Enigme 25 : redshifts anormaux

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

-----------------------

- Sceptique : Concernant les redshifts anormaux, ce lien nous indique que de nombreuses galaxies présentent des anomalies de redshift. Par exemple on trouve des cas où deux astres reliés par un pont de matière (NGC 7603), ont des redshifts différents avec en plus, une absence de variation de vitesse dans le pont qui les relie.

- Déjà on peut comprendre que deux galaxies puissent former un couple en rotation où la galaxie massive principale s'éloigne de nous par sa vitesse d'expansion (voir tableau). La galaxie satellite possède une vitesse tangentielle orientée dans notre direction. elle se soustrait donc à celle de son expansion moyenne. Cependant il est vrai que l'on devrait mesurer un gradient de vitesse dans le pont de matière. Mais si ce pont forme une boucle arrière, sa projection radiale peut tout à fait nous masquer les composantes radiales (gradient de vitesses dans les courbes) et ne nous laisser apparaître que la projection tangentielle où le gradient est amoindri.   


- Sceptique : Concernant le lien supraluminique de l'action fantôme de l'intrication, on parle ici de "non-localité".  Comment se situe le modèle OSCAR sur ce sujet ? 

- En premier lieu le terme de "non localité" n'est pas adapté. Il sous tend une notion d'infini qui n'a rien à voir avec la physique. Il n'y a pas d'action fantôme  qui serait immédiate comme par magie ! Nous lui préférons le terme de "localité élargie" qui sous-tend une dualité entre les vitesses d'échange dans l'espace-temps. Il y a la vitesse de l'échelle quantique c et la vitesse de l'échelle subquantique (c₀ = 𝜉³ c).    

- Sceptique : il y aurait une dualité en toutes choses et notamment on aurait un vitesse limite quantique comme étant le dual d'une vitesse limite subquantique ? 

-  En fait c'est c₀ qui est la cause et qui régule c. Il y a donc une dualité d'intervalles élémentaires ! L'intervalle élémentaire isotrope et quantique, est celui qui sépare les 𝓑𝓞𝓓𝓨s tissant l'espace-temps. Mais à l'échelle cosmique, l'intervalle est matérialisé par le rayon des BEC-fils qui est l'amplitude d'un pôle 1D. Le modèle dit clairement que l'électron (et donc le positron) est un ex-pôle de 𝓑𝓞𝓓𝓨s. Ils ont donc la même période (temps élémentaire) et c'est celle de l'électron qui est bien connue : tₑ = 1,28×10⁻²¹ s. = f(ℳ.ℒ). Le modèle Oscar a montré qu'un BEC-fils (hôte d'une étoile ou de DM) est structuré en 𝜉³ couches d'intervalle ƛₑ. Ainsi la cause profonde de la vitesse de la lumière tient dans le temps de traversée (pour un photon) d'un intervalle ƛₑ. Cet intervalle est celui de l'électron (Compton) parce qu'il est ex-pôle séparé sur la couche de rebroussement d'intervalle ƛₑ

Cause vitesse lumière : c = ƛₑ / tₑ     

- Sceptique : pourquoi un photon devrait se conformer à cette règle pour franchir un intervalle élémentaire ƛₑ ?

- L'espace 3D est une illusion non justifiée ! Il n'est que le résultat d'un empilage vectoriel d'espaces 1D ! Pour qu'un photon franchisse un intervalle A-B entre deux 𝓑𝓞𝓓𝓨s, il doit emprunter le canal A d'un pôle subquantique jusqu'au point zéro du BEC, puis revenir dans le pôle B qui correspond à sa destination B. Il n'y a pas de passage direct entre A et B pourtant distant de cette infime distance : 10⁻¹³ m !

- Sceptique : alors si deux photons sont dans un état "spins intriqués", ils restent reliés dans tout l'intervalle du BEC soit 150 mille années lumière ? 

- Oui et cela explique naturellement l'expérience sur l'intrication et le paradoxe EPR de Bell. 

  
   

Commentaires

  1. Je rappelle que l'existence du Body 1D est physiquement justifié. En revanche, il serait naïf de croire que l'espace 3D soit naturellement sorti du chapeau !

    Non l'espace 3D n'est fait que d'une structure synchronisée de Bodys 1D. C'est la raison pour laquelle l'intrication se conserve à très grande distance. L'expérience EPR est une des confirmations importantes, du modèle OSCAR.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Mr Mareau,

    1. imaginons un objet macroscopique type fusée: il se déplace bien dans un espace 3D. Tous ses atomes constitutifs ont le même vecteur vitesse et la partie corpuscule change d'intervalle élémentaire sans passer par le zéro du BEC. Cela est-il rendu possible par la partie onde qui elle, va bien passer par le centre du BEC?

