BEC : du "point" zéro au "point" de rebroussement

- Sceptique : Quelle est la la signification des guillemets sur "point"  ? 

- Avant la "mise en BEC", le "point" zéro des oscillateurs dipolaires stochastiques (ODS) est une zone floue où l'inertie de chaque pôle cherche à disparaître dans l'attracteur du zéro absolu. Avec le principe fort d'inséparabilité du couple ℳₒ.ℒ = Cte, si o tombait précisément et complètement dans le zéro absolu, alors sa contrepartie deviendrait infinie et ce, dans le cadre d'une vitesse non moins infinie. Comme cela est strictement interdit en physique, la zone du point zéro trouve un compromis pour conserver une inertie la plus faible possible sans l'ineptie d'une contrepartie infinie. Cependant tout cela se passe dans un dipôle où la somme des paramètres physiques des deux pôles, s'annulent symétriquement dans le cadre d'un zéro relatif ou algébrique. 

- Sceptique : cela explique-t-il la première oscillation ?

- S'il y avait une première oscillation, elle succèderait à un zéro absolu ! Or ce dernier est interdit. La clé pour comprendre l'obligation d'agitation stochastique de la matrice d'univers, consiste à raisonner en terme de dualité, d'abord pour la notion du zéro. La dualité du zéro absolu est l'infini. En revanche la dualité du zéro relatif ou physique, est la symétrie intrinsèque d'un oscillateur dipolaire. Il faut sortir de nos raisonnements binaires et comprendre que seul le zéro relatif convient à la physique. 

- Sceptique : le tableau montre que la longueur de Compton de l'électron ƛₑ est l'intervalle : a) du point zéro ; b) des couches ; c) du point de rebroussement. Que se passe-t-il à l'intérieur de ces intervalles élémentaires ?

- Sa traversée par la vitesse subquantique se fait dans l'intervalle temps le plus petit qui soit. La période de cycle universel : tₑ devient  tₑ / ξ³. On passe de 10⁻²¹ s à 10⁻⁵⁴ s. Chaque électron a la même période que l'immense BEC et c'est cela qui explique le fameux "lien fantôme" à très grande distance, des spins intriqués. Dans la sphère du "point zéro" la masse intrinsèque des pôles est dans le même rapport que le temps et la longueur locale. Mais elle génère une longueur imaginaire à localité élargie, qui fixe son "point" de rebroussement et donc sa future amplitude. Quand un pôle quitte son point zéro, il va à la rencontre se son origine spatiale.  Si ce n'était pas le cas, le moment ℳₒ.ℒ augmenterait et cela est impossible car on vérifie partout : ℳₒ.ℒ = Cte

- Sceptique : et le point de rebroussement ? 

- Il est le siège d'une dualité entre les forces de Laplace et les forces électrostatiques. Pour le BEC-fossile saturé, le bref arrêt favorise les dernières qui ont alors le temps de fusionner les pôles et donc de les séparer de leur dipôles respectifs. Dans le BEC-étoile, l'intervalle est tel que cela ne se produit pas. 

- Sceptique : le tableau indique que la "corde" pôle a l'épaisseur de la longueur de Planck ?

- Oui mais à l'origine "PZ" elle est encore plus fine. Elle varie en ξ et non pas en ξ³ comme la masse car la corde est en 1D. Sa coupe ne présente pas une surface mais un point plus ou moins gros. Nous vivons entre deux points singuliers : PZ et PR. Le point de rebroussement explique pourquoi seule la couche extérieure a subit le processus : saturation → fusion → délocalisation (séparation) pour devenir matière. Ainsi la grande majorité des dipôles, continue d'exister sous la forme du tissage de l'espace-temps. Le vague mot "champ" de la description mathématique devient ainsi la structure BEC avec son explication de nature physique.

- Sceptique : et la masse et le temps de Planck ? 

- Dans le BEC fossile le temps de Planck correspond à la traversée du "point zéro" par un pôle. Concernant la masse de Planck, le tableau montre le taux de mitose ξ². Or c'est le ratio entre la masse de Planck et celle de l'électron (ex-pôle séparé). Donc il vient que c'est la masse* qu'aurait eu le proton sans la division par la mitose.

- Sceptique : il est écrit que la période (au carré) d'un cycle est fonction de ℳₒ.ℒ = Cte mais ne faut-il pas introduire une force pour retrouver une dimension de temps ? 

- C'est exact il suffit de voir ici pour constater qu'il existe au moins 4 formes différentes pour obtenir cette force élémentaire (F = 0,21 N). En prenant par exemple celle relative à G (mesuré) on retrouve le temps tₑ

* précisément à 1836.15 fois près.        


             


        

Commentaires

  1. Le syndrome de Spinoza (monisme) empêche beaucoup de physiciens de prendre conscience de la dualité du zéro. Seule l'idée moyenâgeuse d'absolu leur paraît acceptable. Les paramètres physiques ne s'accordent qu'avec les valeurs relatives car elles ignorent l'infini. C'est le zéro relatif dont sa symétrie intrinsèque, prend sa source dans l'oscillateur dipolaire stochastique. En revanche, l'existence même du zéro relatif vient de l'attracteur du zéro absolu non atteignable, par définition.

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  2. Bonjour Mr Mareau,
    merci pour toutes ces précisions et notamment le graphique très clair.
    Est-il possible d'y rajouter :
    - la vitesse du dipôle (est-ce simplement dL/dt?, car elle doit diminuer en allant vers le point de rebroussement)
    - l'intensité de la force de rappel (lié à q) (est ce simplement dM/dt? car elle doit augmenter en allant vers le point de rebroussement)
    - te est un temps moyen sur le cycle (le même pour tous si dipôles synchronisés), mais son "écoulement" est-il constant quel que soit l'endroit où on l'observe (cette question vient du fait que q= f(ML) et q varie en intensité, donc si t=f(ML), t pourrait très bien varier en intensité..."d'écoulement". Par ailleurs dans le quantique nous exprimons une variation d'un paramètre toujours en fonction du temps, il est donc l'étalon/la référence, car il est présent dans toute formule de variation. Mais dans le subquantique, le temps est induit. Comment, alors, peut-il être une référence?)

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  3. Bonjour LC,

    - Oui la vitesse du dipôle varie en 1/r^3
    - pour le lien f(e)² il faut prendre ML avec le L réel et non imaginaire L'. Donc e monte avec L et avec M car plus L est éloigné plus la force doit-être grande. Merci de me le faire remarquer je vais le préciser dans le graphe pour le rendre plus clair.
    - Selon moi l'écoulement du temps se fait par quanta te/xi^3. Dans l'intervalle lambda il est non repérable en dessous de cet intervalle.
    - La période te est donnée en revanche dès le départ en fonction de la constante ML' avec L' imaginaire. En gros le raisonnement est le suivant : Dès le départ le ML' donné fixe la période te car plus L' est grand plus L (réel) le sera. Donc le temps est lié à la distance et à la masse maximale.

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  4. Voici le tableau apportant des précisions sur l'induction du temps par ML.

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