Ces couches sont organisées en N groupes et les intervalles polarisés (N– 1) induisent les quarks. Par exemple, la charge du proton est bien celle d'un positron et le rayon du proton se calcule bien avec 4 groupes de couches ! L'origine de la masse des paires {électron-positrons} est expliquée et par voie de conséquence, celle des particules composites. 

- Sceptique : Le tableau montre que des particules aussi différentes que : muon, tauon, proton, pion 𝜋, obéissent à des lois de division en couches formant des groupes, fonctions de selon la série : 3, 4, 5. Pourquoi ne part -elle pas de l'unité ?   

- En réalité la série est bien de type : 1, 2, 3, 4, 5, 6. Le 1 est relatif au muon qui ne peut former qu'un seul groupe pair (206). Pour ce même muon, la division 2, correspond à sa désintégration en neutrino (de Majorana) qui, à l'image d'un dipôle "zéro", comprend 2 masses chargées qui oscillent (et s'annulent) de 103 unités chacune. Puis au-delà de la division par N = 4 (groupes dans baryon) il y a 5 groupes (N –1 → tétraquarks) et 6 groupes (N – 1 → pentaquarks).   

- Sceptique : le tableau montre que le tauon est classé dans les leptons (sans quark) alors que sa désintégration produit des quarks. Comment expliquer cela ? 

- Oui le tauon est considéré comme étant exotique et il surprend beaucoup la communauté scientifique. Le modèle Oscar montre à quel point – dans sa très courte durée de vie – il "hésite" entre plusieurs types de division car son nombre d'unités neutres (3480), est  le seul à se prêter à la division totale de la série : 1 × 2 × 3 × 4 × 5 = 120, avec l'exploit de donner un nombre entier (29) ! Cette "hésitation" devant autant de possibilités de divisions, le fait apparaître comme un lepton fugace mais ses produits de désintégration, trahissent sa diversité. Le nombre de 5 groupes ferait apparaître 4 intervalles et donc des tétraquarks. La division par 6 est également possible donnant 5 = 6–1 pentaquarks que l'on a d'ailleurs découverts. On retrouve ainsi la série 5 + 1 de la mitose-expansion de la Bulle-Univers.

- Sceptique : La loi de Koide-Mareau n'inclut pas le pion dans ses relations. Pourquoi ?

- Le nota en fin de tableau, indique une relation simple, entre le pion et le muon, d'une part et d'autre part, une relation entre le tauon (universel) et le même pion. Une prochaine publication montrera une étonnante évolution de la loi Koide-Mareau.  

              



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