Enigmes 28-29 : sursauts gamma et anomalie magnétique du proton

- Sceptique : le modèle standard, faute de mieux, avance l'hypothèse que les sursauts gamma proviennent de l'écroulement d'une étoile en trou noir. Que dit le modèle OSCAR ?

- En cohérence avec l'ensemble du modèle OSCAR, le scénario est plutôt celui des collisions d'étoiles et de galaxies qui provoquent des annihilations partielles. Ces annihilations sont fonction du différentiel d'angles d'origine sur le BEC-fossile. La durée du sursaut gamma dépend de la taille des corps annihilés. Par exemple une collision entres trous noirs de petite taille (R < 10⁵ m) donnerait une durée t < 1 seconde alors que la collision entre des étoiles comme le soleil donnerait un temps de plusieurs dizaines de secondes.  

- Sceptique : on mesure la très faible anomalie du moment magnétique de l'électron comme un coefficient de valeur numérique très précise : 1,00115965218 ! Le calcul du modèle Oscar atteint ce niveau de précision alors que le calcul du modèle standard est environ 100 fois moins précis. De plus, l'énorme anomalie du proton (2,792847) reste inexpliquée par le modèle standard. Quelle est l'explication du modèle Oscar ?

 -  Ce lien  montre que la  structure Oscar du proton explique le désaccord entre la théorie standard et la mesure. En gros la forme standard pour calculer le moment magnétique passe par le ratio entre ħ et la masse du proton mₚ , ce qui  donne effectivement la bonne dimension [Q L² / T] où Q L c . Ce qui situe la charge en fonction de L (le rayon). Si ce mode de calcul est bon pour l'électron et le muon, il ne l'est pas pour le proton car il comporte 4 groupes de couches neutres. Autrement dit, la loi de Compton, issue de  ℳ.ℒ  = Cte n'est valable que pour un groupe soit 1/4 de sa masse. 

- Sceptique : cela a-t-il une relation avec le calcul du rayon du proton ? 

- En effet, le ratio entre le rayon de Compton de l'électron et celui du proton est précisément relatif au rapport des masses pour 1 groupe sur 4. Il y a donc 3 intervalles (polarisés) et le positron célibataire est placé aux environs des 2/3 du rayon. Ainsi le calcul standard (5,05 × 10⁻²⁷), corrigé de ce coefficient :  4 × 2/3, se rapproche de la mesure, soit : 1,34 × 10⁻²⁶ J/T pour une valeur mesurée à : 1,41 × 10⁻²⁶ J/T (Joules / Tesla). L'anomalie se réduit ainsi de 279 % à 4,7% ou 2,79 à 1,047. Il est à noter que ce dernier coefficient est très proche de 𝜋/3.  

- Sceptique : donc ce résultat vient appuyer le modèle en couches qui donne déjà le rayon du proton ?

- Oui et toute la déclinaison donnée par le modèle de KOIDE-MAREAU. Ce qui compte c'est la cohérence du modèle. Avec l'emploi inconsidéré de la constante ħ, le modèle standard fait l'amalgame entre 4 types de particules : a) l'électron qui est l'unique particule stable et élémentaire  ; b) le muon (1 groupe neutre, 0 intervalle et 0 quark)  ; le pion (3 groupes donc 2 intervalles et 2 quarks) ; le baryon (4 groupes et donc 3 intervalles et 3 quarks). C'est pour cela que le modèle standard trouve une valeur crédible pour le muon.

- Sceptique : l'emplacement de l'onde sphérique du positron célibataire est-il précis ?

- Non ! Si son rayon est statistiquement centré sur les 2/3 du proton, il s'étale dans tout le volume du proton et donc dans les trois intervalles qu'il polarise. C'est cela qui induit les quarks qui ne sont donc pas constitutifs. Plus le paquet d'ondes s'éloigne de sa position moyenne, plus sa densité de présence est faible. Statistiquement sa présence en dehors du proton est nulle.      



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