Unités physiques universelles
- Sceptique : Les unités de masse, d'espace et de temps sont totalement arbitraires. Pour palier cela des tentatives n'ont-elles pas déjà été engagées en normalisant (à 1) les unités de base ?
- Oui mais cela n'apporte rien si on ne raisonne pas avec les bases de l'oscillateur primordial où tout s'appuie sur ℳ.ℒ = Cte. On a déjà vu que l'action des charges élémentaires e² maintient les deux pôles liés dans le dipôle car elle est proportionnelle au moment d'inertie ℳ.ℒ . Les 3 grandeurs physiques élémentaires sont à notre portée puisque l'électron (avec le positron) sont des ex-pôles.
- Sceptique : comment sortir de ces unités physiques anciennes et arbitraires ?
- En posant : ℳ.ℒ = Cte = 1. Toutes civilisations potentielles dans la Bulle-Univers, retrouvera la signature 𝜉 car c'est ce ratio est indépendant de toutes unités arbitraires. Comme ℳ = f(1/ℒ) chacun peut poser : ℳ = 𝜉 et ℒ = 1/𝜉. De ce fait le produit ℳ.ℒ = 1. Comme la période de l'oscillateur est physiquement fonction de ℳ.ℒ, toutes civilisations potentielles prendront logiquement ce temps élémentaire comme unité : Tₑ = 1 .
- Sceptique : que devient la perméabilité du "vide" ?
- Le système S.I la fixe à 10⁻⁷ pour tenir compte du changement entre cm et mètre (10⁻²) puis gramme et kilogramme (10⁻³). En matière d'énergie on a : M L² / T² le M et L² justifient donc ce ratio 10⁻⁷. Mais en s'affranchissant des unités arbitraires on peut la ramener à 1 tout en sachant qu'elle porte des dimensions physiques adéquates pour le cohérence M, L, T.
- Sceptique : et que devient la constante de structure fine 𝛼 ?
- Le modèle standard utilise ce ratio (𝛼 = 137,035999) car il existe un hiatus historique concernant le rayon de l'électron. Classiquement, le calcul le fixe 𝛼 fois plus petit soit rₑ alors que sa réalité est : 𝜆ₑ . Ce fut une des premières grandes surprises qui ont amené les pionniers à "ne pas chercher à comprendre" la théorie quantique. En comparant l'énergie électrique de l'électron (voir tableau) avec son énergie de masse (m c²), on trouvait cette discordance 𝛼 sur le rayon .
- Oui car avant annihilation sur le BEC-fossile, l'intervalle 1D était plus petit de ce ratio 𝛼 . Pour être encore plus précis, la charge élémentaire e² a été historiquement sous-évaluée avec le couple (mₑ rₑ) plutôt qu'avec le couple (mₑ 𝜆ₑ).
- Sceptique : pourquoi le tableau montre-t-il ces 4 équations de nature différentes mais donnant égalité des forces s'agissant de l'électron ?
- C'est pour montrer que de la simple application dimensionnelle à celle de la gravitation, les dimensions de l'électron sont vraiment élémentaires et universelles. Même la valeur précise de G se décline du seul électron. On retrouve les 𝜉⁴ pôles présents sur le BEC fossile... juste avant l'annihilation qui les a réduit à 𝜉⁴/𝛼 ! On rappelle qu'en 2D cela fait 𝜉⁸/𝛼² électrons-positrons soit en cohérence avec la masse estimée de la Bulle-Univers soit : 10⁵⁴ kg divisés en 𝜉² = 10²² étoiles dans : 𝜉 = 10¹¹ galaxies*.
* Ces nombres sont ceux d'origine et sont en baisse via la transformation en DM.
- Sceptique : que devient la perméabilité du "vide" ?
- Le système S.I la fixe à 10⁻⁷ pour tenir compte du changement entre cm et mètre (10⁻²) puis gramme et kilogramme (10⁻³). En matière d'énergie on a : M L² / T² le M et L² justifient donc ce ratio 10⁻⁷. Mais en s'affranchissant des unités arbitraires on peut la ramener à 1 tout en sachant qu'elle porte des dimensions physiques adéquates pour le cohérence M, L, T.
- Sceptique : et que devient la constante de structure fine 𝛼 ?
- Le modèle standard utilise ce ratio (𝛼 = 137,035999) car il existe un hiatus historique concernant le rayon de l'électron. Classiquement, le calcul le fixe 𝛼 fois plus petit soit rₑ alors que sa réalité est : 𝜆ₑ . Ce fut une des premières grandes surprises qui ont amené les pionniers à "ne pas chercher à comprendre" la théorie quantique. En comparant l'énergie électrique de l'électron (voir tableau) avec son énergie de masse (m c²), on trouvait cette discordance 𝛼 sur le rayon .
- Oui c'est clairement la trace du taux d'annihilation primordiale suivant la délocalisation sur l'aire du BEC-fossile. Il y plusieurs voies indépendantes qui montrent le rôle de cette annihilation dans le processus de mitose. En résumé, la mitose est forcée par deux causes différentes : a) l'anisotropie des intervalles du BEC qui demande en 2D, un élargissement des intervalles du facteur 𝜉² pour que la densité des BEC-fils soit équilibrée ; b) le déclenchement de cette mitose est (toujours en 2D) induit par l'élargissement 𝛼² provoqué par l'annihilation. Donc la mitose fractale est en 5 étapes auxquelles il faut rajouter celle de l'annihilation (5+1). Mais au terme de cette mitose fractale, il faut que s'accordent d'une part (𝛼²)⁶ et d'autre part, 𝜉². Numériquement, cet accord se fait via la variable d'ajustement qui n'est autre que la masse brute du proton (1835,26) en unité électron (habillé). Au passage, cela justifie l'existence du proton et indique pourquoi il est la seule particule composite stable. Donc toutes les échelles quantiques sont affectées par 𝛼.
- Sceptique : donc l'énergie de type : m c², n'a pas été affectée par l'annihilation alors que celle de type électrique : 10⁻⁷ e² c² / 𝜆ₑ doit diviser 𝜆ₑ par 𝛼 pour être cohérente ?
- Sceptique : pourquoi le tableau montre-t-il ces 4 équations de nature différentes mais donnant égalité des forces s'agissant de l'électron ?
- C'est pour montrer que de la simple application dimensionnelle à celle de la gravitation, les dimensions de l'électron sont vraiment élémentaires et universelles. Même la valeur précise de G se décline du seul électron. On retrouve les 𝜉⁴ pôles présents sur le BEC fossile... juste avant l'annihilation qui les a réduit à 𝜉⁴/𝛼 ! On rappelle qu'en 2D cela fait 𝜉⁸/𝛼² électrons-positrons soit en cohérence avec la masse estimée de la Bulle-Univers soit : 10⁵⁴ kg divisés en 𝜉² = 10²² étoiles dans : 𝜉 = 10¹¹ galaxies*.
* Ces nombres sont ceux d'origine et sont en baisse via la transformation en DM.
L'oscillateur dipolaire primordial gouverné par ML = Cte, a forcément une période proportionnelle à l'intensité de ML . Plus M et L donc ML, est grand et plus la fréquence est faible. Le temps est une composante naturelle de ML.
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