    2. Si oui, alors comment se déplace la matière noire dont le couplage avec le tissu subquantique n'est plus très complet ?

    3. la vitesse c = ƛₑ / tₑ dépend donc de tₑ pour aller de A vers B séparés de ƛₑ, mais qu'est- ce qui empêche le photon revenant du point zéro de s'arrêter à C séparé de plusieurs intervalles ƛₑ, permettant ainsi de se déplacer à plusieurs "c" ?
    Est-ce le lien indéfectible entre 𝜉³ c et ƛₑqui interdit pendant tₑ de se déplacer quantiquement de plus de ƛₑdans l'espace vibré? (expression de la dualité onde corpuscule qui est certainement l'expression de la synchronisation du BEC).

    4. Si le photon a un état corpusculaire qui le limite dans le quantique, qu'en est-il du neutrino qui n'interagit quasiment pas avec la matière (donc le quantique)?

    Merci pour l'éclairage.


    RépondreSupprimer
  3. Bonjour LC !

    En effet c'est une bonne question. Les atomes constitutifs de la fusée (et même de mon bras quand je me gratte la tête), conservent en effet à peu près, le même vecteur vitesse. Chacun des atomes occupent un volume bien plus petit que celui de Compton selon M.L = Cte. Le modèle standard dit que la masse deviendrait infinie si la vitesse atteignait c, selon le lorentzien. C'est juste le prolongement (naïf car infini) mathématique d'une loi réelle. C'est là qu'il faut se poser la question : pourquoi la masse augmente-t-elle et quelle est sa limite et pourquoi c est constant pour les photons dans le "vide" ?

    A ces questions, le modèle standard se limite à donner une réponse mathématique aux conséquences logiques du postulat qui indique que la vitesse c est indépassable ! Il ne cherche pas les raisons physiques de cette limite !

    En conclusion : les masses de l'univers sont les "enfants" des Bodys de l'espace-temps qui sont en nombre très supérieur (ratio xi^3). Tout ce qui bouge dans le BEC est ressenti (après le délai : te = 10^-21 s), dans tout le BEC. Donc l'explication physique de l'effet relativiste, comme l'explication physique de l'intrication conservée à grande distance, sont des arguments forts pour montrer l'effet subquantique de l'espace-temps.

    Or la raison physique de la limite c est justement liée au transport d'un intervalle à l'autre via le point zéro du BEC. Tant que la vitesse est lente, le temps de transfert de la masse via les Bodys est grand et donc le débit est petit. A l'approche de c, l'effet relativiste devient flagrant et les pôles concernés sont perturbés. Leur amplitude (L) diminue et leur masse (M) migre ver les atomes concernés. Si le photon (sans masse apparente) passe effectivement au point zéro du BEC, les masses, elles, prennent un chemin de plus en plus court car l'amplitude diminue à l'approche de c. Cela veut dire que l'approche de c d'un M quelconque, perturbe de plus en plus de dipôles ce qui se traduit par un différentiel d'amplitude. Ce différentiel se traduit par une courbure de l'espace-temps. On rejoint ici l'analyse mathématique (conséquence de la limite c) ! Cependant, tout indique qu'au delà du ratio xi (10^11) la limite c peut-être franchie. C'est également la limite mesurée des rayons cosmiques. Cependant un tel ratio apparaît impossible à atteindre. Il faudrait injecter une énergie de 10^17 eV à un électron ou 10^47 eV à une masse d'un kg. On rappelle que l'exploit du boson de Higgs est limité à ~ 10^11 eV.

    2/ La DM est en effet moins sensible au lorentzien mais n'échappe pas à l'effet relativiste.

    3/ le spin du photon est en effet "partout à la fois dans le BEC". Si on en révèle ses masses antagonistes (qui s'annulent) ici ou là, alors il se relocalise.

    4/ sur la différence entre le photon et le neutrino, je vous renvoie ici : https://sciencesetuniverspourtous.blogspot.com/2018/08/les-supers-neutrinos-issus-des-blazars.html

    RépondreSupprimer
  4. En résumé :

    a) une masse au repos, revient à diminuer l'amplitude L des pôles de 0,3% ce qui leur fournit l'habillage inertiel M (dit virtuel).

    b) une masse M atteignant la vitesse de la lumière ne devient pas infinie mais diminue l'amplitude L des dipôles à la longueur de Compton de l'électron ! L'espace ne peut pas se courber plus que cela ! La perte d'amplitude (taux xi^3) se compense par une énergie (de masse) dont le taux de l'extraction est limité à xi.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?